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Month: juillet 2014

Enfants meurtris

Enfants meurtris

L’émotions qui se lit sur vos visages
De voir tant d’obus et de petit saccages
Se trouver sous le feu d’un tir de roquette
Car l’un et l’autre n’entendent les requêtes

Celle d’un peuple désemparé qui n’a rien demandé
Qui ne fait qu’attendre l’espoir en ayant pleuré
Se trouvant enfermé parfois dans de petits goulags
Pour avoir parlé, manifesté, protesté, suivie la vague

Atterré par tant de sang sur les mains d’assassins
Qui détruisent la vie et n’ont aucun destins
Écorché par une guerre a affronter sans merci
Ces enfants joviaux n’ont plus jamais souris

Les larmes des mères ayant tout perdu maintenant
Qui ne savent plus où aller ni dormir présentement
Le combat des pères pour sauver leurs familles
Des bombes, des tirs, des morts, des fusils

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Handicap

Handicap

Handicap, ce mot si étrange et barbare
Qui frappe parfois quelqu’un au hasard
Qui pourris parfois votre vaine existence
Qui ne vous facilite rien avec aisance

Parfois oppressés par l’incompréhension
De ceux qui n’ont parfois aucune vision
Nous sommes si différents et complémentaires
Notre angle de vue n’est pas mortifère

Nous ouvrons facilement notre grand cœur
Et comprenons aisément toutes vos peurs
Notre sensibilité s’est grandement décuplé
Puisque la vie nous a régulièrement écorché

Ne soyez pas effrayé en nous regardant
Avec votre sourire perfide, nous analysant
Venez chercher l’étoile qui est en nous
Devenez curieux, nous ne sommes des loups

Réalisez ainsi que vous vous êtes trompés
Sur notre cas, vous n’étiez pas initiés
A notre diversité et à notre différence
Vous savez et n’êtes plus dans l’ignorance

Vie automnale

Vie automnale

Des êtes douées et consciencieux
Dénués de sens et irrévérencieux
Qui se mentent à leur égard
Qui louchent d’un air hagard

Qui n’ont ni vie ni réels amis
Seuls au monde, avec du mépris
Où la tristesse parfois se lit
Sur leurs visages parfois endurci

Je comprend le profond désarroi
Qui peut les mettre en émoi
Ils doivent s’ouvrir au monde
Qui les entoures d’idées vagabondes

Et ne plus rester dans leurs carcans
Qui était bien il y a fort longtemps
Personne ne doit être vraiment reclus
Sauf chercher à rester des exclus

Société

Société

Toi l’individu seul et égoiste
Qui ne cherche que ton petit bonheur
Sans jamais réflechir aux grands malheurs
Des autres qui sont tout aussi défaitistes

Regarde ton prochain avec plein d’amour
Qui parfois aurait besoin des tes mains
Un peu plus, chaque jour, chaque matin
Sans jamais attendre un tout petit retour

Ouvre ton coeur sans rester pétri et reclu
Ne soit pas si amer en regardant autrui
Hiver comme été ne soit pas triste, sourit
Et tu ne sera cette personne qu’on exclu

Réagit à l’enfer des grandes moqueries
Soit actif et donne aux misérables
Un petit peu de ton sirop d’érable
Que tu aime et qui te bonifie

Solitude

Solitude

 

A mes amis et connaissances actuelles
A qui je suis toujours aussi fidèle
A qui je ne donne pas assez de présence
A qui j’ai parfois déclaré mon absence

 

J’entends les complaintes de votre solitude
De ceux qui aiment par grandes habitudes
Et qui, aussi, voudraient être parfois câlinés
Mais se contentent seulement de rêvasser

 

Je donne mon attention et ma sollicitude
A quiconque ayant bienveillante attitude
Le désespoir ne doit jamais vous hanter
Ni occulter vos désirs et envahir vos pensées

 

Mon cœur ne vous a jamais réellement délaissé
Votre esprit en moi que vous avez crus asphyxié
Parfois par d’autres occupation et personnes
N’est que calomnie même si cela parfois étonne

 

Je ne suis pas inquiet quant à votre véritable avenir
Je sais à quel point parfois je peux vous voir souffrir
Bien que je veuille consoler par amitié tout un chacun
Je n’arrive parfois pas à combler vos petits chagrins

 

Beautée fatale

Beautée fatale

Beautée fatale, tu es si enjouée
Naturelle et totalement animée
Je suis un petit phénix ressuscité
Quand nous sommes chacun liés

Le monde s’ouvre sous ton regard
Je te cajole et te console, l’air hagard
Tu est l’être que j’ai toujours voulu
Je me suis pourtant toujours abstenu

Personne ne sait faire briller la lumière
Qui éclaire chacune de mes paupières
Sauf toi, qui me croque du grand amour
Celui à qui j’ai envie de dire oui, chaque jour.

Nous ferons de grands projet, deux par deux
Nous nous marierons, finirons assez vieux
Et tu serrera le creux de mes petites mains
Je te dirait je t’aime, chaque matin.

 

 

Amitié étoilée

Amitié étoilée

Amitié étoilée et éternelle
Tu m’est tellement fraternelle
Je suis l’ombre et le vent
Quand tu est mon soleil levant

Mes mots sont une vision parcellaire
De ce que ressent ma grande sphère
Un grain de sable venu de l’océan
Sans qui je ne pourrais faire sans

Les mots de ton grand et amical esprit
Sont ceux qui fait que je souris
L’univers ne comprendrais pas mon état
Toi, mon amie, présent ici et la bas

Les nuages s’efface à ton passage
Quand mon esprit triste est a la page
de ce jour si vague et mélancolique
Doit-je être alors si catégorique?