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Mon amour, mon amour

Mon amour, mon amour

Mon amour, mon amour de toujours
Mon amour, mon amour de tout les jours
Ma princesse, ma fée, mes mains liées
Mon idole, ma déesse, au verbe animé

Je t’aime comme une hirondelle
Chantant les louanges de cybele
J’ai dessiné ce soir ton visage d’ange
Dans ce sable mouvant où rien ne change

Je meurt d’amour en te voyant
Tu m’offres la vie en me regardant
J’enterre souvent mon armature
Quand tu me raconte tes aventures

Mon visage s’anime d’une nouvelle joie
Quand tu m’encercle à chaque fois
Je chante comme un pinson du matin
Quand tu me siffle la bas au loin

Le Radeau

Le Radeau

Je suis cloué sur ce radeau qui coule
Je navigue à vue, et tout se chamboule
Je suis un réfugié de toutes ces amitiés
Un vrai clandestin sans réelle destinée

J’allume les cierges de cette église fermée
Je prie Dieu, qu’il fasse en moi la bonté
Mes désirs, mes envies, sont mes pêchés
Ceux que je ne peux désormais plus éviter

Le radeau chavire, je ne tient plus la barre
De toutes ces perfides personnes, je me marre
Je suis l’un de ceux que vous ne voyez arriver
Qui arrive en cachette, avec une grande épée

Le radeau a coulé sur cette rivière du Delta
Que j’avais hélas emprunté bien trop tôt déjà
Je meurt, je m’asphyxie dans cette eau froide
Je souffle, je respire, je ne suis plus malade

Les Pertes

Les Pertes

Perdu dans le fin fond des grandes marées
Je survis des mots assassins des amitiés
Mon coeur fendu et empli de compassion
Fond au soleil comme un doux glaçon

J’ouï et chante mes plus grandes accointances
Je me noie dans les eaux fluviales de la rance
A mon errance s’attache les plus gros boulets
Ceux que par mon intelligence je sais éviter

Je suis digne, heureux des bonheurs de la vie
Ma conscience me dicte mes choix, mes envies
Je scie parfois cette banquise a moitié fissuré
Celle sur laquelle j’ai posé mes deux pieds

J’ai perçu tout ces signaux, ces drôles d’alarmes
J’ai reçu l’amour, la lumière, sans fait d’armes
Et suis l’artiste des mots qui parfois me brulent
Laissez moi rêver, laisser moi aimer, dans ma bulle

Ombre et brume

Ombre et brume

Un soir de brume et d’ombre
Avec mes idées les plus sombres
Et ces moments parsemé de noir
Qui font couler les larmes du désespoir

Je suis un artiste simple, mort-né
Que doit je faire pour être aimé
Comme je suis, comme je désire ?
Sur mon visage disparaît le sourire

Je ne voulais pas de ce grand Colorado
Qui peut me rendre peut être plus beau
Mais de l’amitié, de l’amour, de la joie
Celle de vous serrer encore dans mes bras

Paix et sincérité sont mes grandes palabres
Pour ne jamais emprunter mes petits sabres
Qui peuvent transpercer les plus habiles
Afin qu’ils puissent rester toujours fébriles

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

Amour enchevêtrée

Amour enchevêtrée

A la demande de Pauline M

Notre amour quotidien enchevêtrée
Nos silences drôles et parfois animées
Nos absences si lointaines toutefois
Jette présentement un grand froid

Moi, débordante d’énergie positive
Toi, qui me fait tourner la tête , m’enivre
Nous sommes un tout, mais je ne suis rien
Je regarde les étoiles qui sont au loin

Et j’aime l’odeur de ta tendre chaire
Quand je voit une étincelle en l’air
Qui éclate pendant un certain temps
Telle une grande bohème d’antan

Formant une galaxie légèrement étoilée
Que nous attrapons au vol , sans rivalités
Notre amour depuis maintenant cinq univers
Où tout nos moments sont gravés dans la terre

Beautée fatale

Beautée fatale

Beautée fatale, tu es si enjouée
Naturelle et totalement animée
Je suis un petit phénix ressuscité
Quand nous sommes chacun liés

Le monde s’ouvre sous ton regard
Je te cajole et te console, l’air hagard
Tu est l’être que j’ai toujours voulu
Je me suis pourtant toujours abstenu

Personne ne sait faire briller la lumière
Qui éclaire chacune de mes paupières
Sauf toi, qui me croque du grand amour
Celui à qui j’ai envie de dire oui, chaque jour.

Nous ferons de grands projet, deux par deux
Nous nous marierons, finirons assez vieux
Et tu serrera le creux de mes petites mains
Je te dirait je t’aime, chaque matin.

 

 

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Espoir

Espoir

J’essaye d’avoir un espoir, un sursaut, une envie
Pouvoir la voir, la recevoir, être plus qu’un ami
Être en elle, pouvoir l’aimer à sa juste valeur
En essayant de n’être dans le passé, sans erreur

Repartir de zéro et tout recommencer à présent
s’agripper, y croire, voir l’avenir, maintenant
Je voudrais mériter vos bras, votre corps, votre âme
Mais suis-je si bas pour être accepté de vous, madame?

Je ne suis que poussière dans cette lointaine galaxie
Vous n’êtes que la lumière de ma destinée et ma vie
Je ne suis que faible et impuissant face à vos envies
J’essaye de représenter cela par ces mots, ces écrits

Vous n’avez jugé aucun fait de ce que je vous ai raconté
La puissance de votre voix m’a terriblement troublé
Vous ne pouvez vous en allez ainsi, je vous en supplie
Vous que je voudrais combler, restez, je vous prie!

 

 

 

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Elle s’appellait romance

Elle s’appellait romance

Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte

Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage

là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien

Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Simplicité

Simplicité

A mon cali,

Simplicité, volupté, amour, amitié,
Des étoiles brillent dans cet univers
A ton regard je ne me sent plus sur terre
Touts ces mots, cette folie , pour l’éternité

Ta présence, ton regard me font craquer
Ton sourire affable me plait
Pourtant le destin nous sépare de tout
Et même sous la couette je devient fou

Et tes gestes plein de charme
Ne sont pas frivole
Et je n’aimerais qu’on me les vole
Tu m’a mis en alarme

J’idolâtre ton visage
Qui devant moi est une beauté
Toi qui représente l’air pur, la sainteté
Non, tu n’est pas un mirage

A ton passage, l’univers est à toi
La lumière, de tout coté, jaillit
Un arc en ciel te sourit
Ta présence me laisse sans voix

Mon attachement pour toi est infaillible
Et seulement dans ton cœur elle est lisible
Main dans la main nous sommes
Âme dans l’Âme nous continuerons…

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Fleur de printemps

Fleur de printemps

Fleurs de printemps
Vous qui fleurissez avec le temps
Vous qui êtes si charmantes
Vous m’aimez en volant

Et toutes ces douces choses
A présents, s’envolent, disparaissent
Comme une diffamation dans la presse
Cela ne m’empêche de faire quelques proses

Et la morosité rime avec l’anxiété.
Et cette fleur fait des choses lapidaires
Mais elle ne se laisse faire
Par ses gourous, plein d’inimitié

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Insolence

Insolence

Quand insolence rime avec ignorance
Quand ses mots me pèse avec violence
Quand je crie sur les bords de la dignité
Et j’imagine cette sombre vérité

Triste indécence que de voir ces mots
Et je hurle et crie à la liberté
celle qui est simplement limité
au regard d’une personne , sotte!

Quand il en marre, il jette son opprobre
Et présentement sa situation devient tenace
Si ce n’est pas dire, salace
Et elle n’est en réflexion plus pauvre

A quand cessera ce manège?
Ce jeu infantile, comme la neige
A quand rimera amour et dignité?
Quand le contraire sont inimitié?

Descends de ton arbre

Descends de ton arbre

Descends de ton arbre singe agrippé
Va récolter les fruits délaissés
Qui s’échappent dans la colline
Qui roulent vers une mer divine

Il faut sortir les bataillons animal
Pour que tes griffes ne puissent être coupés
Mais tu trembles , tu es pâle
Oh pécore, tu as trop couru, tu es gelé

J’ai écorché la moitié de ton myocarde
Maintenant il est rayé, inutilisable
Et ton visage a touché je ne tarde
Cris étouffés, censure valable

Cette orange est si lointaine
Elle a fait toutes les épreuves, vaines
Et maintenant elle se fait découper
Elle préfère encore être mangée

Plutôt que d’attendre , tristement
Orange, oh désespoir
J’écorche ta peau une fois par soir
Et ton épluchure vole, avec ce vent

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

Indigné

Indigné

Indigné mon amie, de te voir souffrir
Indigné, alors qu’habituellement je te vois rire
Indigné par ces mots, ces cris épouvantés
Tous les mots de ma sphère restent désespérés

Et ils te crient  A l’aide
Reviens vite je ne suis pas loin
Toi qui te souviens
De ce passé, pas si lointain

Tandis qu’ils fuient elle assume
Avec beaucoup de regret, d’amertume
Et je dis viens par là
Te réconforter dans nos bras.

Nous qui t’aimons
Et qui à ton secours viendrons
Comme viennent les pompiers au feu
Toi, qui dans ton désespoir nous alarme

Et nous dit oui, et nous dit non
Ces deux mots en même temps
Deviennent des maux sans signification
Nous sommes là , pourtant

Et le restons, comme depuis des années
Toi qui à brûle-pourpoint pleures
Nous ne comprenons pas que tu aies peur
Nous sommes des gens de coeur

Ces mots pour te dire à quel point nous t’idolâtrons
Et à quel point nous combattrons
Pour ton bonheur de vivre , ta liberté
Avec ceux qui établissent ta vérité

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Cadeau de la vie

Cadeau de la vie

Un cadeau de la vie, cela se garde
Mais pour cela il faut se mettre en alarme
Et pour dire, j’y suis, et tu me regardes
Avec ton air enfantin, qui ne m’affable

Et je t’aime, comme on aime rire
Aimer rire, c’est la vie
Celle qui te dit courage et sourit
Et moi je te serre, comme la lyre

Et je lève les yeux et tu les attrapes
Pour les capturer, belle, douce, charmante
Dame! Si tu savais, arrogante!
Tu ne sais rien, tu vois seulement, et tu catches!

Catches mon esprit, pour me réveiller
Me dire parles moi, je suis aussi là
Pour m’entendre et rester auprès de toi
Hélas je ne suis pas ce que tu as rêvé

Mais elle raconte que ce n’est pas vrai
Je te le dis cher lecteur , ne prends pas peur
De mes mots, ils sont véritables, mais quelle erreur
De ne pas t’écouter, étoile….

Elle

Elle

Elle, et ses yeux doux , ses yeux clairs
Qui éclairent mon ombre
Qui illuminent ma chandelle sombre
Je l’aime, même avec ces yeux en l’air

Et ces mots qu’elle sort, vulgaires
Mais si voluptueux à la fois
Je grogne,  j’élève ma voix
Pour ces choses si austères

Pour de bon, je suis coiffé de toi
Qui chaque jour m’aperçois
Sous un autre angle
Sous cette vision rectangle

Non carrée, car rectangle
Peut être contourné
Peut être violé
Et n’existe plus la liberté

Liberté de te susurrer
Quelques tendres gestes
Je n’ai jamais de reste
Sinon de te chérir , de t’aimer

Et te rassurer, et dire que je suis là
Et que j’angoisse pour ton toi
Même en t’écrivant ses mots oppressés
Je t’aime encore et toujours ma fée