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Tag: Rose

L’ombre

L’ombre

Je pense à vous à chaque seconde
Je suis l’ombre de votre vie
Avec la main d’un grand ami
J’interprête toute vos ondes

Sans bagage, je suis parti rêver
Sans amour, je m’évade et m’absente
Tard le soir, tot le matin, je rentre
Sans confidences, il n’y a d’amitié

J’étais une rose épanouie dans un jardin
De fleur de lys, arrosé à chaque instant
Venerant cybèle, ma divinité du moment
Du fond du précipice, mine de rien

Je suis docile comme l’agneau dans le pré
S’étant échappé d’un grand asile de fou
Rien n’est très clair, tout est si flou
Je reste assis sur ma chaise, hébétée

Le manège

Le manège

Je n’oublie rien, je n’oublie plus
Je retourne dans mon monde reclu
Je suis couché à terre, sanguinolent
A cause des coups de massues violents

Toutes ces palabres, parfois, me désarme
Mes sourires fondent en grosses larmes
Mon corps se dilue dans l’acide
Ma silhouette et mon être restent placides

J’ai rêvé d’un monde bien trop rose
Où la vie peut être souvent mise en pause
Je n’ai ni le monopole du coeur ni de la raison
Et ne retourne que rarement mon blason

L’expérience évite les grands pièges
Des tourbillons, des petits manèges
Mon courage s’évanouit peu à peu
Je ne supporte plus ces milieux

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

Le coeur et l’esprit

Le coeur et l’esprit

La vérité a éclaté et je l’ai entendu
tout vos mots salaces j’ai reçu
En pleine face , tel un boomerang
Qui a explosé, soudain fait bang!

Vous m’avez anéanti, rabaissé au plus bas
J’ai mal, et peut être je ne me relèverais pas
J’étais intègre et j’ai tenté l’honnêteté
Cela ressemblait alors à des rose de l’été

Je ne sais plus ou aller ni comment faire
je n’ai plus d’idée, ni même l’envie d’avancer
Comment croire, continuer d’essayer d’espérer?
Chacun joue l’aveugle en essaye de plaire

Je suis le jouet sur lequel on appuie
J’imagine un rêve et maintenant je ris
J’ai tiré plus vite que mon ombre
Mon avenir est devenu si sombre

Doit-je continuer dans ce tumultueux chemin?
Qui chaque jour me détruit et ne mène à rien?
Je suis pourtant tout ouï aux propositions
Faudrait-il déjà qu’il y ai l’animation…

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Le chiffre cinq

Le chiffre cinq

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« on précisera aux lectrices et aux lecteurs que ce poème est un poème amical « 

Le chiffre cinq, qui se retient
Comme un bisous, un câlin
Tu est ma voix intérieure
Ma rose, ma lumière, ma fleur

Mon être assouvi à ton regard
Ne rend pas mon visage blafard
Je me suis enseveli dans tes mains
Qui ont effacés mes grand chagrins

Le nuage flotte par dessus mon esprit
Alors que toutes circonstances établies
Rien ne nous a prédestiné à une entrevue
A tout les deux cela nous à plu

Et toi mon petit écureuil des bois
Tu a arpenté mon chemin mille fois
L’herbe traversée est devenue divinité
Tu à gravé dans le marbre ma dignité

 

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Les lilas

Les lilas

Poésie expérimentale

Lilas fleurissent
Lilas vieillissent
Lilas trahissent
Lilas lisses

Rose ils trépignent
Rose le signe
Rose formidable
Rose affable

Courtoisie de justesse
Courtoisie de vieillesse
Courtoisie affligé
Courtoisie à mes pieds

Meurtris de votre violence
Meurtris de votre absence
Meurtris de l’insolence
Meurtris de votre errance

Ta route…

Ta route…

Cette poésie sera dédié à L.

Ne tente pas l’amour à tout prix
Essaye plutôt une jolie vie
Toi riche d’amitié
Qui à une infinie bonté

Trop violette tu semble
Rose ton cœur nous assemble
Rouge son tes yeux rempli d’humidité
Mais tu est remplie d’humilité

Reste fidèle à tes préceptes
Continue ton concept
Et le monde s’ouvrira
Et tu survivra

Elle s’appellait romance

Elle s’appellait romance

Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte

Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage

là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien

Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Soirée

Soirée

Soirée en plein cœur d’été
Soirée arrosée
Toi le grand cœur de lumière
Tu ne ressemble à une chimère

Ni à une pierre
Vient par ici ma rose
Ton regard éblouissant se pose
Dans mon semblant d’âme, père!

Ce matin ton sourire m’a donné chaleur
Ta voix ma donné de l’oxygène
Et je te fait des câlins , sans gène!
Vient par là ma fleur.

Toi à qui je manque et que je manquerais toujours
Sache que mon cactus se transforme en lilas
Que mon orage se transforme en vent , sourd!
Prête l’oreille à ton ami mon réséda.

Pensées

Pensées

à Cali, qui se reconnaitra

Pensée, amitié, pensée , volupté
Quatre mots pour dire aimer
Aimer de manière extraordinaire
Comme une vipère

Le rose et le bleu se marient
Tel l’étoile qui défile
Tel une couverture qui s’enfile
Et tu me réchauffe , amie!

Aujourd’hui, à ta vue, le ciel s’éclaircit
Et le soleil s’ouvre comme ton sourire
Et tes yeux pétillent d’espérance, de vie
Et tes larmes coulent comme la cire

Tout ces jolis et recherchés mots pour toi,
Pour te dire a quel point l’amour fait loi
Que ton regard est plus important que les autres
Que ton bonheur est ma foi.

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Belle vues

Belle vues

A quelqu’un d’extraordinaire(Merci!)

Belle vues intérieures
Mauvaise vues extérieures
Vient par ici rose
Vient faire une pause

Toi qui me connait,
tu sais mon point de sensibilité
Et pour moi tu ferais le monde
Tu ferais quelques fumées rondes

Et pourtant combien je t’aime
Quand tu vient me secourir
Mais aussi quand tu vient rire
Tu est mon étoile, mon emblème

Celle de l’univers qui à atterrit
Sur terre, par hasard
Qui ne pousse jamais un cri
Qui n’est a mes paroles hagard

Vient ma rose,mon réséda
que je te serre dans mes bras
que je te dise reste là
En quelques mots, tout bas

Long amour

Long amour

Long amour de la Californie à la silicon valley
tu éblouis mon été
Ta pétale de rose s’ouvre à chaque instant
Et notre tournesol pousse lentement

Plus de cinq cent jours d’espoir
De feu vif  impossible à éteindre
De flammes embrasées, d’amour noir
et pourtant, séparés, nous ne cessons de geindre

Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.

Fleur d’esperance

Fleur d’esperance

A celle que j’aime

Fleur d’espérance, rose de bienveillance,
Tu m’as ouvert tes pétales
tu m’as pris dans tes bras
Tu m’as ouvert ton cœur

Et je crois avoir compris ton angoisse
Toi qui, au départ était simplement une graine
Tu es devenue l’espoir de mes jours heureux
Et nos deux jonquilles partagent les mêmes joies et peines

Tu sais courir sur les remparts de la dignité
Tu sais te stopper sur le mur de la sincérité
Et revenir au château de la prospérité
Tu es simplement toi

Je pense a toi bien souvent
Tu as le charme d’une enfant
Qu’on ne peut remplacer
Qu’on aurait envie d’aimer

Tu es mon plus beau souvenir
Celui dont on a pas envie de se séparer
Qu’on veut prendre en photo
Pour se souvenir de ce bonheur

oh , toi mon plus beau chant
Mes plus belles louanges
Ne refermes pas ta pétale aussi vite, ange
Le soleil domine mais pas le vent.

Bon ou meilleur?

Bon ou meilleur?

Bonne ou meilleure, on ne se pose la question
Ça évite le tracas, les confusions
Un cœur d’or , de magie
Ces mots qui riment avec amis

Aucun terme pour décrire tant cette douceur du sud
Tant de choses jolies, de plénitude
Qui fait que dès qu’on parle nos cœurs s’ouvrent
Viens par là, oh douce rose d’été.

Quand rire rime avec confiance
Et quand encore plus viennent les confidences
Ces mots cachés au plus profond de nous-même
Ces petites choses qui s’en vont , va et viennent

On ne pense plus un instant à les contempler
Cela s’envole comme peau de chagrin, oh fraternité!
Restons amis, c’est comme cela que l’on vit.
Je suis fier de t’adresser maintenant ces mots, et tu ris!

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Visite

Visite


Visite mon esprit
Comme j’explore ta tendresse
Visite ma vie
Comme j’explore ta jeunesse

A chaque fois que je regarde ton sourire
Je fond, comme coule la glace en pleine chaleur
C’est ta chaleur que je visite et qui fait que je pleure
Mais sache que chaque jour tu me fais rire

Y’en a d’autre, mais non, le pétale que j’aime est là
A chaque fois que mes yeux le lui disent elle comprend
Elle sait ce que je ressens, et toute son âme elle me vend
Rêve , rêve mais ne restes pas là-bas.

La clé du bonheur n’est pas loin,
Elle est aussi proche que mes voisins
Je me suis perdu en toi
Et c’est là que j’y crois.