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Month: juillet 2009

Vague(s)

Vague(s)

Caresse océanique, caresse du vent
Caresse du temps, de celui qui vient et qui revient
De celui qui oublie, les gens à qui l’on tient
De celui qui ne croit pas aux mots violents

De quel droit se permet cette vague de me guider?
Des droits de la plus grande amitié
Et même en étant mutilé
Des fonctions les plus appréciées

On peut avoir un caractère, être intelligent
Mais, parfois, il y a le contraire
Ceux qui sont nés contre le vent
c’est comme de l’herbe pas assez verte

Cela n’arrive pas à pousser dans les champs
Pourtant d’autres, préfèrent arracher les mauvaises herbes
Avant qu’elles ne grandissent dans un indéfini temps
Continues sur ton chemin..

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre

Brin d’été

Brin d’été

Quand le soleil se lève
Il laisse jaillir sa lumière sur l’horizon
Il donne la vie à notre raison
Et la poussée de ses fleurs s’achève.

Tandis que ton chemin est parsemé d’étoiles
Le mien est mis en voile
Caresse sur l’océan
Bonheur et fragilité du temps

Hymne à l’amour

Hymne à l’amour

Oh mélancolie et tristesse,
Je me crois en pleine vieillesse
Et je regarde tes yeux plein de larmes
Moi qui croque ton charme

et tes yeux bleu sont océan
et ton visage doux est sable
et ton amour est sang
et ta douceur est nature

Toi qui aime la vie
Croques la pomme de l’amour
Aimes ton prochain comme tu t’aimes
Approches toi de sa main

Et dans notre âme si profonde
Demandons-nous qu’est-ce qu’aimer?
Toi qui ne m’aimes pas par vanité
Mais par bonheur de vivre

Continues et restes ainsi
L’amour est un bouquet de violettes
Il se ceuille au bord de l’herbe
avec raffinage et douceur

Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.