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Month: avril 2013

Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Amen!

Amen!

J’ai tiré ma dernière révérence
J’ai changé la régulière fréquence
Je suis un minuscule grain de sable
Qui ne viendra plus jamais à table

Mon gosier a cracher sa dernière douleur
J’entends d’ici, à petit pas, mon exécuteur
A son approche je prend par la fuite
Ma géhenne n’est plus vraiment traduite

J’ai perdu tout sens de la réalité
Me suis pourtant maintes fois accroché
Je n’ai vu approcher ma sentence
C’est a présent une grande pénitence

Je ne suis rien sauf à vos yeux un idiot
Rien à faire je n’ai à votre égard que mot
Je suis seul, triste et à la fois tendus
Mon isolement radical est parfois aigus

Amen!