Elle s’appellait romance
Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte
Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage
là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien
Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore