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Category: Poesie

Ombre et brume

Ombre et brume

Un soir de brume et d’ombre
Avec mes idées les plus sombres
Et ces moments parsemé de noir
Qui font couler les larmes du désespoir

Je suis un artiste simple, mort-né
Que doit je faire pour être aimé
Comme je suis, comme je désire ?
Sur mon visage disparaît le sourire

Je ne voulais pas de ce grand Colorado
Qui peut me rendre peut être plus beau
Mais de l’amitié, de l’amour, de la joie
Celle de vous serrer encore dans mes bras

Paix et sincérité sont mes grandes palabres
Pour ne jamais emprunter mes petits sabres
Qui peuvent transpercer les plus habiles
Afin qu’ils puissent rester toujours fébriles

Le bonheur par deux

Le bonheur par deux

L’amitié partagée de bonheur et de sourires
Chaque doux mot de toi je lis et j’admire
Je suis l’ombre de ta bonté, de ta vie
Tu es le soleil qui me retire des ennuis

La sensation de te connaître depuis l’éternité
Nous nous idolâtrons avec beauté et fierté
Tes profonds désirs enfouis seront réalisés
Ta mémoire et ta tendresse jamais bafouée

Nous irons compter les étoiles de ta galaxie
Pour effacer les écorchures, quel ineptie !
J’ai retrouvé les parfaites clés du bonheur
Que j’avais égaré, un jour, par malheur !

Je me suis endormi riant de ma simplicité
Avec ce petit rire agrémenté de sincérité
Tu fais prospérer mes plus belles années
Toi que je regarde, que j’aime et que j’aimerais !

Les liens

Les liens

J’ai pleuré des années sans amitié
J’eu la grande chance d’être relevé
Le vie passe, les relations trépassent
Sauf les liens solides qui se dépassent

Le temps n’efface rien aux blessures
Il les atténues et nous rend mûres
Il n’arrose pas une pétale fanée
Mais assure une plantation doré

L’amitié et l’amour sont différents
J’hurle les bonheurs en chantant
Avec ma main fébrile et légère
Qui peut maintenant vous plaire

J’ai fait reculer peur et trahison
Et j’essayai de faire entendre raison
Aux perdus du présent, du passé
Aux autres personnes que j’aimais

Ma route

Ma route

Ma route , ma vie, totalement tracée
Ce chemin d’enfance qui m’a initiée
Pourquoi suis-je un crétin croyant?
J’ai enfoncé le bitume en marchant

Droit devant moi un succulent paysage
Droit derrière moi, que de jolis mirages !
Je caresse cet atmosphère totalement sain
Moi, qui pense à tout, mais ne dit rien

Mon étoile s’éloigne sans me dire au-revoir
Comme si mes rêves étaient mes désirs d’un soir
Comme si mon futur n’avait plus de gout sucré
Mais plutôt un odorat légèrement amer et salé

Je me suis accroché à cette petit balancelle
Qui à rendu mon existence un peu plus belle
Qui m’a dégourdi de dramatiques situations
Rien ne m’empêche plus de tourner en rond

Terrorisés

Terrorisés

Cette France qui a peur, chaque heure
Cette France à genoux à chaque malheur
Cette France qui se lève et se réveille
Cette France qui n’avait plus sommeil

Terrorisés par notre liberté bafouée
Quand des grenades ont frappés
Des innocents, comme des animaux
Comme des chiens dans les caniveaux

Nous cherchons la guerre et la trouvons
Elle est à notre porte et nous marchons
La tête levée, les épaules baissée
La où le peuple n’a plus d’amitié

Quand les bombes tomberont sur nos tours
Qu’il y aura des morts-vivants sans retour
Ce ne sera plus la liberté d’expression
Qui sera bafouée, mais toute la nation

Regards et amitiés

Regards et amitiés

Ce regard trouble qui fait des vagues
Dans ces eaux froide de l’océan arctique
Ces relations amusantes, parfois platonique
Qui ne se transforment jamais en petite drague

J’ai le cœur qui crépite chaque fois
Quand j’ois vos belles et claires sonorités
Qui me font chaque seconde chavirer
Dans ce bateau sur lequel je me noie

J’ai été armé comme les plus grandes dents
Du requin qui se ballade et vous capture
Vous avale, vous détruit, tel une fioriture
Pour devenir un dauphin vous affectionnant

Je suis le petit oisillon consolateur
Je cagole mes petites tourterelles
Qui se couvrent de cette fine grêle
Pour qu’elles n’aient plus jamais peur

L’absence

L’absence

L’absence qui me fait parfois peur
Je continue d’être dans son cœur
J’ai parfois pris quelques libertés
Mais je n’oublie jamais les amitiés

Vers d’autres cieux je me suis envolé
Pour ne jamais me sentir prisonnier
J’ai pris le chemin de la sobriété
Pour ne plus jamais faire d’excentricités

Mes fondamentaux sont vraiment acquis
Pourtant je ressent la sensation d’oubli
Sans le comprendre, ni même le vouloir
Ce qui ne m’empêche pas de le voir

Mon esprit est resté clairvoyant
Malgré les blessures saillantes
J’ai besoin de poser mes valises
Mes peines, mes joies, sur cette banquise

Tendresse et Révolte

Tendresse et Révolte

Tendresse ,beauté de notre petite jeunesse
Tristesse perdue dans une grande vieillesse
Les roses du printemps tournent et virevoltent
Elles fanent signe de l’approche d’une révolte

En ces temps où l’on oublie son prochain
Qui nous regarde, exprime ses chagrins
Que d’être laissé à l’abandon, esseulé
Je n’ai rien vu, même si la vie l’a broyée

Je suis parmi sept milliard d’être humains
Qui se côtoient, se serrent parfois la main
Et qui se racontent nombreuses vérités
Comme des mensonges bien organisés

Je perce le mystère que vous provoquez
J’ai appris à en résoudre tel un initié
Je perce vos attitudes si curieuse
Pour lire dans vos pensées ignominieuse

Amitiés d’autrefois

Amitiés d’autrefois

Il y a des années que tu es partie
C’est la vie des drôles d’amis
Moi qui aimais tant discuter
Et qui essayais de t’admirer

Je suis soumis à ce profond regret
Que tu te sois sentie délaissée
Mon coeur est devenu si noir
Le jour où tu ne m’as pas dit au revoir!

A y revenir je crois que je t’ai trahi
J’me serais sacrifié, j’aurais donné ma vie
Sans même le vouloir tu t’es éloigné
Et jamais je n’ai pu, une seule fois, te détester

J’ai brûlé ma mémoire de ton visage et ton nom
Pour ne jamais oublier ce qu’était notre relation
J’ai traversé un désert abyssal, un grand vide
Et je n’ai pas pris une seule toute petite ride

Un an d’étoile scintillante

Un an d’étoile scintillante

Je t’ai vu, mon étoile à scintillé
Une grande année est maintenant passé
A nous de nous attaquer aux projets
Qui font la vie, ma petite fée

J’ai le rêve de souffler dans le sable
Et de ne jamais te raconter des fables
je voit ce train qui m’emmène au loin
Qui m’éloigne chaque jour de tes mains

Chaque matin, se dire bonjour, au revoir
Pour se dire encore et toujours à ce soir
Se ramener amoureux seconde après seconde
Avoir la tête en l’air, les idées vagabondes

Tu est l’hôte de ma tendresse et de mon âme
Rendu malade par l’absence de ma petite dame
Je suis l’hôte de ton regard pénétrant en moi
Tu continue comme chaque heure, à rester toi

Travailleurs endiablés

Travailleurs endiablés

 

Travailleurs endiablés et mal administrés
Qui ne réussissent jamais à se faire aider
Qui sont des moins que rien si fauchés
Traînant aux pieds de multiples boulets

Attachés comme des prisonniers victime
D’un système qui incroyablement nous abîme
Chaque jour, chaque nano-seconde de notre temps
Que nous n’avons plus tout à fait maintenant

Nous sommes les ravisseurs d’un système perdu
Qui nous à rendu un millier de fois ingénu
Ils nous ont fait bouillir de fausses joies
Et nous ont montrés que nous ne sommes plus rois

Je me sent faussement trahi par ces incompétents
Qui n’ont rien d’autres que leurs petits moments
De rire, d’éclat de joie en rayant cette case
Celle qui m’aurait donné un sourire de base

Amitié réconfortée

Amitié réconfortée

Une amitié entièrement réconfortée
Celle que je regarde dans les yeux
Pour dire que nous somme deux
Je t’offre une belle orchidée

Pour te prouver que je vis de toi
Car chacun de tes mots me met en émoi
C’est la renaissance d’une belle rose
Qui s’envole avec ton coeur et mes proses

Mon esprit ne divague plus en te regardant
Toi et ton visage, les cheveux dans le vent
Je m’envole vers un autre ciel nuageux
A chaque fois que je t’osculte, envieux

Je suis épanoui grâce à mon étoile brillante
Qui accompagne ma vie et parfois chante
Le ciel m’a offert une belle relation epanouie
Je ne suis plus triste, je souris et survie

Les vagues de la détresse

Les vagues de la détresse

Vague de détresse, once de tristesse
Où s’emportent mille et unes bassesses
êtes vous dans mon corps, dans mon cœur?
Pour ressentir mes quelques douleurs

Vous rendez froid ce soleil brulant
Qui me fait marcher parfois en avant
Je salue ceux qui acceptent le dilemme
Qui n’arrivent pas à rester blême

Mon regard au loin, la larme à l’œil
Qui m’a parfois fait penser au cercueil
Mais j’ai continué souvent d’affronter
L’ensemble de mes erreurs, mes difficultés

Il faut regarder l’avenir et non le passé
Et toujours prendre la vie du bon côté
En oubliant les épreuves du quotidien
Qui à petit feu, vous mange, comme un rien

Le temps passe si vite

Le temps passe si vite

à Fati ….

Six années de rires et de pleurs
En ayant bravé toutes les peurs
En gravissant tout les échelons
Sans jamais que tombe de grêlons

Ton visage ton caractère sans duplicité
Sans nul doute ont fait de notre amitié
L’une des plus grandes valeurs morales
Et rien ne nous parait plus normal

Des liens solides et unis sans faille
Ont fait des amis de grandes tailles
Qui jamais ne se mettent un poignard
Quand il fait nuit parfois très tard

Le réconfort mutuel est notre credo
Pour ne jamais se mettre à dos
Pour continuer de tisser notre toile
Rien qui, au fond, ne parait plus normal

Garde moi encore

Garde moi encore

Garde moi, garde moi encore mon petit trésor
Toi que je consume comme une pépite d’or
Nous rassemblés pour vivre un grand espoir
Celui d’un rêve d’antan, d’une chimère d’un soir

J’ai appris à vivre en mon âme et conscience
En ne reniant jamais quelques circonstances
J’ai le désespoir, la peur de ce saut en avant
Dans le miroir brisé je ne voit ni noir ni blanc

J’apprends à aimer et ne jamais détester
Ceux qui partagent mon amour, mon amitié
Je suis parti sous cette brume automnale
Avec un regard sobre, une habitude matinale

J’ai regardé mon avenir un peu trop tard
En pensant qu’il n’y a jamais de hasard
Je suis ce chemin parsemé de nuage
De tempêtes, de brouillards, d’orages

Mille faux baisers

Mille faux baisers

Mille faux baisers qui m’ont embrassés
Mille amitiés qui m’ont encore brisés
Et de faux copains que l’on aime
Pour que la vie ne soit plus vaine

J’ai attendu une sincérité légère
Pour voler tel une gentille mégère
Qui ne fait de mal à personne
Et en retour, tristement, je donne

Mon cœur, ma santé , mes espoirs
Que je place la nuit, chaque soirs
Mais jamais ne vient la douceur
Il n’arrive que de beaux leurres

J’ai regardé la vie d’un air songeur
Et réellement je suis devenu rêveur
J’ai suivi ce parchemin de vérité
Qui m’indique ma route parsemée

D’embuche et de graves problèmes
Je suis resté chaque jour blême
Face aux problèmes quotidiens
De tout ceux qui ne comprennent rien

Entre deux feux

Entre deux feux

Entre deux feux, entre deux lieux
Tiraillé par la vie, je suis incompris
Je ne ressemble qu’a un demi zombi
J’ai encore tout cela, faute de mieux

Je piaille à vous égosiller vos tympans
A réveiller les morts de leurs tombeaux
Je suis à mille lieu de panser vos maux
J’attache peu à peu un petit ruban

Sur mes grandes phalanges si extensible
Je suis un phénix renaissant des cendres
Alors que je détenais un lourd scaphandre
Je n’ai maintenant plus rien de risible

Je suis tantôt désiré, tantôt rejeté
Et petit à petit le fossé se creuse
Pendant que vous enfoncez de la gueuse
Je suis comme un arbuste mort, mal planté

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

Amour enchevêtrée

Amour enchevêtrée

A la demande de Pauline M

Notre amour quotidien enchevêtrée
Nos silences drôles et parfois animées
Nos absences si lointaines toutefois
Jette présentement un grand froid

Moi, débordante d’énergie positive
Toi, qui me fait tourner la tête , m’enivre
Nous sommes un tout, mais je ne suis rien
Je regarde les étoiles qui sont au loin

Et j’aime l’odeur de ta tendre chaire
Quand je voit une étincelle en l’air
Qui éclate pendant un certain temps
Telle une grande bohème d’antan

Formant une galaxie légèrement étoilée
Que nous attrapons au vol , sans rivalités
Notre amour depuis maintenant cinq univers
Où tout nos moments sont gravés dans la terre

Détresse

Détresse

Détresses ordinaires et peurs continuelles
Je ne fait plus partie de ce rituel
Je tente de sauver parfois du déclin
Sans aucune retenue, ni aucun frein

Je suis pourtant gentillement tourmenté
Par des mots inconsciemment dictés
Qui reflètent la tristesse et le désespoir
La où, au coucher du soleil, je souris, le soir

Sans pouvoir tendre ma main
Qui te dit au revoir jusqu’à demain
Ni te donner mes dernières palabres
Sous ce peuplier, cet arbre

Mon rêve de te réconforter
De te rendre heureuse, toi l’être aimé
Je ne suis qu’un petit écureuil
Qui parfois sait faire son deuil

Enfants meurtris

Enfants meurtris

L’émotions qui se lit sur vos visages
De voir tant d’obus et de petit saccages
Se trouver sous le feu d’un tir de roquette
Car l’un et l’autre n’entendent les requêtes

Celle d’un peuple désemparé qui n’a rien demandé
Qui ne fait qu’attendre l’espoir en ayant pleuré
Se trouvant enfermé parfois dans de petits goulags
Pour avoir parlé, manifesté, protesté, suivie la vague

Atterré par tant de sang sur les mains d’assassins
Qui détruisent la vie et n’ont aucun destins
Écorché par une guerre a affronter sans merci
Ces enfants joviaux n’ont plus jamais souris

Les larmes des mères ayant tout perdu maintenant
Qui ne savent plus où aller ni dormir présentement
Le combat des pères pour sauver leurs familles
Des bombes, des tirs, des morts, des fusils

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Handicap

Handicap

Handicap, ce mot si étrange et barbare
Qui frappe parfois quelqu’un au hasard
Qui pourris parfois votre vaine existence
Qui ne vous facilite rien avec aisance

Parfois oppressés par l’incompréhension
De ceux qui n’ont parfois aucune vision
Nous sommes si différents et complémentaires
Notre angle de vue n’est pas mortifère

Nous ouvrons facilement notre grand cœur
Et comprenons aisément toutes vos peurs
Notre sensibilité s’est grandement décuplé
Puisque la vie nous a régulièrement écorché

Ne soyez pas effrayé en nous regardant
Avec votre sourire perfide, nous analysant
Venez chercher l’étoile qui est en nous
Devenez curieux, nous ne sommes des loups

Réalisez ainsi que vous vous êtes trompés
Sur notre cas, vous n’étiez pas initiés
A notre diversité et à notre différence
Vous savez et n’êtes plus dans l’ignorance

Vie automnale

Vie automnale

Des êtes douées et consciencieux
Dénués de sens et irrévérencieux
Qui se mentent à leur égard
Qui louchent d’un air hagard

Qui n’ont ni vie ni réels amis
Seuls au monde, avec du mépris
Où la tristesse parfois se lit
Sur leurs visages parfois endurci

Je comprend le profond désarroi
Qui peut les mettre en émoi
Ils doivent s’ouvrir au monde
Qui les entoures d’idées vagabondes

Et ne plus rester dans leurs carcans
Qui était bien il y a fort longtemps
Personne ne doit être vraiment reclus
Sauf chercher à rester des exclus

Société

Société

Toi l’individu seul et égoiste
Qui ne cherche que ton petit bonheur
Sans jamais réflechir aux grands malheurs
Des autres qui sont tout aussi défaitistes

Regarde ton prochain avec plein d’amour
Qui parfois aurait besoin des tes mains
Un peu plus, chaque jour, chaque matin
Sans jamais attendre un tout petit retour

Ouvre ton coeur sans rester pétri et reclu
Ne soit pas si amer en regardant autrui
Hiver comme été ne soit pas triste, sourit
Et tu ne sera cette personne qu’on exclu

Réagit à l’enfer des grandes moqueries
Soit actif et donne aux misérables
Un petit peu de ton sirop d’érable
Que tu aime et qui te bonifie

Solitude

Solitude

 

A mes amis et connaissances actuelles
A qui je suis toujours aussi fidèle
A qui je ne donne pas assez de présence
A qui j’ai parfois déclaré mon absence

 

J’entends les complaintes de votre solitude
De ceux qui aiment par grandes habitudes
Et qui, aussi, voudraient être parfois câlinés
Mais se contentent seulement de rêvasser

 

Je donne mon attention et ma sollicitude
A quiconque ayant bienveillante attitude
Le désespoir ne doit jamais vous hanter
Ni occulter vos désirs et envahir vos pensées

 

Mon cœur ne vous a jamais réellement délaissé
Votre esprit en moi que vous avez crus asphyxié
Parfois par d’autres occupation et personnes
N’est que calomnie même si cela parfois étonne

 

Je ne suis pas inquiet quant à votre véritable avenir
Je sais à quel point parfois je peux vous voir souffrir
Bien que je veuille consoler par amitié tout un chacun
Je n’arrive parfois pas à combler vos petits chagrins

 

Beautée fatale

Beautée fatale

Beautée fatale, tu es si enjouée
Naturelle et totalement animée
Je suis un petit phénix ressuscité
Quand nous sommes chacun liés

Le monde s’ouvre sous ton regard
Je te cajole et te console, l’air hagard
Tu est l’être que j’ai toujours voulu
Je me suis pourtant toujours abstenu

Personne ne sait faire briller la lumière
Qui éclaire chacune de mes paupières
Sauf toi, qui me croque du grand amour
Celui à qui j’ai envie de dire oui, chaque jour.

Nous ferons de grands projet, deux par deux
Nous nous marierons, finirons assez vieux
Et tu serrera le creux de mes petites mains
Je te dirait je t’aime, chaque matin.

 

 

Amitié étoilée

Amitié étoilée

Amitié étoilée et éternelle
Tu m’est tellement fraternelle
Je suis l’ombre et le vent
Quand tu est mon soleil levant

Mes mots sont une vision parcellaire
De ce que ressent ma grande sphère
Un grain de sable venu de l’océan
Sans qui je ne pourrais faire sans

Les mots de ton grand et amical esprit
Sont ceux qui fait que je souris
L’univers ne comprendrais pas mon état
Toi, mon amie, présent ici et la bas

Les nuages s’efface à ton passage
Quand mon esprit triste est a la page
de ce jour si vague et mélancolique
Doit-je être alors si catégorique?

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

Les grandes étourderies

Les grandes étourderies

 

Les grandes étourderies de l’âme
Je ne danse plus sur grande paname
J’ai jouis d’une vie embrigadé
Par des principes fort bien initié

J’ai vécu chaque instant magique
Comme des moments entièrement féerique
Et aujourd’hui je suis rayonnant
Fière de mes actions, souriant

Le soleil a surpris de grands nuages
Qui étaient cachés sous ce grand barrage
Je veux avoir la lumière et la fête
Pour ne plus avoir toute ma tête
J’ai fait plusieurs petite prières
Le monde s’est soudainement ouvert
Pour oublier ce qui m’a mis en émoi
Je ne le voit plus se fermer à moi