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Category: Poesie

Aigle Blanc

Aigle Blanc

Aigle blanc, Aigle dormant
D’un exceptionnel talent
Ma petite églantine
Ne tombe pas en ruine

Dotée d’un éternel chagrin
Tu es mon petit matin
Ma vie, l’amitié, mes regrets
Ton cœur se tient prêt

Il bourgeonne d’amitié
De chemin, tendresse, vérité
Une petite fée de la vie,
Une étoile dans la galaxie

L’or vient de ton âme
Tu as ouvert une petite vanne,
J’idolâtre tes choix
Tu me laisse sans voix

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Ignorance

Ignorance

Ignorance, tu es ma petite vengeance
Ignorance, Et c’est à toi que je pense
Ignorance, j’ai un tour d’avance
Ignorance, je n’ai aucune croyance

Me voilà stress de toi, sans nouvelles
Tu t’es encore fait la part belle
Et me voilà, encore une fois, rebelle
Pourquoi, à moi, ta petite hirondelle ?

Ma petite coccinelle, toi si proche
Tu ne m’es que de reproche
Et loin de là tu m’abandonnes
Tu peux encore changer la donne

Crève

Crève

Crève et tait-toi
Crève et soit le roi
Crève et aboie
Crève il n’y a de loi

Et tous les jours l’on meurt
Sans la population, sans rancœur
Me voilà plein de douleur
Me voilà plein de douceur

Un petit sourire, parfois un petit mot
Et tout sort du quotidien, du lot
J’en suis complètement sot
Il n’est jamais trop tôt

Rangez votre fierté, votre orgueil
Je vous ai maintenant à l’œil
Ne faites pas devant moi semblant
Donnez un peu de votre argent

Normalité

Normalité

Qui est normal ?
Qui est banal ?
Sans différences ?
Sans aucun sens ?

Réalité, tu m’as défait
Réalité, je t’ai conjugué
Réalité, j’ai eu la vérité
Réalité, tu m’es sacré

Avec ou sans fauteuil
Toujours le même accueil
Et encore un recueil
Quoi qu’il en veuille

Et je fais le serment
Que tout est comme avant
Que vous êtes dans mon rang
Et que vous ne soufflez du vent

Profit

Profit

Toi, le Profit d’autrui
Cela à maintenant suffit
J’ai assez ris
Trop tard, tout est pris

Mon cœur est trop ouvert
J’ai assez souffert
Vous n’aurez plus de vers
Et je ne ferais rien pour plaire

Là où le souci n’existe
Je ne suis pas une liste
Et me voilà détruit, Bien vu!
Je continue, et ne vis plus

Et vous soignez mes plaies
Cela aujourd’hui me déplait
Et vous ne m’avez raté
Et je vous aurais !

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Pourquoi tant de questions ?
Et je tourne en rond
Et je ne suis vagabond
Pourtant c’est si long

Vivifié de l’amitié
Refroidis de l’amour
Cours, cours toujours
Et je me suis retiré

Dans ces instants de bonheur
J’ai parfois peur
J’ai oublié l’heure
En offrant cette fleur

Je suis souvent au piquet
De mes sentiments, risqués
Même en étant limité
Je continue d’être aux aguets.

Et j’aime ce charme d’antan
Qui me procure un certain talent
Cette envie de vivre
Me rend totalement ivre

Révolté de la condescendance
Je n’ai plus aucune essence
Et me voilà totalement rance
Sans aucune avance

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Nuls n’a plus d’estime que soi
Et personne n’est le roi
Vous annulez ma joie
Entourage sans foi ni loi !

Le bécot sur la main
Sans raisons , ne vaut rien
Les louanges injustifiées
Ne valent d’êtres consolées

Pinsons, reveillez-vous!
Ainsi il ne faut continuer
Ou je vous ferais rouer
En place de grève, à bout !

Ne soyez point égoïste
Vous qui me rendez si triste
Soyez parfois un peu altruiste
Atterissez sur la piste

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Altérité

Altérité

Altérité, je t’ai aimé
Altérité, tu m’as détesté
Altérité, je t’ai sacrifié
Altérité, je ne t’ai écouté

Aujourd’hui, je me suis réveillé
En me posant les bonnes questions
Sans à priori, sans passions
Je vais prendre une saigné

Être dans deux mondes
Sans idées vagabondes
Et y penser chaque secondes
Me fait l’effet d’une bombe

Sensible, douce et délicate
Ma main posée dans la tienne est plate
Les deux coeurs sont masculins
Les deux coeurs sont féminins

Deux sensibilités qui permettent l’altérité
Deux sensibilités incomprisent
Deux sensibilités qui établissent la vérité
Deux sensibilités qui me brisent

Forces et Faiblesses

Forces et Faiblesses

Il n’y a pas de petites solitudes
Il n’y a pas de petites peines
Il n’y a pas de petites veines
Il n’y a pas de mauvaises attitudes

Il y a l’amitié, ses forces et faiblesses
C’est là que souvent le bat blesse
Et c’est ainsi que je jacasse
Toutes ces pensées qui me tracassent

Et être dans la peau de l’ignare
Sans vergogne, être hagard
Etre fou, sans assurances
Et assurer les doléances

C’est ainsi que se résume la continuité
Une vie étoilée d’éternité
Un carburant sauvage
Qui vous donne grand ménage

Liberté d’amour

Liberté d’amour

Liberté , tu m’as aimé
Liberté , je t’ai retrouvé
Toi qui a pris les ronces
Et qui m’a dit renonce

Mon ciel gris se découvre
Mon étoile atterrit
Et avec toi je revis
Ça y est, je te trouve

Mon coeur t’a dit oui
A présent je te suis
Aimons nous avec différences
Dans la plus totale inexpérience

L’existence d’un être

L’existence d’un être

Être soi,
Sans les lois
Obéir à une règle
Où tout se dérègle

Connaître son existence
Examiner sa conscience
Ménager l’ordre et la rigueur
Sans aucune sueurs

Aimer la vie
Comprendre l’ami
C’est ainsi dit
Je suis sans vie

Affection

Affection

Ressenti d’affection, ressenti d’affliction
Tu est le soleil qui illumine ma vie
Quand l’orage assombri mon âme, ma diction
Témoignage de sympathie tu me procure, amie!

Mon corps est en miette
Mon coeur en lambeaux
Mon esprit sur le carreau
Mon équilibre à la diète

Le soleil se couche a présent
Et je suis encore absent
Secoue moi, Réveille moi.
Soit près de ma voix.

Tu est la. Tu me tient en éveil.
Je te doit ce mot : Merci.
Tu est une merveille.
Maintenant je souris.

Comprend ces mots à ton égards
Ce n’est pas de l’amour
Mais un doux velours
Ai-je l’air hagard?

Insensible

Insensible

Message sur le regard des personnes qui n’ont pas d’handicap vers des personnes en difficultés

Insensible, mot si pénible
Indifférent à notre égard
Il est maintenant trop tard
Nous ne sommes plus vos cibles

Nous ne l’avons jamais été
Et vous nous regardez
Comme des animaux de basses-cours
Nous crions à présent au secours!

Curieuse façon d’égo-centrisme
Vous ne voyez notre dolorisme
Notre ressenti, nos peurs, nos craintes
nos frustrations,nos émotions,vos feintes

Pensez à autrui et non a vous
Pensez aux personnes en difficultés, nous!
Venez les aider, les rendre heureuses
Et non pleureuse!

Discretion

Discretion

Poésie dédié à J

Discrétion est ton atout
Retrait le tout pour tout
D’un coin tu regarde
Et enfin, tu bavarde

Chante, chante comme un pinson
Apprends en des leçons
Nul n’est plus ignoré
Que celui mis de côté

Et tes tentatives sont proche
La finale est dans ta poche
Toi qui aime la vie
Continue et prie…..

Sensations …

Sensations …

Poésie dédié à D

Aveugle parfois tu est
On ne peut te le reprocher
Tu pique sur du réséda
Et aucun mal ne te transperça

Écoute ton cœur, garde ta raison
Cela fera sensation
Aime ton prochain comme tu t’aime
Car on récolte ce que l’on s’aime

Persévérance ne doit pas rimer avec ignorance
Ne pique pas sur des fleurs rances
Car c’est à toi que revient cette ignominie
Que tu à déjà abolie

Ta route…

Ta route…

Cette poésie sera dédié à L.

Ne tente pas l’amour à tout prix
Essaye plutôt une jolie vie
Toi riche d’amitié
Qui à une infinie bonté

Trop violette tu semble
Rose ton cœur nous assemble
Rouge son tes yeux rempli d’humidité
Mais tu est remplie d’humilité

Reste fidèle à tes préceptes
Continue ton concept
Et le monde s’ouvrira
Et tu survivra

Elle s’appellait romance

Elle s’appellait romance

Elle s’appelle romance
Et je lui doit mon allégeance
Comme une rose ouverte
Qui attend inerte

Parfois au bout d’un moment
La fleur fane, un instant
Et je lui donne courage
Oh, enfant sage

là où l’amour ne suffit plus
Il faut montrer que l’on n’est reclus
Et prendre en main son destin
Petite fée, ce n’est rien

Ta fragilité agrémente mon délice
Et efface quelques vices
Pourvu que je t’idolâtre encore
Pourvu que tu me dévore

Grâce!

Grâce!

Pour quelqu’un……

Voudriez vous bien m’accorder votre grâce , madame?
Voudriez vous bien que je m’explique devant votre glace?
Auriez vous la complaisance de me faire offrande?
Je ne demande que de me faire pardonner de cette belle amende.

Il y a des moments ou la vie nous dicte de faire des choix
Mais cela ne doit pas être sans foi ni loi
Le terrain auquel je me suis glissé est fâcheux
Le malentendu est malencontreux

La discorde entre nous empire à toute allure
Et c’est avec ma prose, madame,que je vous en conjure
De bien vouloir suspendre votre courroux
Pour ramener nos relations en mode doux

Je sais que mon défaut de prudence
Est au préjudice de votre confiance
Est le sujet de votre méfiance
Est la raison de votre actuelle défiance

C’est ainsi qu’il me convient d’implorer
De nouveau, et sans pitié
Votre confiance morale
Rien de plus vraisemblable

Votre confiance s’est retrouvée ébranlé
Et mes intérêts pour vous égaré
Sachez entendre ces proses avec votre cœur
Et pardonner mes erreurs.

Vie,Amitié & Amour

Vie,Amitié & Amour

Vie, amitié et amour! Au secours!
Je vole de mes propres ailes
Et je les trouves très belles
Oh vie! Oh Amour!

Mes soleils rayonnent sur ma plaine
Mon étoile illumine mon avenir
Et ma galaxie m’ouvre le sourire
Qu’est ce qu’ils ont de la veine!

Elles ne se doutent de rien
Mais les surprises sont des lois
Comme un ami vous veut du bien
Comme un amour d’autrefois

Merci en cinq lettres ne suffisent pas
Le mot n’est point à la hauteur
C’est plutôt un souffre-douleur
Et tu t’en va..

Lumière!

Lumière!

Colère, lumière, colère, tempère!
A l’instant où toujours j’espère
Ce bouillon de violet
Peut devenir corde, c’est laid

Capable de peu je suis
Je ne peut attraper du millepertuis
Je récolte les orties
Et il y’a un coeur de moins dans la vie

La douleur auquel je succombe
n’est rien comparé à une tombe
C’est ainsi quand on est cloporte
On ne peut plus rien faire de sorte!

A quelqu’un d’unique

A quelqu’un d’unique

Ecrit par Nathalie De Oliveira

Oh toi amour,
Depuis ton grand retour,
Je me sens toute légère,
Comme une paupière

Avec toi tout n’est pu de même
Je sais que je t’aime
Quand je te vois je me sens pousser des ailes
Tel un oiseau dans le ciel

Tu ressemble à un soleil
Qui m’émerveille

Quand je pense à toi tout bas
Lorsque tu n’es pas la
J’imagine qu’on est deux
Et que nous sommes heureux

L’étoile

L’étoile

à Miwi.

Quand ton cœur est vide
Je le remplit d’amour acide,
Quand ton cœur est plein,
je le croque à pleine main

Quand ton âme est déserte
J’ose la rendre toute verte
Quand ton âme est remplie
Je prend, je mange la vie

Si ton visage n’est plus étoile
C’est que tu as mis ton voile
Mais tes yeux pétillant de bonheur
Ne comptent plus mes heures

Ma lumière brille toujours
Dans ton noir sans amour
Dans tes tentatives sans retours
Toi à qui je fait la cours

Un jour le soleil se lèvera
Et la beauté du ciel tu apercevra
Les nuages s’échapperont à ton passage
Et s’éclairera ton visage

Suis ton instinct , tes envies
Joue, amuse toi avec la vie
Vient , vient mon petit chagrin
Que tes larmes soit séché sur mes mains

Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Creux de la vie

Creux de la vie

Oh amour , oh ma tulipe, vient!
Quand mes yeux approchent les tiens
C’est le tourbillon de la nuit
C’est le creux de la vie

Ton rayon illumine mon ombre
Ta lumière assomme ce coin sombre
Ton univers est ma galaxie
Ce big-bang c’est ma vie

Que ce lointain esprit l’entende
Tu est ma raison d’être
Qui reste avec ces dons et ces failles
Mais rien de bien important qui ne se vaille

Ton esprit ouvert m’est rare et chère
Et mon cœur vois tout vert
Comme si rien d’autre n’existait au monde
Et je n’ai plus d’idées vagabondes!

Perdu

Perdu

Perdu dans cette brume
Enfoncé dans ce bitume
Ma vie n’est pas une fleur
J’ai plutôt peur

Dans ce brouillard intense
Je vois une porte , un passage
Dommage, c’est un mirage
Et je pense, et je panse

Pour refermer cette douleur
cette amertume, ce chagrin
Qui vient, qui s’achève le matin
Et je crie avec mon cœur

Oh! ombres machiavéliques
Oh ombres anarchiques
oh ombres magiques
Vous êtes artistiques

Abandonné

Abandonné

Abandon, le mot du desespoir
Quand il n’y a plus d’espoir
Je n’ai plus qu’a dire aurevoir
Et qu’a m’asseoir

Il devient difficile de rester stoique
En essayant de n’être sadique
Amour, amitié, quels sont ces mots?
Tout cela est tellement sot

Je ne vit plus, je ne souris plus
A force de jouer, j’ai perdu
L’amitié n’est ni loterie ni hasard
Cela me rend hagard

En ces beaux jours d’été
Je me sent relégué
Remis à mon triste sort
Celui qui à tord

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur