Complicité
Mon ami, mon idole, ma brise, mon sable
Tu m’a vu, m’a regardé d’un air affable
Ce petit grain doré de grande complicité
Me rend parfois faible et mal-aimé
La peur qui grandit de tout pourrir
De ne plus te voir, jamais, ni réussir
A conserver ton coeur et ton esprit
De ne plus te montrer que je souris
De perdre à tout jamais mon étoile
Cela n’est pour moi totalement banal
Je décrocherais la lune, me tairait
Pour ne jamais avoir de larme a verser
De nos jours, chacun vit pour soi
Je n’espère jamais devenir comme cela
Mes verbes sont là, totalement maladroit
Mes lèvres se referment, je me tait.