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Le rayon de soleil

Le rayon de soleil

Un rayon de soleil s’abat sur ma peau
Celui de toute cette vie de matelot
Je tiens bon la vague et les tempêtes
Sur cette île perdue et si déserte

De lac en ruisseau, je pleure la vie
Je ménage tant de peines avec mes amis
J’ai le sourire facile devant vos grimaces
Le dépit difficile en regardant ces voraces

Mon amitié est si légère et mon amour si fou
J’ai fini par croire aux mystères du vaudou
J’ai avalé cette petite portion de cyanure
Que prennent parfois les grandes ordures

Je ne dois mon salut qu’à mes combats
Ceux qui m’ont emmené ici où la bas
Mes lettres ne parviennent plus au facteur
L’adresse indiqué me revient en erreur

Les insomnies

Les insomnies

Les insomnies qui reviennent
Qui nous réveillent, qui retiennent
Notre sommeil, au far de la nuit
Je souffle des mots, mes derniers cris

Je caresse ce sentiment d’horreur
Sans jamais ressentir une petite peur
Je cajole cette belle île en mer
Endormi dans les creux de l’enfer

J’ai perdu soudainement ma tête
Dans ce sable et ses alouettes
Les anges sont partis dans la Seine
Dans le brouillard de ce matin blême

Je perd soudainement de ma superbe
Au coin de ce paradis, ce carré d’herbe
Adieu les aurevoirs, adieu les joies
Mon corps tremble, tout en émoi.

Les douceurs

Les douceurs

Toi ma petite douceur
Qui réalise mes bonheurs
Moi, si loin, si triste
M’en allant faire un tour de piste

Je caresserait tes joues
Tu restera près de moi, debout
Je t’enlacerais le corps
Te conserverait tel un trésor

Les gouttes de pluie coulent
Sur toute cette foule
Sur ton esprit en mouvement
Sur tes cheveux dans le vent

Mes mots sont si faibles
En t’offrant cette hièble
Une belle étoile est née
Je ne veux plus la quitter

L’amitié du moment

L’amitié du moment

Je suis l’amitié du moment
Je caresse une vague de la vie
Les cheveux dans le vent
Je te regarde avec joie

Tu fais briller le soleil, au réveil
Et décroches les astres perchés
Ton étoile qui file m’émerveille
Je suis parfois amer et attristé

Tu es si loin et si proche à la fois
Moi, capitaine d’un bateau en dérive
Je n’avais aucun espoir sans toi
Étant à bout, dans un certain qui-vive

Il est des jours où l’orage gronde si fort
Qu’il fait trembler les carcasses désossées
Je suis l’une des leurs, quelle métaphore !
Tu me ressuscites d’une toute petite mort

Les grandes étourderies

Les grandes étourderies

 

Les grandes étourderies de l’âme
Je ne danse plus sur grande paname
J’ai jouis d’une vie embrigadé
Par des principes fort bien initié

J’ai vécu chaque instant magique
Comme des moments entièrement féerique
Et aujourd’hui je suis rayonnant
Fière de mes actions, souriant

Le soleil a surpris de grands nuages
Qui étaient cachés sous ce grand barrage
Je veux avoir la lumière et la fête
Pour ne plus avoir toute ma tête
J’ai fait plusieurs petite prières
Le monde s’est soudainement ouvert
Pour oublier ce qui m’a mis en émoi
Je ne le voit plus se fermer à moi

 

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Choix

Choix

Les choix de la vie, difficiles à assumer
Qui me font pleurer, ne m’ont pas amusé
Ne me laisse guerre de répis, ni d’amis
Qui comprennent mes difficultés, la vie

Je ne peux être divisé par deux chaque fois
J’essaye de juger les choses et les lois
La distance à des conséquences compliqués
Je ne veux cependant que l’on me fasse chanter

Je ne sais quoi faire, quoi vraiment dire
Et je sais dans votre tristesse, lire
je n’ai rien pour assurer ma petite défense
Encore moins justifier mes absences

Je ne règne pas sur la terre entière
Et à tout le monde, je ne peux plaire
Comme un magicien aux doigts enchantés
Comme la poudre de mes petites fées

je ressent l’amertume et l’angoisse
je voudrais que rien ne vous froisse
La detresse est en moi, salace
J’avoue, je manque quelque peu d’audace

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Solitude

Solitude

Solitude d’antan , solitude d’avant
Un requin sur mon ilot blanc
Mon visage est maintenant fermé
Je ne fait plus vraiment l’unanimité

Comme un poisson pris dans un filet
Je ne voit plus de grande sincérité
Je parle au vent qui me souffle
Qu’il a pris un sacré coup de moufle

J’oublie les vertus du de la vie, du rire
Et vous continuez peu à peu de me salir
Égoïstes, pleins de préjugés idiots
Je relève la tête et ne dit mot

Je ressent une vrai et grande amertume
Pas une fausse et petite solitude
La vie est faite avec un accordéon
Le début du renouveau n’est plus très long

Respect

Respect

Respect d’une femme, d’une dame
J’hais les mec sans aucune âme
Sans respect des valeurs humaine
Qui ont la parole hautaine

La femme souffre en silence
Sans jamais aucune redevance
De la vie elles veulent apprendre
Sans jamais vraiment nous attendre

Et leurs réponses sont blafardes
Elles ne souhaitent être bavardes
Et il faut avoir la petite astuce
Elles ferment leurs capuces *

Malgré leurs beauté interne
On ne voit que l’externe
La visage, les yeux, la silhouette
la vie n’est plus vraiment chouette

* capuce : capuche des bures de moines

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

Aigle Blanc

Aigle Blanc

Aigle blanc, Aigle dormant
D’un exceptionnel talent
Ma petite églantine
Ne tombe pas en ruine

Dotée d’un éternel chagrin
Tu es mon petit matin
Ma vie, l’amitié, mes regrets
Ton cœur se tient prêt

Il bourgeonne d’amitié
De chemin, tendresse, vérité
Une petite fée de la vie,
Une étoile dans la galaxie

L’or vient de ton âme
Tu as ouvert une petite vanne,
J’idolâtre tes choix
Tu me laisse sans voix

Ignorance

Ignorance

Ignorance, tu es ma petite vengeance
Ignorance, Et c’est à toi que je pense
Ignorance, j’ai un tour d’avance
Ignorance, je n’ai aucune croyance

Me voilà stress de toi, sans nouvelles
Tu t’es encore fait la part belle
Et me voilà, encore une fois, rebelle
Pourquoi, à moi, ta petite hirondelle ?

Ma petite coccinelle, toi si proche
Tu ne m’es que de reproche
Et loin de là tu m’abandonnes
Tu peux encore changer la donne

Elle s’appellait romance

Elle s’appellait romance

Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte

Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage

là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien

Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Sucré salé

Sucré salé

Odeur de sueur
Je ne compte plus mes heures
Et ont disparus mes craintes, mes peurs
Salé sucré, gout de bonheur

Quand je te voit , ta galaxie s’offre à moi
Te quitter devient mélancolie
Toi pour qui l’amour est sans foi ni lois
Et je n’ai qu’un cœur d’apprenti

Et maintenant il faut y aller, foncer
Aimer la vie, aimer le temps d’aujourd’hui
Et je te câline, ma petite fée
Aime toi, reste toi, sans être salit

Nuit

Nuit

Il était une nuit où tout était clair
Un jour où tout était sombre
des jours de l’indécence
Moi qui te tends ma main

toi qui n’as pas su la prendre
Mais qui peut encore apprendre
Dans le coeur et dans l’esprit
Que tes pleurs ne sont pas la vie

Et tout ce ciel noir étoilé
S’envole dans l’au-delà
S’amuse moins ici que là-bas
Toi, ma petite rosée

Par dessus la raison
Je ne puis cesser d’aimer
Mon doux chagrin, ma saison
je suis brisé

Pourquoi?

Pourquoi?

Amour envers son prochain, amour envers les tiens
Pourquoi le monde s’entretue au lieu de s’aimer?
Dire que le tournesol a maintenant fané.
Oh petite main du coeur, viens.

Tu me fais virevolter, danser
Et je vis de ton manège
Toi le portrait de l’amour , de l’amitié
Un jour je décollerai de ce siège

On m’a dit tout bas, un jour, souffle!
Souffle cette bougie de bienfaisance,
qui te tend la main, dans cette ignoble France
Qui te délaisse

Cette société où personne ne te regarde
Pourrait te laisser crever sur le bord de la route
Mais si tu pouvais, tu donnerais la clé pour sortir de cette soute
et tu laisserais un droit de garde

Mais la seule question est : Pourquoi?
Pourquoi tant de malheureux orphelins
Qui chaque jour pleurent leur chagrin
Alors qu’il pourraient trouver un refuge. Pourquoi?

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;

Petite Hirondelle

Petite Hirondelle

Petite Hirondelle, viens vers moi
Petite Pucelle, entraines toi
A ne rendre l’amitié qu’on t’a donné
Et vois que belle est la vie qu’on ta créé

Et tu n’arrives pas à le concevoir
Petite merveille de la nature
Que tu es sous le charme de l’air pur
Et en toutes ces illusions je ne pourrais croire

Tu ne joues pas à armes égales
Tu triches avec tes mots fatals
Tu es une poupée de cire
Malléable, mais je te vois rire

Comme pleurer , et la rivière s’écoule
Et la mer s’effondre
Et la terre se chamboule
Et tout ces mots tu es en train de me pondre

Et tu essayes petite alouette
D’avoir l’air un peu plus chouette
L’oiseau qui est en toi somnole
Alors qu’il préférerait être en vol

Oh princesse charmante qui s’endort
Loin dans le pays des cieux
Avec les ténèbres et les dieux
Je sens l’air incrusté de la mort

Dans l’âme que tu as
Dans ta flamme , la plus belle
Et tu souffres, dans l’au-delà
Restes ouverte au monde petit hirondelle

Dédicacé à N.D, et M.H