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Month: août 2013

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Le nerf de la guerre

Le nerf de la guerre

Trouble et pale à la fois, sans crainte
L’odeur du doux précieux avec plainte
Il nous rend heureux, contribue au bonheur
Peut faire de nous beaucoup de malheur

Mais vaut t’il mieux la richesse aujourd’hui
Ou l’opulence du cœur et de l’esprit?
Je craint pourtant que les plus vêtus
Soit parfois les plus mal-entretenus

Quand le sou détruit toute relation
Je prend le large, sans nation
Je suis l’étoile qui m’a créé
Je naquit à nouveau toute l’année

Je n’écoute plus les décibels
Je reste totalement artificiel
Et la nuit devient le jour
Et je fait alors mon retour.

Sans fondement

Sans fondement

Un jour si loin, ce jour certain
Où je rencontre une personne intelligente
Qui est présente, mais jamais ne se vante
Et parfois quelques-uns se sont cru malin

D’affabuler certaines pensées, certains mots
Chaque fois sa présence, j’ouï des insanités
Par des personnes, ami sans envie ni volonté
Que de semer panique en relatant ces propos

Ces palabres pour dire à quel point la vulgarité
De bon nombre d’âme me semble sans fondement
Que je demande de me respecter fermement
Et dire à quel point ne confondre amour et amitié

Qu’aucune fille ou garçon ne devrait subir
Des insinuations libidinal à son encontre
Qu’un garçon ou une fille peuvent faire rencontre
Sans nécessairement l’un ou l’autre n’être éperdu

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Ma mirabelle

Ma mirabelle

Ma mirabelle, tes yeux doux et ouvert
Ont fait de moi un garçon à plaire
Mes palabres douces et charmantes
Ferons de toi une fille aimante

Mon âme frissonna à votre rencontre
Bien que rien à ce jour ne le montre
Vous avez ouvert mon livre poussiéreux
Et y avez vu mon courage astucieux

J’ai osé et tenté de vous conquérir
Et je vous ai vu quelque peu rire
Peut être vous n’avez cru aucun mot
Pourtant je ne suis complétement sot

La patience est présente pour votre beauté
Et mon dernier mot n’a pas encore été ajouté
La persévérance me fera prendre votre âme
Vous, mademoiselle, très jolie dame.