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Month: septembre 2008

Amitié fraternelle

Amitié fraternelle

Amitié fraternelle, celle que je découvre chaque jour
Et toi tu es celle qui aussi me dit bonjour,
M’adresses tes rires, m’affiches ton sourire
Même quand celà se prête au pire

Et quand je te rencontre, pas de sempiternelle séance
De mot arrachés, juste des termes sans violence
Des phrases qui font simplement plaisir
Je n’ai d’yeux mais simplement des mots pour prédire ton avenir

Et quand je te regarde dans les yeux
Je vois là des choses qui sont acquises
Mais je te laisse ta liberté, tes voeux
Et je préfere m’écrouler comme tour de pise

Et tu vois, le bonheur suffit de simplicité,
Un sourire, un regard, des mots, des gestes
Tout cela sans apprentissage initié
Quand à moi je ne retournerai pas ma veste

Liberté

Liberté

Liberté je t’ai proclamée, liberté je t’ai retrouvée.
Tu m’as été rendue après des années passées en prison
Prison de ma vie, qui a duré des décennies
Et maintenant, je vis!

Je ne souffre plus de cette cadence
Je ne vis plus dans la plus complète ignorance
Et enfin j’ai appris ce qu’était la décence
Je sens désormais tous mes sens.

Et toi et moi, heureux comme poissons dans l’eau
Ces jours, ces heures sont pour moi meilleures
Enfin je me sens pousser sans être dans le leurre
Et écrire tous ces mots ne semble plus idiot!

Inconnue

Inconnue

Inconnue, tu fus et tu es l’être que j’aime
Tu sommeilles en moi, mais je ne rêve pas
C’est la réalité qui est là, à grand pas
Mais moi je suis avec toi, dans ton arène

Ce jour où nous nous sommes rencontrés
Fut un moment magique
Pourvu qu’il ne se transforme en tragique
Avec vous jeune amourette c’est l’été

Et j’entre dans ton cerveau
C’est la secousse de ton âme
Qui me rend complètement fan
Avec toi je suis un radeau sur l’eau

Epilogue d’une vie

Epilogue d’une vie

Épilogue d’une vie, et moi qui dois toujours dire joli
Et tout ce temps que j’ai perdu avec toi
Et vous m’avez mis en émoi
Et je n’ai jamais pu te dire crois moi

Sans horaire, quelle liberté,
Vous m’avez dit la vérité,
Et je vous remercie en vous envoyant
Mille fleurs, et en vous embrassant

Jeunes amies, vous qui m’avez sauvé
Du gouffre dans lequel j’allais m’installer
Combien de fois devrais-je vous remercier?
Un nombre infini, celui qui a fait l’humanité

Joie

Joie

Triste sort effacé de mon corps, comme par magie
Et tout d’un coup grace à une baguette, je souris
J’ai fait de moi l’homme heureux, sans contrainte
Mais surtout une homme de joie, sans crainte

Plus serein qu’auparavant, grâce à mes erreurs
C’est ce qui se passe à force de regarder l’heure
Toi, moi trouvons l’équilibre de tout ça
Et je me vois maintenant dans tes bras

Joie, c’est le terme qui me revient
C’est le thème que maintenant je me souviens
Et même si je ne suis plus tout à fait moi
Je le fais dans ton sens, et pour toi

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois, le paradis
Celui auquel séjournent les sages
Qui sont doux comme des images
Ce sont des gens qui ont sourit

A la vie, comme à la mort,
Et jusqu’au dernier carat
Et je devrai les suivre, ces gens là
Je fais une erreur, qui vaut de l’or

Je suis en train de perdre l’estime
Que j’ai en vous jeune jonquille
Moi qui ne dors jamais l’esprit tranquille
Moi qui devrais avoir plus d’estime

La vie est là, parsemée de combat
Et d’embûches au milieu du chemin
Et je trébuche mais elle me releva
Et j’essaye d’éclaircir ces doux matins

Doux matins, qui sont mon été
Ma vie, mes sentiments
Ne sont plus que poussière trainé par le vent
Moi qui avais tout calculé, tout dirigé

Maintenant, je noies mon chagrin dans la littérature
Dans ces mots qui coulent à flots
Comme coulent les larmes sur mon visage
Oh voyez donc mon adage

Il y’a des moments où l’on aimerait être jovial
Et aussi continuer d’être cordial
Mais il y’a des moments où la réalité fait face
C’est là que vivre agace.

Et il y a cet état, celui que je traverse
Celui qui fait que mon entourage se blesse
Qui fait des sursauts, des ressauts
Celui que j’essaye de contrôler avec les mots

Noir

Noir

Noir, tel est la couleur que je vois
Noir, Mais je me pourvois
A la casse, aux ordures humaines
Quand toutes ces choses que je fais sont vaines

A quoi bon, si ce n’est être rejeton
De mon avenir, ma destinée
A rien, au revoir je m’en vais
Ca y est j’ai appuyé, la balle est dans l’action

Tout le monde me regrette, quoique
Et voilà vous pleurez
Et vos rires s’effacent
Mais vos larmes vont vite sécher

Je reviendrai, une fois ma vie achevée
Sur ce globe qui m’a souvent maltraité
Et non vous ne m’aurez
Parce que l’amour m’aura rattrapé

Celle qui me fit naître

Celle qui me fit naître

Celle que me fit naître a oublié sa fonction primitive
Elle a fait les choses beaucoup trop hâtives
19 ans de saccages, 19 ans de dégâts
Et je cours loin là-bas

Tu as oublié que ta fonction est d’aimer
Mais c’est aussi celle de t’occuper
De ceux que tu fais chaque jour vivre
Et tes cris ne s’écrivent plus dans les livres

Drôle de choix que d’être sur ces principes
Que tu nies et renies chaque seconde
Et tu es encore dans une autre monde
Et dans ta bulle tu t’abrites

Ce que tu ne sais c’est que nous t’aimons
Mais nous ne pouvons plus te le dire
Et pourtant, ces mots nous les envoyons
Mais tu nous repousses, de ta pensée tu nous vires

Voles à mon secours

Voles à mon secours

Oh toi l’amie là-bas, qui vole à mon secours
Viens par ici que je te tendes mon bonjour
Et que je crie que je t’adore
Même si parfois tu es hors bord

Une amie au long temps se garde
Et saches, que moi aussi j’ai besoin de toi
De ta voix, de tes bras
Qui me soulève quand je suis moralement malade

Et tu me susurres, sage sage comme un enfant
Que tu consolerais en bas âge
Ces mots que je n’oserais entendre de ta bouche
Ces idées, ces gestes louches

Dédicacé à une de mes amies

Ravivée

Ravivée

Eclairée, c’est une amitié sans faille
Dans un monde où il ne faut que j’aille
Elle est là et vole aussi à mon secours
C’est un luxueux velours

Où il ne faut s’asseoir
Sous peine de décevoir
Celui qui vient vous voir
Et qui continue de croire

Et je crois encore à ce charme
Qu’est l’amitié des êtres humains
Celle qui est sincère et de bon matin
Qui vient du cœur et de l’âme

Et non la virtuelle
Qui fait craquer chaque ficelle
Et je la vois tous les jours
Me tendre un bonjour

Je me lasse de ces tromperies
Et de toutes ces vieilleries
Je dirais même ces cachoteries
Qui me sont faites en catimini

Mais seulement n’oubliez pas
De mes deux yeux je vous vois
Oh tiède douceur qu’est l’amitié
Viens par ici te réchauffer

Sentiments

Sentiments

Sentiment dérisoire, face à tant d’acharnement
Sentiment d’un soir, face à cet engouement
Je pleure, je rie, mais dans des bras ouverts
Je parle, je crie dans ce vieux monastère

Il n’y a pas de contrôle de ma toute puissance
Il y’a seulement encore une certaine ignorance
Et vous, vous êtes là, à m’assener de questions
Qui ne servent qu’à me mettre en émotion

Mal aise sur cette terre qui ne m’est destiné
Et j’ose employer le mot souffrance
Pour ne pas dire ma plus cruelle vengeance
Celle que chaque jour j’ai décrété

Et la vie s’acharne sur mon bonheur
Mais j’aime ma petite fée, ma soeur
Qui vient me cajoler, consoler mes peines
Et moi de lui répondre je t’aime

Extra relationnel

Extra relationnel

Extra relationnel, la phrase qu’elle est belle
Tu es mon amoureuse
Toi qui crois que d’autres pourraient être plus belles
Moi qui te dis, reste heureuse

Et je sais en lisant ton âme
Que tu es une grande dame
Et la nature s’ouvre à toi
Et moi je m’ouvre au son de ta voix

Frissonnant, c’est aussi une relation grisonnante
Ces mots pour ne point dire extravagante
Celle qui fait que l’on aime la vie
Celle qui fait que je te sourie

Dans tes yeux je me jette
Dans tes bras tu me guettes
Je te vois , tu es nette
Plus besoin de ces mouchoirs enchevêtre

Bonheur

Bonheur

Bonheur d’amour, celui de toujours
Bonheur d’amitié, celle de l’été
Et dire que ces deux choses nous font vivre
Et dire que nous sommes libres

Libre d’aimer, de détester,
Libre d’apprécier et de s’envoler
Dans les airs d’un ciel coloré
Dans une vie au goût démesuré

Nous avons créé ces deux protagonistes
Pour plus que nous soyons tristes
Cela est désormais universel
Que les relations arrivent à être belles

Et je suis dans ma coquille, tel un crustacé
Qui n’a pas envie de s’ouvrir sur le monde
Mais qui pourtant est présent sur ce sable doré
Et qui fait des voyages sur notre terre ronde

Reservés

Reservés

Réservé , c’est le mot pour ne pas dire honte
Je le sais, je le sens, vous fuyez mon regard
Vous me regardez comme on contemple un bâtard
Et je vous vois arriver avec votre pelle en fonte

Pourtant la vie est douce
J’accepte vos différences
Mais il y a entre nous discordance
Pour me comprendre il faut un coup de pouce

Cela me donne l’impréssion d’idée formatée
D’idées agréées
Et dans ces jeunes têtes
Rien de plus que l’impression de ne pas être

J’essaye pourtant de me nourrir de vous
Mais vous souhaitez que je succombe de la faim
Et que je ne vois aucun lendemain
Et vous me criez : « C’est la vie mon petit loup »

Quand j’étais gamin

Quand j’étais gamin

Je me souviens, j’étais gamin et je rêvais
Je me souviens de ce caractère désuet
Et moi je m’imaginais le futur
Tel on respire l’air pur

Les oiseaux dans le ciel m’époustouflaient
Et j’entendais leurs cris, telle une mélodie
Je sentais que je vivais toujours l’été
De tout cela aujourd’hui je ris

Ce vent embrassé,
Fait couler mes larmes
Saccade mon charme
Et ce bonheur, j’hurlais

Tant de ces moments ont disparu
Sous ma mémoire qui joue l’inconnu
Et on vivait, et on se sentait libre
Et je m’emprisonne, pour ne plus vivre

Aujourd’hui, rien sur cette terre
Ne me fait rappeler ces moments de joie
Sauf l’amour, sauf l’amitié, celle qui toujours espère
Celle qui dit , vient avec moi je te crois

Qui suis-je?

Qui suis-je?

Que suis-je à vos yeux si ce n’est pacotille?
Que fais-je ici alors que meilleur sont les cieux?
Mais une vient à mon secours, moi, sans abri
Elle m’a dit reste et dans mes bras je l’ai blottie

Confiance, mot d’ordre que nous ayons
Ta plus vive voix me dit vient ici
Et certains nous ont de leur atmosphère banni
Et ma voix intérieure m’a dit c’est une grande relation

Mais qui suis-je reellement?
Un être sensible à votre charme, madame,
Un être aimé de vous, tel Eve et Adam
C’est maintenant bon, on ne fait plus semblant

Parmi les notres

Parmi les notres

Parmi les nôtres, je le vois comme les autres
Espérance en toi nous avions
Quand tu fus dévié de ton initial direction
Quand tu fus placardé comme un apôtre

Ce souvenir impérissable que nous tenons
De toi, à chaud nous le gardons
Toi et ton sourire chaleureux
Tu cessas un jour pour deux envieux

Toi qui était muni d’intellectuelle volupté
Tu ne pouvais sans cesse bouger
Et voilà ce que donne l’inimitié
De novices acharnés

Deux tel est le chiffre que l’on retient
Toi qui nous disais par ici vient
Et maintenant tu reposes
Et nous ne laisserons pas passer cette pause.

Impossible n’est pas

Impossible n’est pas

Impossible n’est pas , lorsque je vous vois
Mes yeux brillent comme brille le soleil
Et vous , vous ne savez pas
Et toi, ange tu m’émerveilles

Cependant, impossible n’est pas
Et je me vois dans vos bras
Je fais semblant, mais j’idolâtre
Vos yeux, que je ne veux abattre

Ce sourire que je perçois chaque jour
M’indique cette route, sans retour
Je doit marcher à contre-sens
Mais je sais que toi tu avances

Serre moi

Serre moi

Serres moi, et montres ton cœur de velours
Serres moi et baiser de moi tu recevras
Serres moi , et toujours je cours
Serres moi, si fort que tu ne me verras

L’existence de l’union me fait sourire
Tu m’as sacré roi de ton visage
Tu as dessiné les contours du ravage
Et cet intérêt que tu as je vais lire

Semblable euphorie je n’ai vu
Similaire amour je n’ai entendu
Équivalente tendresse jamais reçue
Éternelle jeunesse, nous avons cru

Ame perdu

Ame perdu

Ame perdu, sans que personne ne l’ai vue
Détesté de la vie, je me sens vaincu
Soutenu je ne me sens pas
Oublié de vous celà se voit

Ma sagesse se puise dans l’au-delà
Tel que le mot trépas vient à l’esprit
Tel rejeton sans vie que je suis
Et c’est le noir que je vois là-bas

Attristé sur ce sort, je m’endors
Tel une feuille morte qui s’envole
Et je joue les beaux rôles
Pour essayer de me sentir plus fort

Je t’interpelle sur cette déchéance
Qui sommeille en moi comme sommeille marmotte
Pourtant je vis avec de l’avance
Et pour vous voir je mets mes bottes

Ramses

Ramses

Ramses , tel est le nom de mon préféré
Ramses , tel je l’adorerais
Ramses, Toi qui est précieux
Je voulais te dire que je n’ai pour te voir mes yeux

Tellement je pense à toi chaque jour
Un grand amour avec retour
Ce galop que parfaitement tu fais
Va dans cette terre crépitée

Et je l’idolâtre, pas comme une marâtre
Est-ce mon rêve divin?
Non c’est le destin , celui qui va sur les chemins
Et Lui il va se battre.

Demandé et crée pour x-Fraiize-Roze

Aimer sans comprendre

Aimer sans comprendre

Aimer sans comprendre,
Aimer sans apprendre,
Telle est la vie que j’aime
Telle est la mie qui m’assène

Comprendre sans me vendre
Comprendre son regard
Qui me rend complètement hagard
Oh, reviens, geste tendre

La regarder dans les yeux
Tel on voit au loin un mirage
Ce mirage réel, c’est mon voeu
Cette vie soudaine, qui continue avec l’age

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie est différent pour chacun
Le sens de la vie va bon train
Et moi je me lève de bon matin
Pour voir ce sens vilain

Je ne sais où donner tête
Et j’aimerais faire la fête
Je me sens dérouté
Détourné de la vrai réalité

Et je voudrais rêver
Tout en essayant de m’isoler
Dans une cage de fer
Et cela pour éviter d’être en enfer.