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Month: décembre 2013

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

315 réflexions

315 réflexions

Contexte : Lettre à ma meilleure amie que je connais depuis 315 jours à la date du 23/12/2013.

Trois cent quinze, le nombre de jours
Qui sépare notre rencontre, notre humour
Nos réflexions sur la vie, son évolution
Toi , animée , pleine de grandes passions

J’ai grandis quand tu m’ as violemment taclé
Pour me dire mes quatre et vrais vérités
Seul toi pouvais me faire comprendre la vie
Son sens, sa direction … et tu m’as souris

Je t’ai écouté d’un air entièrement béa
Et je crois toujours à nos brouhahas
Même si tu parle de t’éloigner par la suite
Sache que je saurais ne pas rester triste

J’irais jusqu’au bout de tout tes chemins
Je prendrais mon cœur et mes trains
Pour te voir, te comprendre, t’apprécier
Ce ne sont que simples mots d’amitiés

Les décéptions de l’amitié.

Les décéptions de l’amitié.

L’amitié est une histoire de grandes passions
Où les différences font parfois la raison
Le dialogue est le sommet de la sincérité
Et pourtant beaucoup ont souvent braient *

Souvent les relations sont abstraites
Et la présence n’est qu’aux jours de fêtes
Tandis que d’autres avouent leurs rancœurs
Et ne comte à bout de champs tout leurs malheurs

Un brin de nostalgie dans mes différentes palabres**
Parfois cela fini dans des gestes entièrement macabres
Et je regrette ceux-ci dans les cerveaux sans réflexions
Vous étiez ma destinée mais je n’écoute plus vos ovations

Quand l’amertume remplace le sourire, la joie, la vie
Quand l’inertie totale remplace l’envie d’aimer des amis
Quand des questions se posent sur le devoir de fidélité
Quand ceux concernés ne comprennent pas le sens du respect

*Du verbe braire.
** Palabres : Mots, phrases

La fusion

La fusion

L’amour porté par deux personnes
Sont autant de mots qu’ils fredonnent
A nous qui les avons portés dans leurs projets
Nous les suivront en entier

A toi papa, qui m’a conduit vers l’indépendance
à toi Corinne, à ton sourire et ton élégance
à votre vie amoureuse, vos envies, votre futur
Qui pourra être facile comme dur

Soyez assuré de ma reconnaissance
Qui me permette d’oublier l’indifférence
Et de comprendre le sens de la vie
Les jours ou je n’avais plus ris

À Corinne, à son dévouement aux autres
à mon père, loin d’être parfois un apôtre
Mais que j’aime depuis qu’il m’a créé
à vous deux, continuez de nous faire rigoler

Le coeur et l’esprit

Le coeur et l’esprit

La vérité a éclaté et je l’ai entendu
tout vos mots salaces j’ai reçu
En pleine face , tel un boomerang
Qui a explosé, soudain fait bang!

Vous m’avez anéanti, rabaissé au plus bas
J’ai mal, et peut être je ne me relèverais pas
J’étais intègre et j’ai tenté l’honnêteté
Cela ressemblait alors à des rose de l’été

Je ne sais plus ou aller ni comment faire
je n’ai plus d’idée, ni même l’envie d’avancer
Comment croire, continuer d’essayer d’espérer?
Chacun joue l’aveugle en essaye de plaire

Je suis le jouet sur lequel on appuie
J’imagine un rêve et maintenant je ris
J’ai tiré plus vite que mon ombre
Mon avenir est devenu si sombre

Doit-je continuer dans ce tumultueux chemin?
Qui chaque jour me détruit et ne mène à rien?
Je suis pourtant tout ouï aux propositions
Faudrait-il déjà qu’il y ai l’animation…

Abris

Abris

L’abri,le toit, le gîte, le couvert
Je ne l’ai plus, je suis amer
Un triste personnage reculé
Sur cette terre d’arriérée

Je me sent pris au dépourvu
Quand mes rêves dirent salut
Et qu’ils s’entachent d’ennui
Moi, l’enfoiré de cette vie

Fort aimable soit le courage
Et l’envie d’avancer, la rage
Fort aimable soit l’amitié
Je meurt pieds et poings liés

Je suis aussi le maître du destin
Qui s’acharne, Mine de rien
Il n’y a dans la vie de désespoir
sans tenté un instant d’y croire

Il y a juste des chiens qui hurlant
au loup, ont fait de moi l’absent
Je suis votre crainte du jour
vous êtes à ma peur de toujours

Les impasses

Les impasses

Madame,

Dans les impasses j’ai entièrement foncé
A mon passage , je me suis détruit et blessé
Assisté au quotidien de votre force et courage
Vous avez trouvé un homme pas vraiment sage

Par le passé je ne fut vraiment raisonnable
Vous n’avez pas jugé cela et êtes affable
Vous ne pouviez voir combien j’étais perdu
Et l’espoir que vous m’avez maintenant rendu

Mon avenir n’est pour l’instant pas radieux
Mais le quotidien nous rend nécessiteux
Certains besoins et envies ne peuvent être comblés
Car la difficulté de gestion doit être mesuré

Ces mots sont pour ma grande reconnaissance
Envers votre bienveillance et votre endurance
Votre volonté de m’éviter les pires méfaits
De la part d’un certain nombre de créancier

Madame, je rend l’hommage aux heures passés
A élucider cette situation si compliqué
A m’écouter, m’entendre, me défendre
A m’admonester, me secouer, me prendre

Pour un être en qui vous avez relative confiance
Ce qui est ni confortable, ni preuve d’aisance
Je saurais madame, malgré les interdictions
Vous faire mes plus grandes ovations

Permettez de combler le supplice de la lecture
De ce texte, de ces courts mots que je triture
Pour vous encourager à ne jamais baisser les bras
Ne pas me laisser tomber, être encore là.

Silence, on tourne!

Silence, on tourne!

Silence, on tourne et retourne encore
Silence, je cherche toujours de l’or
Silence, je pleure en votre absence
Silence, j’aime votre persévérance
Vous êtes mes jambes, je suis vos mains
Je n’oublie votre chagrin, chaque matin
L’étoile qui surgit de votre grande bonté
M’a permis de vous adorer, vous aimer

Je me suis senti si seul sans vos doux mots
Pour partir il est vraiment trop tôt
Muni de votre présence fondamentale
Vous êtes comme une carte, vitale!

Je hais quand vous ne pensez pas à moi
Quand vos mots durs dicte votre loi
Mais vous aimer c’est entendre vos cris
D’alerte et de ne rester sans avoir réagit