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Tag: Amitié

Le desert

Le desert

La traversée de ce désert
Fait de sable si fin et si chaud
Sur la route, je conte mes maux
Je jette une bouteille à la mer

Je lis maintenant cette détresse
Dans vos yeux pleurant la tristesse
Dans votre corps rongé par la faim
L’amitié qui m’anime est si vain

Face à votre souffrance de la vie
Face au rocher échoué sur la plage
Je vous envoie une nouvelle image
Celle d’un humain et aussi d’un ami

Vos yeux qui scintillent de bonheur
Ces jours où disparais la peur
Cette vie fait de rouge et de noir
Où n’étais plus permis le mot espoir

Les douceurs

Les douceurs

Toi, qui croit toujours en moi
Ma si belle amie, que j’ai croisée
Ce jour tant enneigé de février
Cette amitié de malheurs et de joie.

Je traverse les épreuves de douleurs
En écoutant ton corps et ton cœur
Quand je suis ce roi qui ne va plus
Vous êtes une reine cachée dans ce talus

Nos solitudes transformés en forces
Nos faiblesses gravés dans l’écorce
Nos maux parfois incompris
Il ne reste que l’amour d’un ami.

Ces insaisissables mots qui font du bien
Ces attentions, les paroles du quotidien
Cette main tendue par la vie
Qui vous font croire que tout n’est pas fini.

Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Le Radeau

Le Radeau

Je suis cloué sur ce radeau qui coule
Je navigue à vue, et tout se chamboule
Je suis un réfugié de toutes ces amitiés
Un vrai clandestin sans réelle destinée

J’allume les cierges de cette église fermée
Je prie Dieu, qu’il fasse en moi la bonté
Mes désirs, mes envies, sont mes pêchés
Ceux que je ne peux désormais plus éviter

Le radeau chavire, je ne tient plus la barre
De toutes ces perfides personnes, je me marre
Je suis l’un de ceux que vous ne voyez arriver
Qui arrive en cachette, avec une grande épée

Le radeau a coulé sur cette rivière du Delta
Que j’avais hélas emprunté bien trop tôt déjà
Je meurt, je m’asphyxie dans cette eau froide
Je souffle, je respire, je ne suis plus malade

Les Pertes

Les Pertes

Perdu dans le fin fond des grandes marées
Je survis des mots assassins des amitiés
Mon coeur fendu et empli de compassion
Fond au soleil comme un doux glaçon

J’ouï et chante mes plus grandes accointances
Je me noie dans les eaux fluviales de la rance
A mon errance s’attache les plus gros boulets
Ceux que par mon intelligence je sais éviter

Je suis digne, heureux des bonheurs de la vie
Ma conscience me dicte mes choix, mes envies
Je scie parfois cette banquise a moitié fissuré
Celle sur laquelle j’ai posé mes deux pieds

J’ai perçu tout ces signaux, ces drôles d’alarmes
J’ai reçu l’amour, la lumière, sans fait d’armes
Et suis l’artiste des mots qui parfois me brulent
Laissez moi rêver, laisser moi aimer, dans ma bulle

Les amitiés Fidèles

Les amitiés Fidèles

Amitié légère, amitié d’aujourd’hui
Celle que je contemple, qui me souris
Que j’attrape cheveux au vent
Celle qui me comprend si je suis absent

Je devine le futur sans renier mon passé
Je vous aime et encore vous aimerais
J’expie aussi les amitiés de déshonneur
Celles qui abaissent mon doux bonheur

J’absout les jugements tristes d’autrui
Et exprime peu à peu mes ressentis
Toutes les secondes je m’étonne et lutte
Pour obtenir de la joie chaque minute

Nous avons toujours notre part d’ombre
Parfois même infiniment grise et sombre
Mais il faut continuer de penser à l’avenir
Même si l’on pense toujours au pire

Votre précieux ami

Votre précieux ami

Poésie : ( A DIJON le 24/05/2015)

Je suis votre précieux ami
Celui qui pleure, celui qui ris
Jamais fâché, mais parfois outré
Qui prends avec loisir quelques libertés

Vous pensez a des signes avant-coureur
Je n’ai pourtant jamais parlé de malheur
Soyez content, croquez votre vie
Avant de finir triste dans votre lit

Goûtez au plaisir des mots qui réchauffent
Restez comme vous êtes, sain et sauf
J’aime votre amitié, comme vous aimez ma malice
Je vous ai pourtant vu sous de meilleures hospices

Comment vous rendre votre léger sourire?
Si vous me soufflez à chaque fois votre dernier soupir?
Comment devez vous comprendre mes gestes amicaux?
Si vous cherchez à chaque fois à décrypter mes maux?

Liberté

Liberté

Liberté d’aimer, d’amour ou d’amitié
Liberté de penser, de t’écouter, te parler
Je scie les murs et les barreaux de prison
Qui ont encerclés et enfermés ma raison

J’ai reçu une explosion de joie, de tristesse
Je voulait te voire virevolter, princesse
Moi qui saisis combien est ta peine
Toi que je devais traiter comme ma reine

N’étant jamais partie malgré mes décisions
Bonnes ou mauvaises, celles sans raisons
L’ oiseau a voulu se poser dans ce nid
Douillet sans se soucier vraiment d’autrui

J’ai fini dans la geule de ce grand loup
J’ai reçu votre message, votre courroux
Je respire à l’abri de cet animal féroce
Sans ressentir cette amertume atroce

La destruction

La destruction

Nous nous sommes détruit à petit feu,
Je voyais tes doux et beaux yeux
Je m’effritais comme un mille feuille
D’un air triste j’ai fait ce léger deuil

C’était le bon temps de nos vingt ans
Comme le racontait nos parents
Celui de l’amitié et de l’amour volage
Celui des enfants qui n’étaient plus très sage

Ils s’amusaient à boire toute l’eau de ces mirages
S’approchant de moi en me criant  » A l’abordage » !
Et sentant le rire étouffé de ces grands enfants
J’eu le malice de leur courir après avec élan

Je n’ai plus le droit à un moindre petit geste
A un faux pas qui pourrait devenir indigeste
J’admire la vivacité tudesque de certains
Que j’exècre pourtant au plus haut point

Les amitiés périlleuses

Les amitiés périlleuses

Amitié d’aujourd’hui, amitié d’autrefois
Moi qui émet l’amour et qui en reçoit
Qui se soumet aux éternels discours
Qui me rendent aveugle et parfois sourds

J’ouï ceux qui comprennent aisément
Certains de mes choix faits aveuglément
Je suis l’être qui somnole et souvent dérange
Celui du temps passé que rien ne change

Je m’en vais tournicoter dans ces tempêtes
Tu me tend ta douce main et me rouspéte
Je survole ton adorable côté burlesque
Tes pensées à mon égard si pittoresques

Je me noie dans ton immense rivière creuse
Petit à petit je m’enfui de manière joyeuse
Las d’entendre encore sonner le clocher
Qui me rappelle ces histoires d’amitiés.

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Le manque

Le manque

Des êtres qui souvent vous manque
Qui font des tours comme des saltimbanques
J’ai ris comme j’ai parfois pleuré
Du décès de certaines relation d’amitié

Mes yeux ont été brûlés à l’acide
Mes caresses n’ont plus été placides
Mes proses dissoutes par la chaux
Si bien que ma pensée dépasse mes mots

J’ai aveuglement aimé sans vouloir détruire
J’ai arraché tes envies, tes derniers désirs
Pour mon cœur déchiré par ton soudain départ
Nous nous sommes regardés d’un air hagard

Je me suis effondré comme un gibier abattu
En plein bois, par surprise, sans piège tendu
J’ai saigné en me laissant mourir peu à peu
En invoquant pour la dernière fois les dieux

Un temps passé

Un temps passé

Le temps passe comme une menace
Je vocifère puis je me lasse
On torpille parfois mes projets
Et aussi ceux que j’ai aimé

La vie, les ennuis, sont sans fin
Pour moi qui suis un grand crétin
Qui rugit parfois comme un lion
Quand je ressent une manipulation

J’efface ces douloureux souvenirs
Qui me font imaginer souvent le pire
Je suis faible comme le poussin
Qui vient d’éclore ce matin

Mon cœur a été maintes fois brisé
Par des espérances, des amitiés
Mais il y a la rose de l’espoir
Qui me dit encore d’écrire ce soir

Les hommes

Les hommes

Deux hommes inconnus se sont rencontrés
Ils se sont parlés et parfois regardé
Il n’y eu de jalousie entre eux deux
Quand leurs yeux ont croisés ce ciel bleu

Les amitiés naissent de points communs
Mais aussi de divergences qui vont loin
Il y a aussi parfois d’étendus brouillards
Qui donnent à chacun de grands cafards

Je visionne, au loin, cette main tendue
Qui me demande aussi d’où je suis venu
Qui m’épaule chaque jour tel un majordome
Qui m’écrit et parfois aussi m’assomme

J’idolâtre nos perfides et longues discussion
Qui nous empêche, parfois, de tourner en rond
Je me suis perché en haut de cet arbrisseau
Pour observer les émeutes de nos rivaux

Le bonheur par deux

Le bonheur par deux

L’amitié partagée de bonheur et de sourires
Chaque doux mot de toi je lis et j’admire
Je suis l’ombre de ta bonté, de ta vie
Tu es le soleil qui me retire des ennuis

La sensation de te connaître depuis l’éternité
Nous nous idolâtrons avec beauté et fierté
Tes profonds désirs enfouis seront réalisés
Ta mémoire et ta tendresse jamais bafouée

Nous irons compter les étoiles de ta galaxie
Pour effacer les écorchures, quel ineptie !
J’ai retrouvé les parfaites clés du bonheur
Que j’avais égaré, un jour, par malheur !

Je me suis endormi riant de ma simplicité
Avec ce petit rire agrémenté de sincérité
Tu fais prospérer mes plus belles années
Toi que je regarde, que j’aime et que j’aimerais !

Regards et amitiés

Regards et amitiés

Ce regard trouble qui fait des vagues
Dans ces eaux froide de l’océan arctique
Ces relations amusantes, parfois platonique
Qui ne se transforment jamais en petite drague

J’ai le cœur qui crépite chaque fois
Quand j’ois vos belles et claires sonorités
Qui me font chaque seconde chavirer
Dans ce bateau sur lequel je me noie

J’ai été armé comme les plus grandes dents
Du requin qui se ballade et vous capture
Vous avale, vous détruit, tel une fioriture
Pour devenir un dauphin vous affectionnant

Je suis le petit oisillon consolateur
Je cagole mes petites tourterelles
Qui se couvrent de cette fine grêle
Pour qu’elles n’aient plus jamais peur

L’absence

L’absence

L’absence qui me fait parfois peur
Je continue d’être dans son cœur
J’ai parfois pris quelques libertés
Mais je n’oublie jamais les amitiés

Vers d’autres cieux je me suis envolé
Pour ne jamais me sentir prisonnier
J’ai pris le chemin de la sobriété
Pour ne plus jamais faire d’excentricités

Mes fondamentaux sont vraiment acquis
Pourtant je ressent la sensation d’oubli
Sans le comprendre, ni même le vouloir
Ce qui ne m’empêche pas de le voir

Mon esprit est resté clairvoyant
Malgré les blessures saillantes
J’ai besoin de poser mes valises
Mes peines, mes joies, sur cette banquise

Tendresse et Révolte

Tendresse et Révolte

Tendresse ,beauté de notre petite jeunesse
Tristesse perdue dans une grande vieillesse
Les roses du printemps tournent et virevoltent
Elles fanent signe de l’approche d’une révolte

En ces temps où l’on oublie son prochain
Qui nous regarde, exprime ses chagrins
Que d’être laissé à l’abandon, esseulé
Je n’ai rien vu, même si la vie l’a broyée

Je suis parmi sept milliard d’être humains
Qui se côtoient, se serrent parfois la main
Et qui se racontent nombreuses vérités
Comme des mensonges bien organisés

Je perce le mystère que vous provoquez
J’ai appris à en résoudre tel un initié
Je perce vos attitudes si curieuse
Pour lire dans vos pensées ignominieuse

Amitié réconfortée

Amitié réconfortée

Une amitié entièrement réconfortée
Celle que je regarde dans les yeux
Pour dire que nous somme deux
Je t’offre une belle orchidée

Pour te prouver que je vis de toi
Car chacun de tes mots me met en émoi
C’est la renaissance d’une belle rose
Qui s’envole avec ton coeur et mes proses

Mon esprit ne divague plus en te regardant
Toi et ton visage, les cheveux dans le vent
Je m’envole vers un autre ciel nuageux
A chaque fois que je t’osculte, envieux

Je suis épanoui grâce à mon étoile brillante
Qui accompagne ma vie et parfois chante
Le ciel m’a offert une belle relation epanouie
Je ne suis plus triste, je souris et survie

Le temps passe si vite

Le temps passe si vite

à Fati ….

Six années de rires et de pleurs
En ayant bravé toutes les peurs
En gravissant tout les échelons
Sans jamais que tombe de grêlons

Ton visage ton caractère sans duplicité
Sans nul doute ont fait de notre amitié
L’une des plus grandes valeurs morales
Et rien ne nous parait plus normal

Des liens solides et unis sans faille
Ont fait des amis de grandes tailles
Qui jamais ne se mettent un poignard
Quand il fait nuit parfois très tard

Le réconfort mutuel est notre credo
Pour ne jamais se mettre à dos
Pour continuer de tisser notre toile
Rien qui, au fond, ne parait plus normal

Mille faux baisers

Mille faux baisers

Mille faux baisers qui m’ont embrassés
Mille amitiés qui m’ont encore brisés
Et de faux copains que l’on aime
Pour que la vie ne soit plus vaine

J’ai attendu une sincérité légère
Pour voler tel une gentille mégère
Qui ne fait de mal à personne
Et en retour, tristement, je donne

Mon cœur, ma santé , mes espoirs
Que je place la nuit, chaque soirs
Mais jamais ne vient la douceur
Il n’arrive que de beaux leurres

J’ai regardé la vie d’un air songeur
Et réellement je suis devenu rêveur
J’ai suivi ce parchemin de vérité
Qui m’indique ma route parsemée

D’embuche et de graves problèmes
Je suis resté chaque jour blême
Face aux problèmes quotidiens
De tout ceux qui ne comprennent rien

Entre deux feux

Entre deux feux

Entre deux feux, entre deux lieux
Tiraillé par la vie, je suis incompris
Je ne ressemble qu’a un demi zombi
J’ai encore tout cela, faute de mieux

Je piaille à vous égosiller vos tympans
A réveiller les morts de leurs tombeaux
Je suis à mille lieu de panser vos maux
J’attache peu à peu un petit ruban

Sur mes grandes phalanges si extensible
Je suis un phénix renaissant des cendres
Alors que je détenais un lourd scaphandre
Je n’ai maintenant plus rien de risible

Je suis tantôt désiré, tantôt rejeté
Et petit à petit le fossé se creuse
Pendant que vous enfoncez de la gueuse
Je suis comme un arbuste mort, mal planté

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Solitude

Solitude

 

A mes amis et connaissances actuelles
A qui je suis toujours aussi fidèle
A qui je ne donne pas assez de présence
A qui j’ai parfois déclaré mon absence

 

J’entends les complaintes de votre solitude
De ceux qui aiment par grandes habitudes
Et qui, aussi, voudraient être parfois câlinés
Mais se contentent seulement de rêvasser

 

Je donne mon attention et ma sollicitude
A quiconque ayant bienveillante attitude
Le désespoir ne doit jamais vous hanter
Ni occulter vos désirs et envahir vos pensées

 

Mon cœur ne vous a jamais réellement délaissé
Votre esprit en moi que vous avez crus asphyxié
Parfois par d’autres occupation et personnes
N’est que calomnie même si cela parfois étonne

 

Je ne suis pas inquiet quant à votre véritable avenir
Je sais à quel point parfois je peux vous voir souffrir
Bien que je veuille consoler par amitié tout un chacun
Je n’arrive parfois pas à combler vos petits chagrins

 

Amitié étoilée

Amitié étoilée

Amitié étoilée et éternelle
Tu m’est tellement fraternelle
Je suis l’ombre et le vent
Quand tu est mon soleil levant

Mes mots sont une vision parcellaire
De ce que ressent ma grande sphère
Un grain de sable venu de l’océan
Sans qui je ne pourrais faire sans

Les mots de ton grand et amical esprit
Sont ceux qui fait que je souris
L’univers ne comprendrais pas mon état
Toi, mon amie, présent ici et la bas

Les nuages s’efface à ton passage
Quand mon esprit triste est a la page
de ce jour si vague et mélancolique
Doit-je être alors si catégorique?

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

315 réflexions

315 réflexions

Contexte : Lettre à ma meilleure amie que je connais depuis 315 jours à la date du 23/12/2013.

Trois cent quinze, le nombre de jours
Qui sépare notre rencontre, notre humour
Nos réflexions sur la vie, son évolution
Toi , animée , pleine de grandes passions

J’ai grandis quand tu m’ as violemment taclé
Pour me dire mes quatre et vrais vérités
Seul toi pouvais me faire comprendre la vie
Son sens, sa direction … et tu m’as souris

Je t’ai écouté d’un air entièrement béa
Et je crois toujours à nos brouhahas
Même si tu parle de t’éloigner par la suite
Sache que je saurais ne pas rester triste

J’irais jusqu’au bout de tout tes chemins
Je prendrais mon cœur et mes trains
Pour te voir, te comprendre, t’apprécier
Ce ne sont que simples mots d’amitiés

Complicité

Complicité

Mon ami, mon idole, ma brise, mon sable
Tu m’a vu, m’a regardé d’un air affable
Ce petit grain doré de grande complicité
Me rend parfois faible et mal-aimé

La peur qui grandit de tout pourrir
De ne plus te voir, jamais, ni réussir
A conserver ton coeur et ton esprit
De ne plus te montrer que je souris

De perdre à tout jamais mon étoile
Cela n’est pour moi totalement banal
Je décrocherais la lune, me tairait
Pour ne jamais avoir de larme a verser

De nos jours, chacun vit pour soi
Je n’espère jamais devenir comme cela
Mes verbes sont là, totalement maladroit
Mes lèvres se referment, je me tait.