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Month: septembre 2014

Travailleurs endiablés

Travailleurs endiablés

 

Travailleurs endiablés et mal administrés
Qui ne réussissent jamais à se faire aider
Qui sont des moins que rien si fauchés
Traînant aux pieds de multiples boulets

Attachés comme des prisonniers victime
D’un système qui incroyablement nous abîme
Chaque jour, chaque nano-seconde de notre temps
Que nous n’avons plus tout à fait maintenant

Nous sommes les ravisseurs d’un système perdu
Qui nous à rendu un millier de fois ingénu
Ils nous ont fait bouillir de fausses joies
Et nous ont montrés que nous ne sommes plus rois

Je me sent faussement trahi par ces incompétents
Qui n’ont rien d’autres que leurs petits moments
De rire, d’éclat de joie en rayant cette case
Celle qui m’aurait donné un sourire de base

Amitié réconfortée

Amitié réconfortée

Une amitié entièrement réconfortée
Celle que je regarde dans les yeux
Pour dire que nous somme deux
Je t’offre une belle orchidée

Pour te prouver que je vis de toi
Car chacun de tes mots me met en émoi
C’est la renaissance d’une belle rose
Qui s’envole avec ton coeur et mes proses

Mon esprit ne divague plus en te regardant
Toi et ton visage, les cheveux dans le vent
Je m’envole vers un autre ciel nuageux
A chaque fois que je t’osculte, envieux

Je suis épanoui grâce à mon étoile brillante
Qui accompagne ma vie et parfois chante
Le ciel m’a offert une belle relation epanouie
Je ne suis plus triste, je souris et survie

Les vagues de la détresse

Les vagues de la détresse

Vague de détresse, once de tristesse
Où s’emportent mille et unes bassesses
êtes vous dans mon corps, dans mon cœur?
Pour ressentir mes quelques douleurs

Vous rendez froid ce soleil brulant
Qui me fait marcher parfois en avant
Je salue ceux qui acceptent le dilemme
Qui n’arrivent pas à rester blême

Mon regard au loin, la larme à l’œil
Qui m’a parfois fait penser au cercueil
Mais j’ai continué souvent d’affronter
L’ensemble de mes erreurs, mes difficultés

Il faut regarder l’avenir et non le passé
Et toujours prendre la vie du bon côté
En oubliant les épreuves du quotidien
Qui à petit feu, vous mange, comme un rien

Le temps passe si vite

Le temps passe si vite

à Fati ….

Six années de rires et de pleurs
En ayant bravé toutes les peurs
En gravissant tout les échelons
Sans jamais que tombe de grêlons

Ton visage ton caractère sans duplicité
Sans nul doute ont fait de notre amitié
L’une des plus grandes valeurs morales
Et rien ne nous parait plus normal

Des liens solides et unis sans faille
Ont fait des amis de grandes tailles
Qui jamais ne se mettent un poignard
Quand il fait nuit parfois très tard

Le réconfort mutuel est notre credo
Pour ne jamais se mettre à dos
Pour continuer de tisser notre toile
Rien qui, au fond, ne parait plus normal

Garde moi encore

Garde moi encore

Garde moi, garde moi encore mon petit trésor
Toi que je consume comme une pépite d’or
Nous rassemblés pour vivre un grand espoir
Celui d’un rêve d’antan, d’une chimère d’un soir

J’ai appris à vivre en mon âme et conscience
En ne reniant jamais quelques circonstances
J’ai le désespoir, la peur de ce saut en avant
Dans le miroir brisé je ne voit ni noir ni blanc

J’apprends à aimer et ne jamais détester
Ceux qui partagent mon amour, mon amitié
Je suis parti sous cette brume automnale
Avec un regard sobre, une habitude matinale

J’ai regardé mon avenir un peu trop tard
En pensant qu’il n’y a jamais de hasard
Je suis ce chemin parsemé de nuage
De tempêtes, de brouillards, d’orages