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Month: avril 2009

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Deux êtres

Deux êtres

Dédié à ma meilleure amie et son petit ami

Deux êtres s’envolent dans le ciel
Deux êtres si lointain
Qui pourtant d’eux prennent soin
Ah! Que la couleur vienne à eux, lune de miel

Aucun regret, aucun scrupule pour des gens que j’aime
Ils méritent ce qui leur arrive
Rien de plus beau que ceux qui s’aiment
Et moi, fier de leurs mérites, et qu’ils vivent!

Je peux le dire celà aura été sans faille
Bien que certaines choses soient encore retranchées
Dans leur esprit,  j’ai confiance,  qu’ils aillent!
Plus ils en seront heureux, meilleur mon sourire sera affiché

Qu’ils deviennent roses ou lilas,
Tulipes ou résédas
Que dieu les bénisse
Pour l’infini, l’éternité. Restez lisse!

Bon ou meilleur?

Bon ou meilleur?

Bonne ou meilleure, on ne se pose la question
Ça évite le tracas, les confusions
Un cœur d’or , de magie
Ces mots qui riment avec amis

Aucun terme pour décrire tant cette douceur du sud
Tant de choses jolies, de plénitude
Qui fait que dès qu’on parle nos cœurs s’ouvrent
Viens par là, oh douce rose d’été.

Quand rire rime avec confiance
Et quand encore plus viennent les confidences
Ces mots cachés au plus profond de nous-même
Ces petites choses qui s’en vont , va et viennent

On ne pense plus un instant à les contempler
Cela s’envole comme peau de chagrin, oh fraternité!
Restons amis, c’est comme cela que l’on vit.
Je suis fier de t’adresser maintenant ces mots, et tu ris!

Problèmes

Problèmes

Problèmes, il n’y que cela, un seule emblème
Et moi je baigne dans une marée noire
A tel point que je ne peux même plus me voir
Et pourtant dieu sais si je vous aime

Rien, non rien ne peut séparer deux êtres
Aux coeurs si solennellement soudés
Aux envies si soudainement rejetées
Et à côté de moi, une fenêtre

Bouc-émissaire, idiot que je suis
Je me suis rendu compte trop tard
Du mal qui s’est transformé d’un appui
On dirait comme une avancée de char

Où tombent les bombes et s’écrasent
en faisant le vide intersidéral
J’écris, preuve de mon incurable mal
C’est comme si je disais :  » Vive Alcatraz(1) »

Toi qui as, et qui est formidable , restes là.
J’ai besoin de ton soutien
De ta puissance, de tes mots, bas!
Et maintenant , je vis de rien

Je ne vis même pas d’argent
Tellement je trouve le sujet abject
Tout celà, c’est de la paille, du vent
Dire que la jalousie, vous infecte

Et je suis triste, et je ne peux assumer
Toutes ces invectives qui me sont adressées
Maintenant c’est fini, je me tais, à bientôt
Les étoiles continuent de briller au phare de mon cœur

Commiseration

Commiseration

A julien

Commisération, tel est le mot qui me vient
Pour dire que tu fais partie de nous, des tiens
Bonté émerveillée , pure bêtise.
Et pourtant toujours là en temps de crise

Économique, physique, ou morale
Mais indéfiniment présent dans mon cœur
Et tu n’es le genre à qui l’on fait des salutations cordiales
Rien ne nous entâche, non pas une erreur

Constamment le sourire,
Même dans les moments pires
Et pourtant, qu’à cela n’en tienne
Ton sang coule dans mes veines

Et un jour tu partiras,
Mais jamais mon âme n’oubliera
Toute la générosité donnée
Par un ami, un frère, au cœur soudé.

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;