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Month: juin 2008

Raison

Raison

Non. Je n’ai pas raison de penser cela
Et pourtant je le souffle tout bas
Comme souffle un vent coureur
Sur la plaine de ton coeur

La plaine de ton coeur est comme ton âme
Elle est ouverte mais pas comme toutes les dames
Ouverte et on peut encore creuser de l’amour
On peut encore regarder au plus profond de ton jour

Ô toi qui viens quand je suis triste
Ô toi qui chaque jour me fais vivre
Je suis quelqu’un car dans mon coeur tu habites
Toi qui m’aime , je lis en toi comme on lit dans un livre

C’est fini , tu a encerclé et pris les clés du trésor
Tu trouves toujours quelque chose caché dans mon dehors
Tu vois je te l’ai dit je suis à toi
Je me dévouerai pour ta belle voix.

Seul

Seul

Seul je suis
Seul je vis
Seul je ris
Seul je lis

De fausses excuses bidon je les connais
De fausses raisons mais je les ai dominé
Pas de ma faute si à chaque fois on me déçoit
Pas de ma faute si chaque « Ami » fait sa loi

Être seul avec soi-même ne peut plus faire mal
C’est comme s’il fallait faire son deuil
Et se dire que maintenant c’est normal
Et se dire peut-être qu’ils m’en veulent

Les mots  » Ami » et  » Amitié » sont bannis
Langage à proscrire , c’est bon merci
Mais ne vous inquiétez pas je reviendrai
De ce long champ d’été

Edit : Certaines personnes doivent se sentir visées mais pas toutes. Pas toi marion, pas toi. Ni melissa, mais certaines personnes. Je parle ici de l’utilité que j’ai pour certaines personnes qui me prennent  pour quelqu’un d’utile mais pas pour leur ami.
Amicalement.

Terrible

Terrible

Terrible, Terrible est la vie
Trépide, Trépide je la gère
Vide, vide mais je souris
Rempli d’espoir j’espère

Vengeance je crierai
Insolent je serai
Abêtissant vous verrez
Arrogant je resterai

Vous ne m’aurez pas
Je marcherai à grand pas
Je vous écraserai à pas de mouche
Comme ça vous fermerez votre bouche

Si il faut que je galère je le ferai
Si il faut je crèverai
Et comme il le faut je tenterai
Même si cela échoue j’aurai essayé.

Dévoué

Dévoué

Je pourrais dire, ce jour, et en tout honneur
Que quelqu’un d’aussi dévoué, parfois de bonne heure
Mais jamais de très mauvaise humeur
A réussi à éviter le pire des malheurs

On ne peut pas autant se dévouer pour ses étudiants
On ne peut pas autant les pousser à devenir grand
Mais il l’a fait, conscience, conscience oblige
Mais il a cru en tous, croyance, croyance oblige

Et dire, pendant plus de cinq années il a tenu
Le bon bout, il l’a attrapé
Lui? Jamais en pleurs, jamais en crise, mais nous, il nous y a vu.
Aujourd’hui il est venu temps de le remercier

Il ne part pas bien loin, juste à quelques centaines de mètres
Mais il s’en va pour tous
Ce n’est jamais que quelques larmes qui partent dans cette lettre
Nous savons que tu seras là et que tu continueras de faire tout pour nous.

Trop de choses me poussent à dire que le personnage est, et reste génial
Maintenant je le lui dis!
Maintenant je le lui écris
Merci à lui de tout ce qu’il a fait pour nous! Oui… oui parle

Oubli

Oubli

On oublie souvent l’etre qu’on aime
On oublie souvent le bonheur qu’il amène
On oublie souvent la chaleur qu’il dégage
On oublie souvent son visage

Je te vois , tu me caches, je te cache, tu me vois
Ça y est je deviens fou de toi
Ça y est tu es toujours là
C’est toi, je n’entends plus que ta voix.

Toi et moi ce n’est plus banal
Toi et moi c’est normal
Toi et moi depuis quatre mois
Je t’aime et mille baisers de moi tu reçois.

Ce poème est pour toi
Nous sommes de connivence sur beaucoup de points
Merci à toi
Notre destinée n’est plus très loin.

A Toutes Mes Connaissances

A Toutes Mes Connaissances

Il y avait un jour où j’étais sans vous
Il y avait un jour où je n’y croyais pas
Il y avait un jour où je pensais être au trépas
Et il y a ce jour où vous êtes là

Ce jour, c’est hier, c’est maintenant, c’est demain
Avec les personnes présentes à mon cœur
Ce jour-là c’est le jour où je fais mon chemin
Ce jour-là c’est un jour où n’apparaît pas le mot malheur

Il est important de savoir sur qui vous êtes sûr
Il faut regarder si ceux que vous aimez vous apprécient
Pour ce que vous êtes et non ce que vous faites
C’est ça le plus dur

Je sais que je peux compter sur vous
Je sais que vous êtes présent en moi
Je sais que c’est absurde
De tout de suite penser aux courroux.

Tendresse

Tendresse

Tendresse, jeunesse, tendresse, vieillesse
Ces vieux, ces hommes, ces femmes, ces enfants
Je voudrais leur dire que nous vivons dans un monde grand
Je voudrais leur dire que chacun peut apporter la douceur et la tristesse

Tendresse quand tu nous tiens
Tendresse à disposition de l’humain
Tendresse partagée
Tendresse caressée

Chacun de nous partage un jour un moment à l’autre
Chacun de nous voyage au pays des rêves
Chacun de nous à le cœur qui crève
Chacun de nous se sent parfois un peu apôtre

Que désignais-je l’ami par de mot si brutal?
Je vois là des choses anormales
Merci à nous tous d’avoir créé l’amitié
C’est elle pour laquelle on ne défaillirait.

A toutes ces femmes

A toutes ces femmes

A toutes ces femmes,
Je voudrais leur dire toute l’âme
Que j’ai pour comprendre cette tristesse
Je voudrais comprendre cette bassesse

Je voudrais comprendre cette phallocratie
Qu’a l’homme sur la femme
Je voudrais comprendre cette aristocratie
Que l’humain a sur ces dames

Ceci est d’une petitesse jamais imaginée
Dans notre monde civilisé
Dans notre monde agrée
Dans ce monde distingué

Je ne comprends pas pourquoi la vie est faite ainsi
Mais la chose que je comprends c’est qu’enfin elle rit
Lecteur! D’après toi , que désignais- je avec tous ces termes?
Je signale quelque chose d’anormal dans un monde qui s’aime

Compassion et Amitié

Compassion et Amitié

J’éprouve une certaine compassion
A l’égard de certaines amitiés
J’avoue cette affection
Je suis très lié.

Ô combien d’êtres dans cet univers
Oublient qu’ils vous aiment
Ô combien ils n’ont jamais pensé
Que vous étiez leur été.

Chacun de nous est très beau
Chacun ses qualités, ses défauts
Chacun un jour a un cœur d’ange
Chacun a de l’amitié et de la compassion qui se mélange

Le problème c’est qu’ils ne le voient pas
Le problème c’est qu’ils ne le ressentent pas
Le problème c’est qu’ils le cachent
Le problème c’est qu’ils veulent que personne ne le sache

Le printemps est dissimulé dans leur esprit
Un beau jour le printemps se réveille
Ca y est ils ont compris ce qui chaque jour nous éveille
C’est la compassion et l’amitié, qu’on lit desormais.

Les seuls uniques et existants

Les seuls uniques et existants

Je me suis rendu compte
Peut être un peu tard
Mais je me suis rendu compte
Que j’ai rendu cette amour tard

Je n’ai pas ouvert les yeux avant
Je le vois maintenant
Tristes larmes, triste sort
Joyeux drame, dors, dors encore…

Je n’ai jamais autant compris l’importance
De l’amitié et de l’amour de deux êtres
Même si parfois je leur envoie ma lance!
Je me demande pourquoi je suis si bête!

Merci de m’avoir compris
Mais moi je ne vous ai pas tout dit
Trop de choses restent enfouies
Et ce sont ces choses qui mênent les cris!

Souillée

Souillée

Souillée, ca y est elle est profanée
Elle est tombée dans ce sanctuaire d’été
Quand Je pense à toutes ces femmes bafouées
Quand j’entends cette réalité

Il a transgressé, il lui a arraché,
Tous ces mots me viennent à l’esprit
Non je ne comprends pas pourquoi il l’a pris
Je suis prosterné

Elle a du se vendre à lui
Et nous l’avons ouï
Il faut combattre cette horreur , cette ordure
Il faut maintenant qu’elle redevienne pure.

Jolie,belle,douce elle était
Maintenant elle se sent vidée de toutes ses qualités
Je vais lui redonner la vie, au lieu de voir ce sourire malheureux
Et pour elle , je serais plus que peureux.