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Month: novembre 2009

Belle vues

Belle vues

A quelqu’un d’extraordinaire(Merci!)

Belle vues intérieures
Mauvaise vues extérieures
Vient par ici rose
Vient faire une pause

Toi qui me connait,
tu sais mon point de sensibilité
Et pour moi tu ferais le monde
Tu ferais quelques fumées rondes

Et pourtant combien je t’aime
Quand tu vient me secourir
Mais aussi quand tu vient rire
Tu est mon étoile, mon emblème

Celle de l’univers qui à atterrit
Sur terre, par hasard
Qui ne pousse jamais un cri
Qui n’est a mes paroles hagard

Vient ma rose,mon réséda
que je te serre dans mes bras
que je te dise reste là
En quelques mots, tout bas

Insolence

Insolence

Quand insolence rime avec ignorance
Quand ses mots me pèse avec violence
Quand je crie sur les bords de la dignité
Et j’imagine cette sombre vérité

Triste indécence que de voir ces mots
Et je hurle et crie à la liberté
celle qui est simplement limité
au regard d’une personne , sotte!

Quand il en marre, il jette son opprobre
Et présentement sa situation devient tenace
Si ce n’est pas dire, salace
Et elle n’est en réflexion plus pauvre

A quand cessera ce manège?
Ce jeu infantile, comme la neige
A quand rimera amour et dignité?
Quand le contraire sont inimitié?

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Souvenirs

Souvenirs

Souvenirs lointains, souvenirs puritains
Souvenirs d’amitié , de tendresse
Oh, non je ne t’ai oublié jeunesse
Si il te plait, approches-toi, viens

Que vaut la vie maintenant
Pacotilles et choses ulcéreuses
Et je suis toujours là. Amoureuse
Reviens vite pépite d’avant.

Que de choses

Que de choses

Que de choses sont difficiles
Que de choses habiles
Que de choses subtiles
Que de choses débiles

Tandis que s’arrache l’amour
Tandis qu’ils se déchirent
C’est aux gamins d’en patir
Espèces de rats, de vautours

Toujours près de leurs deniers
Renonçant à l’humanité
Ne cédant pas à la honte
Ils sont, ils existent, ils demeurent

Ce sont mes ascendants
Et je n’ai aucun pouvoir
Si ce n’est leur en vouloir
Adieux bon vieux temps