Ombre et brume
Un soir de brume et d’ombre
Avec mes idées les plus sombres
Et ces moments parsemé de noir
Qui font couler les larmes du désespoir
Je suis un artiste simple, mort-né
Que doit je faire pour être aimé
Comme je suis, comme je désire ?
Sur mon visage disparaît le sourire
Je ne voulais pas de ce grand Colorado
Qui peut me rendre peut être plus beau
Mais de l’amitié, de l’amour, de la joie
Celle de vous serrer encore dans mes bras
Paix et sincérité sont mes grandes palabres
Pour ne jamais emprunter mes petits sabres
Qui peuvent transpercer les plus habiles
Afin qu’ils puissent rester toujours fébriles