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Month: mars 2013

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Chance

Chance

A deux femmes Alais et Fatima

La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables

Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard

Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude

Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre

Enchanté vous avez dit?

Enchanté vous avez dit?

Tournesol d’été, me voila enchanté
Empereur du royaume de la joie
Chantez, chantez cruelles voix
Votre couteau s’enfonce dans ma plaie

Un monde enfantin où rose est la couleur
Manège de la vie où rien ne m’est épargné
Faiblesses, je te suis avec ma véracité
Mon désir est présentement devenue ma peur

L’enfer d’autrui m’a totalement ébranlé
Mais en moi je détient quelques gloires
Malgré l’absence d’initiative, d’espoir
L’être est reconnaissant des grandes amitiés

Enfance que j’ai perdu, le passé, regrets
Je vous aime d’amour terre et ciel
Je dissimule sentiments et sort mon Opinel
Je suis parmi les votre, mais suis-je accepté?

Abandon

Abandon

Peur de tes bras ma douce ingénue
De tes mots, ton charme, ton odeur
Tes sentiments ont mille valeurs
Je crains de toi n’être plus vu

Mon âme s’abandonne à ton esprit
Mon coeur chevauche ta rivière
La fraternité à présent nous relie
De tes sentiments ma chancelière

Mais peut-être autrui te charmera
Je me noie de chagrin , en vain
Je crois que tu m’abandonnera
Et n’aurais pour pleurer mes mains

A présent j’ai un pied sur l’étrier
Je penche, tombe, me detruit
La vie bascule du mauvais côté
Je ne suis plus! Adieux, tout est permis!

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

La débacle

La débacle

Moyens de survivre, de rire
Je ne pense pas au pire
Le bateau va bientôt couler
Je n’aurais plus de doux étés

Doux mirage, beaux marécages
Tourne, tourne la page
j’ois les pinsons d’hiver
Je repense encore à hier

Je gravite autour de ton axe
Tu détestes à nouveau ma syntaxe
Tu es mon oreille, mon âme
Je t’aime, je t’aime belle dame

Je résiste à cet entier marasme
Il n’y à en moi aucun sarcasme
Je te suis tout, vraiment entier
Pieds et mains entièrement lié

Nostalgie

Nostalgie

Nostalgie je ne suis plus à l’abri
De tes regards insolent mon enfant
De mon estrade, d’en haut, de mon temps
Depuis bien longtemps je n’ai plus ris

Ils courent attraper les tournesols
Ma haine viscérale de l’amour
J’ai tout tenté, cours toujours
Je l’ai récupéré en haut vol

Ton sang à coulé dans mes veines
A transpercé mon âme, bien calme
De ton cœur je n’ai plus la palme
Je voudrais t’avoir ma reine

Me voila complètement penaud
Avec mes sentiments de bas-étage
Je te combattrais, avec ma rage
Non, je ne suis pas idiot

Insouciance

Insouciance

Insouciance, ma plus grande liberté
Mes mérites entier j’ai vanté
Sans vergogne, sans louanges
Maintenant tu te venge

Je t’ai vu partir avec tristesse
Et dans tes mots n’existe délicatesse
Aucun état d’âme dans tes faux-propos
Moralement je n’était plus vraiment beau

Ton cœur est devenue entièrement opaque
Tu à tout tenté avec moi, même l’attaque
Et maintenant tu essaye de vivre en catimini
Sous les pavé chauds de la place d’Italie

Venant te chercher doucement avec mes pas perdus
Bientôt deux ans que j’ai oublié ton visage, ta vue
Que je suis sans ta présence, ton amour, ta naïveté
Comme à l’ordinaire tu exécute une certaine velléité

Eternité

Eternité

Amitié, je t’ai idolâtré
L’ange en toi sommeille
Allume toi petite fée
Imagine mon doux réveil
Susurré de mot tendre

Vacuités de sentiments
Amour maintenant tentant
Rigole mon étoile, ma galaxie
Ignore ma douceur, ma vie
Nul n’aime plus que moi

Retrouvé

Retrouvé

Galère de la vie
Armure en toi tu ris
Électrique est ton humeur
La vie est ton erreur
Le sourire ton bonheur
Envole toi c’est l’heure

Regrets

Regrets

Regrets de l’amitié du passé
Une expérience, une éternité
Des mots,des voix, des erreurs
Des lois, des tristesses, ma pâleur

Allons de l’avenir du futur
Attention rien est moins sur
Et j’endure mon enfance
Je suis en pleine errance

Adolescent désœuvrée que je suis
Le peuple à une nouvelle fois salit
Ma réputation, homme de confiance
Plein d’ultime doléance

Je vais vous châtier à présent
Une vrai peine de cœur, de sang
Et l’amitié que vous respiriez
En moi maintenant vous l’éteindrez

Les lilas

Les lilas

Poésie expérimentale

Lilas fleurissent
Lilas vieillissent
Lilas trahissent
Lilas lisses

Rose ils trépignent
Rose le signe
Rose formidable
Rose affable

Courtoisie de justesse
Courtoisie de vieillesse
Courtoisie affligé
Courtoisie à mes pieds

Meurtris de votre violence
Meurtris de votre absence
Meurtris de l’insolence
Meurtris de votre errance

Les feux

Les feux

à Fatima

Amour en feu
Amitié en jeu
Bonheur en vue
Qui l’eut crut ?

Étincelle de la vie
Mon histoire tu écrit
Tu embrasses la braise
Tu soulèves des falaises

à tes côtés je suis serein
Nos cœurs ne valent qu’un
Soudés pour l’éternité
Reliés à tout jamais

L’au-delà ne nous sépare
Ne nous rend plus avare
Sans aucune affliction
Nous nous en irons