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Month: septembre 2013

Aigle ou hiboux?

Aigle ou hiboux?

Aigle qui surpassa mille cieux
Hiboux devenu usé et vieux
Ils ne crurent à autrui
N’eurent plus gout à la vie

Amour et tendresse ont disparu
L’amertume est alors venue
Les aigles giflèrent les hiboux
Qui à leurs tours devinrent fou

Les hiboux furent seuls mais solides
Et jetèrent des mots totalement acide
Ne se laissèrent ainsi piétiner
Mais restèrent dans la velléité

Les aigles s’aperçurent de l’erreur
Et prirent une très grande peur
Les deux engagèrent une discussion
Sur leurs visage se lisait l’émotion

Chacun eurent des mots bruts et inamicaux
Les deux eurent un sourire un peu faux
S’embrassèrent et se promirent la paix
Comme le premier jour de l’été

Petit écureuil

Petit écureuil

Petit écureuil, mon horizon lointain
Tu est ma vie, mon esprit, revient
Mon sang s’obscurcit en votre absence
Devient rouge pivoine en votre présence

Je présente mes armes devant vous
Suis-je quelqu’un ou rien du tout?
Je suis un volcan en ébullition
Sans vie mais avec dévotion

Je vous asperge mes mots chaque jour
Et tente de vous atteindre toujours
Mais la vie m’a mis dans un étau
Et l’on croit que je suis escargot

Chaque jour vous me mettez en émoi
Vous me représentez , mon état et moi
Que votre parole soit rose ou bleu
Que votre esprit soit beau ou irrévérencieux

Être différent

Être différent

Être différent, comprendre l’humanité
La vie, les obstacles, les difficultés
Les pleurs, les sourires, l’horreur
La joie, la tristesse, le bonheur

Mon oreille est tendu à votre écoute
Dans mon esprit, mon âme, mes doutes
Notre diversité nous ouvre le coeur
Dans des lieux où sombre l’aigreur

Toujours un mot pour vous ranimer
Vous aimer, vous voir, vous conforter
Dans vos idées drôles et vagabondes
Qui rarement vous correspondes

La justice

La justice

La justice des hommes, de l’argent
Qui nous salit, nous met à cran
S’acharne sur nous, petits citoyens
Qui sommes broyés, devenu rien

Sauf un repère à fric, pourri
Soudainement je n’ai plus ris
La colère, l’amertume, la tristesse
Ont remplacé la joie, allégresse

Et je regrette mon présent, mon passé
Car les ennuis se sont maintenant retourné
Vers un père qui s’était absenté
Et présentement se retrouvé acculé

Je n’ai plus que mes yeux pour le déplorer
D’avoir failli à mon devoir, rembourser
Je ne voulais pas de cette vie, malmené
Mais d’un père heureux et aimé

A la place j’ai empiré la situation
Et je ressent une forme de détestation
Il à tout donné, je n’ai rien oublié
Il n’est arrivé que ce que je méritais

Je ressent un vide, sans soutien
Je n’arrive plus à comprendre rien
Je suis dans un futur brouillé
Par les flammes de mon grand passé

Tandis que je coule, je me noie encore
Personne n’a trouvé l’astuce, le trésor
Je n’arrive plus à assumer mes erreurs
J’ai une vie, aigris, de grande pâleurs

Jaloux?

Jaloux?

La jalousie, défaut de jeunes générations
Je suis devenu absent, faute de passion
Et ma présence rend parfois irrascible
Mais personne n’a puissance sur sa cible

L’amitié et l’amour n’appartiennent pas
Le partage à chaque instant de ma foi
Rend un bonheur décuplé à l’être humain
Moi qui criait à l’injustice, le matin

Quand le feu s’agite sous ma petite coupelle
J’essaye de rendre mes palabres plus belle
Afin que personne ne méprise mon verbe
Ce qui rendrait ma colère bien acerbe

Je suis toi, tu est moi, nous sommes deux
Parfois plusieurs,nous faisons des voeux
Celui d’un monde meilleur, reconforté
Animé par la joie, le bonheur, l’inocuité

Ma différence

Ma différence

Ma différence, ma vie, mon érrance
Mon sourire, mes pleurs, ma présence
L’amitié, le noir, le blanc, la vie
L’amour, triste, joyeux, qui ne ris

Impuissant, incapable, indefendable
Armée, en bataille, mon coeur palpable
L’envie, la decouverte, les jours défilent
Ecrire, l’exutoir, maintenant je pile

Merci, je t’aime, aurevoir, simplicité
Indifférent, entier, braqué, aimé
Ces mots, inconnus, totalement détruits
Vide, désenchantée, l’amour s’enfuit

Ouverture, la joie, l’amitié, ressucité
Fermeture, tristesse, inimitié , décédé
Opaque, transparent, j’existe, maintenant
Rire, enfermée, je disparait, a présent.

Vertus solitaires

Vertus solitaires

La solitude qui pèse chaque jour
Mes erreurs sont sans retour
Mais tout les espoirs sont permis
Je pleure je ris, je pleure je vis

Comment oublier ces moment passés?
Je suis née à présent pour aimer
Vos délices ne sont plus mien
Je ne suis à vos yeux, rien.

Du fond de mon chagrin du lundi
Mes mots sont effacés, en oubli
Je tire les révérences d’antan
Chacun désormais prend son temps

Vos yeux se sont fermé cette nuit
Je suis tombé au fond de ce puit
Personne n’achète amour ou amitié
Mais le construit avec volupté

Mes regrets

Mes regrets

Mes regrets, mes illusions désenchantée
Je vous aime, et encore vous aimerais
Je ne vis que de vous avec respect
J’ai faillit à mon devoir, l’amitié

J’initie pas à pas les changements
Je ne suis ni noir, ni rose ,ni blanc
Je suis moi avec mes incongruités
Personne ne m’a vraiment laissé

Vous êtes tenu dans mon coeur
j’ai pu faire maintes fois des erreurs
Graves ou non elles restes ancrées
Je vais donc changer et persévérer

Car c’est de tous que je me nourris
Que grâce à vous, je vis, revis et survis
Je suis malade d’abusifs principes
Auquel je bafoue et ne participe

Mais j’ai compris que je vous suis cher
Au quotidien je gère mal nos affaires
Ces palabres vous sont peut être étrangères
Soyez assurez elle sont adresse pour vous plaîre

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé