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Tag: heureux

Faiblesses

Faiblesses

Maladies et carences t’affectent
Les peurs et angoisses t’infectent
Les muscles qui lâchent peu à peu
T’essoufflant comme un malheureux

Ton corps brûlant, manquant d’oxygène
Le sang coulant dans tes veines
Fait battre ton cœur d’artiste perdu
Dans ton physique de vieux détenu

La faiblesse s’empare de ton âme
Tu expie sans retenir tes larmes
Ton râle qui s’exprime en stéréo
Je n’entend plus ce son mono

Tu rejoins le paradis de la guérison
Où se trouve une et mille saisons
Les étoiles ont déjà tout exaucés
Tes vœux de repos, pour l’éternité

Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Les valises

Les valises

Je vais poser mes valises dans ce coin de désert
Dans ce sable fin et granuleux, près de cette mer
Je chaufferais des gamelles sur un feu de bois
Me moquant éperdument des textes et des lois

Je planterais des clous, dans ces rochers qui s’effritent
J’écaillerais les poissons et les requins à mon rythme
Je chanterais cette mélancolique et fulgurante mélodie
Je crierais à corps perdu durant toutes ces insomnies

J’ai pleuré tout mes désespoirs et plus petits espoirs
Les oisillons sont parti siffler si loin, en ce beau soir
Je tire les leçons de mes engagements si généreux
J’ai serré si fort, tout ces cœurs perdu, et heureux

La tristesse ne m’a plus quitté, ces derniers mois
J’ai le blues de l’âme, un bleu dans mon cœur en émoi
Je suis sans cesse dans une guerre moderne, permanente
Fini les vingt ans, les déceptions de tout ces gens qui mente

Les Pertes

Les Pertes

Perdu dans le fin fond des grandes marées
Je survis des mots assassins des amitiés
Mon coeur fendu et empli de compassion
Fond au soleil comme un doux glaçon

J’ouï et chante mes plus grandes accointances
Je me noie dans les eaux fluviales de la rance
A mon errance s’attache les plus gros boulets
Ceux que par mon intelligence je sais éviter

Je suis digne, heureux des bonheurs de la vie
Ma conscience me dicte mes choix, mes envies
Je scie parfois cette banquise a moitié fissuré
Celle sur laquelle j’ai posé mes deux pieds

J’ai perçu tout ces signaux, ces drôles d’alarmes
J’ai reçu l’amour, la lumière, sans fait d’armes
Et suis l’artiste des mots qui parfois me brulent
Laissez moi rêver, laisser moi aimer, dans ma bulle

Ombre et brume

Ombre et brume

Un soir de brume et d’ombre
Avec mes idées les plus sombres
Et ces moments parsemé de noir
Qui font couler les larmes du désespoir

Je suis un artiste simple, mort-né
Que doit je faire pour être aimé
Comme je suis, comme je désire ?
Sur mon visage disparaît le sourire

Je ne voulais pas de ce grand Colorado
Qui peut me rendre peut être plus beau
Mais de l’amitié, de l’amour, de la joie
Celle de vous serrer encore dans mes bras

Paix et sincérité sont mes grandes palabres
Pour ne jamais emprunter mes petits sabres
Qui peuvent transpercer les plus habiles
Afin qu’ils puissent rester toujours fébriles

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Le chemin de la vie

Le chemin de la vie

 

Perdu, replié et totalement reclus
Sur mes pensées, mon avenir, abattu
Que dire, que faire, que penser?
Disposer des choix, monter une armée

Etant entièrement fou, désespéré
Je sors maintenant une épée
Et troue votre corps de deux coups
Et finirais en prison, totalement fou

La vindicte populaire se soulèvera
Et je serais à la merci de la loi
Mon corps s’enflammera peu à peu
Et il ne restera finalement que des bleus

Peut être me relèverais-je un jour?
Les yeux pétillant de toujours, de l’amour
M’aide à tenir en attendant un retour
De moments plus heureux, plus glamour

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

Le nerf de la guerre

Le nerf de la guerre

Trouble et pale à la fois, sans crainte
L’odeur du doux précieux avec plainte
Il nous rend heureux, contribue au bonheur
Peut faire de nous beaucoup de malheur

Mais vaut t’il mieux la richesse aujourd’hui
Ou l’opulence du cœur et de l’esprit?
Je craint pourtant que les plus vêtus
Soit parfois les plus mal-entretenus

Quand le sou détruit toute relation
Je prend le large, sans nation
Je suis l’étoile qui m’a créé
Je naquit à nouveau toute l’année

Je n’écoute plus les décibels
Je reste totalement artificiel
Et la nuit devient le jour
Et je fait alors mon retour.

Les mots

Les mots

Les mots frappés à mon égard
Sont dévastés par ton regard
Je suis pion sur l’échiquier
Tu m’a permis peu à peu d’avancer

Et parfois je suis faible d’esprit
Tu réfléchis et soudain en ris
Mais ton caractère sensible et aimant
Me permet de m’asseoir sur ton banc

Tes larmes, joies, peines, hurlement
Tes caresses de verbes d’antan
Se juxtapose sur nos deux cœurs
J’assume mes plus complètes erreurs

Tandis que tu te bat pour ta dignité
Que tu te refuse à vraiment m’incriminer
Je suis tout chose de tes yeux
Ils me rendent vraiment heureux

Tu ensoleille mes nuits courte et belle
Tu est différente de toutes ces donzelles
L’humanité est ton fort, mon incroyable
Le pardon ton réconfort, formidable!

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

A quelqu’un d’unique

A quelqu’un d’unique

Ecrit par Nathalie De Oliveira

Oh toi amour,
Depuis ton grand retour,
Je me sens toute légère,
Comme une paupière

Avec toi tout n’est pu de même
Je sais que je t’aime
Quand je te vois je me sens pousser des ailes
Tel un oiseau dans le ciel

Tu ressemble à un soleil
Qui m’émerveille

Quand je pense à toi tout bas
Lorsque tu n’es pas la
J’imagine qu’on est deux
Et que nous sommes heureux

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Retrouvée

Retrouvée

a ceux que j’aime, et pour ginette

Je t’ai retrouvé toi, tendre personne
Au fond de moi je me sens heureux
Je t’ai emmené en promenade
Et à deux, nous avons fait notre ballade

Avec toi que je revois, je suis dans les nuages
Comme un oiseau qui vole
Comme un ange qui me survole
Comme vous, sage image

Continuez comme ça orange amère
Bientôt vous deviendrez comestible
Et même on prendra goût à vous croquer
Tellement vous êtes aimé.

Et moi poète des temps moderne
J’ai écrit ces quelques mots
Pour ne pas que vous restiez en berne
Venez très chère , pour vous j’ai un lot.

Fleur d’esperance

Fleur d’esperance

A celle que j’aime

Fleur d’espérance, rose de bienveillance,
Tu m’as ouvert tes pétales
tu m’as pris dans tes bras
Tu m’as ouvert ton cœur

Et je crois avoir compris ton angoisse
Toi qui, au départ était simplement une graine
Tu es devenue l’espoir de mes jours heureux
Et nos deux jonquilles partagent les mêmes joies et peines

Tu sais courir sur les remparts de la dignité
Tu sais te stopper sur le mur de la sincérité
Et revenir au château de la prospérité
Tu es simplement toi

Je pense a toi bien souvent
Tu as le charme d’une enfant
Qu’on ne peut remplacer
Qu’on aurait envie d’aimer

Tu es mon plus beau souvenir
Celui dont on a pas envie de se séparer
Qu’on veut prendre en photo
Pour se souvenir de ce bonheur

oh , toi mon plus beau chant
Mes plus belles louanges
Ne refermes pas ta pétale aussi vite, ange
Le soleil domine mais pas le vent.

Deux êtres

Deux êtres

Dédié à ma meilleure amie et son petit ami

Deux êtres s’envolent dans le ciel
Deux êtres si lointain
Qui pourtant d’eux prennent soin
Ah! Que la couleur vienne à eux, lune de miel

Aucun regret, aucun scrupule pour des gens que j’aime
Ils méritent ce qui leur arrive
Rien de plus beau que ceux qui s’aiment
Et moi, fier de leurs mérites, et qu’ils vivent!

Je peux le dire celà aura été sans faille
Bien que certaines choses soient encore retranchées
Dans leur esprit,  j’ai confiance,  qu’ils aillent!
Plus ils en seront heureux, meilleur mon sourire sera affiché

Qu’ils deviennent roses ou lilas,
Tulipes ou résédas
Que dieu les bénisse
Pour l’infini, l’éternité. Restez lisse!

Noël

Noël

Noël, le jour de merveille
Noël, et tous s’asseyent
Noël, un grand repas de famille
Noël, moi je ris

Tu n’es pas présent,  à mon esprit
Ce n’est qu’une simple banalité
Qui n’a pas de valeur, de jovialité
Et encore moins de vie

Mais c’est noël
Ce jour censé si merveilleux
Mais qui finalement ne me rend heureux
Noël, qui n’est pas belle

Même avec tout l’or du monde
Je ne souhaite le fêter
Je ne veux m’agiter
A quoi bon? Pas de table ronde…

Ils furent heureux

Ils furent heureux

Ils sont heureux, mais surtout furent heureux
Car de tous ces mots, le seul qui ressort est l’amour
Le terme qui ne nécessite pas de retour
Et nous continuons notre vie à deux

Sans se préoccuper du monde extérieur
Afin de continuer sans faire d’erreur
Et toi et moi aimons la vie à brule-pourpoint
Et continuons ce passé jamais lointain

Et c’est une déesse qui décide de toi
Qui fait que je suis dans tes bras
Qui statue sur ta flamme éternelle
Chut! Toutes ces choses sont charnelles!