Archives de
Tag: Fée

Epuisé

Epuisé

Épuisé, fatigué, contracté
Mon corps lâche et anémié
Souffre dans sa grasse chair
Je n’ai rien pour me plaire

Loisirs perdu, travail absolu
Je suis immensément perdu
L’océan est un boulevard
Que je croise de mon seul regard

L’hiver et le froid me gangrène
Bloque peu à peu tout mes gênes
Le soleil s’est tout les jours caché
Dans ce lointain champs de blé

L’amitié gravit ma montagne
Traverse les routes de champagnes
Perdure dans le temps belle fée
Je t’aime, pieds et poing lié.

Disparitions

Disparitions

Disparue, toi, la belle fée des bois
Mon grand corps, tout en émoi
J’ai perdu la bataille des maux
Dans le vide, fait un grand saut

Tous ces poids qui me pèsent
En haut de cette charmante falaise
Me font trébucher dans ce cratère
Dans ce paysage si laid et si austère

La lave du volcan brûle tout mon corps
Mon visage horrifié à tout jamais s’endort
Je suis un homme inerte, dans ces tombeaux
Je vous assassine avec mes mauvais mots

J’ai remporté tous les duels de la vie
Qu’il est temps pour moi d’être parti
Je vous ai chassé de mon insomnie
Pour ne plus entendre vos cris

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Aigle Blanc

Aigle Blanc

Aigle blanc, Aigle dormant
D’un exceptionnel talent
Ma petite églantine
Ne tombe pas en ruine

Dotée d’un éternel chagrin
Tu es mon petit matin
Ma vie, l’amitié, mes regrets
Ton cœur se tient prêt

Il bourgeonne d’amitié
De chemin, tendresse, vérité
Une petite fée de la vie,
Une étoile dans la galaxie

L’or vient de ton âme
Tu as ouvert une petite vanne,
J’idolâtre tes choix
Tu me laisse sans voix

Elle s’appellait romance

Elle s’appellait romance

Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte

Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage

là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien

Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore

Sucré salé

Sucré salé

Odeur de sueur
Je ne compte plus mes heures
Et ont disparus mes craintes, mes peurs
Salé sucré, gout de bonheur

Quand je te voit , ta galaxie s’offre à moi
Te quitter devient mélancolie
Toi pour qui l’amour est sans foi ni lois
Et je n’ai qu’un cœur d’apprenti

Et maintenant il faut y aller, foncer
Aimer la vie, aimer le temps d’aujourd’hui
Et je te câline, ma petite fée
Aime toi, reste toi, sans être salit

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;

Un jour

Un jour

Un Jour il est venu au monde
Ce jour c’était le notre
Mais aussi chère amie, le votre
Oh une tête tout blonde.

Fruit de la passion
Et de deux êtres en pleine union
Toi qui l’a transporté
moi qui l’a aimé

Malgré les rires et la honte
D’autrui, j’assume
Mon choix, mes actes, sans amertume
Car la vie est un conte

Non de fée mais de magie
Non, je refuse de revenir sur mes choix
Je le fais en tout conscience, de vive voix
La preuve, il me sourit

Magique

Magique

Petite fée magique, je vois couler les larmes
Sur ton visage, à pleine rage
Et moi qui ne peut rien sauf chanter mon adage
Et te crier que je t’aime de toute mon âme

Mais tu pleures encore car tu es à bout
Car tu as peur, tu ne veux raviver un passé douloureux
Tu prefères qu’on tape et que cela sonne creux
Un grand diable s’incrustre entre nous

Même vidée tu peux encore te faire pleuvoir
Au coucher du soleil, le soir
Je ne peux comme cela te voir
Et c’est à peine si j’ose y croire

Je n’ai même pas matière à te sourire
Je ne peux même te faire rire
T’esquisser le moindre rictus…