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Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.

Tombée du ciel

Tombée du ciel

Une étoile accrochée dans mon univers
Qui file à tout vitesse, dans l’air
Frais de mon océan, de ma tendresse
Pourvu que ces mots soient vieillesse

Je te tends mes deux mains
Ce n’est qu’un petit rien
Qui fait un petit tout
Qui fait que ce soit nous

Et si un brouillard apparaissait
Je ferais pour qu’il s’éclaircisse
Et tes larmes, tes cris, je viderais
Et ton cœur, ton alarme, reste lisse

Et ces termes pour dire que l’amour n’a pas de mots
Pour crier qu’il est là, qu’il reste
Même si parfois il se comporte en idiot
Il ne peut comme cela, retourner sa veste

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

Père

Père

Père, indigne de son nom
Père qui ne voit son rejeton
Père, arrêtes ça ne sent pas bon
Tu as grillé toutes les cartouches, le charbon

Mon ami, tu ne peux te rattraper maintenant
Si tu avais su jouer avec le temps
Tu aurais pu me faire renaître de mes cendres
Mais pas d’amour ni d’amitié tu sais revendre

Déçu par une telle attitude
De rejet de son propre géniteur
Ne continues pas , tu me fais peur
Reviens comme tu étais, père.

Elle

Elle

Elle, et ses yeux doux , ses yeux clairs
Qui éclairent mon ombre
Qui illuminent ma chandelle sombre
Je l’aime, même avec ces yeux en l’air

Et ces mots qu’elle sort, vulgaires
Mais si voluptueux à la fois
Je grogne,  j’élève ma voix
Pour ces choses si austères

Pour de bon, je suis coiffé de toi
Qui chaque jour m’aperçois
Sous un autre angle
Sous cette vision rectangle

Non carrée, car rectangle
Peut être contourné
Peut être violé
Et n’existe plus la liberté

Liberté de te susurrer
Quelques tendres gestes
Je n’ai jamais de reste
Sinon de te chérir , de t’aimer

Et te rassurer, et dire que je suis là
Et que j’angoisse pour ton toi
Même en t’écrivant ses mots oppressés
Je t’aime encore et toujours ma fée

Ciel d’azur

Ciel d’azur

Mon bleu ciel d’azur, toi qui fais ma cure
Je vois des milliers de flammes nous brûler
Je sens ton odeur de rose m’encercler
Aujourd’hui tu n’as pas une drôle d’allure

Toi, clarté du jour éternel
J’ai vu sur ta peau de chagrin
Que le vent froid te traverse ce matin
Oh, mon bleu ciel

Oh, ma belle et luxueuse lumière d’hiver
Tu fais pousser les roses rouges sur cette terre
Que je suis charger de cueillir, chaque soir
En entrant dans ton terroir

Mes yeux brillent d’espérance
De toujours t’aimer avec innocence
Continues, raffoles de ton prochain
Il es là, te tend la main

Accointances

Accointances

Accointance ne va plus avec ignorance
Accointance chaque jour une foule distinguée
Et tes yeux sont mon soleil qui éclaire mon avancée
Et ta douce peau n’est pas une peau rance

Mille câlins de moi tu dégustes
Plein de paroles aventureuses tu m’envoies
Je crois et bois de ton émoi
Dors , sommeilles sous le lustre

Plutôt vivre bien, mais vivre heureux
Vivre bien c’est être à deux
Peut-être ais-je une vision de l’amour altruiste
Souffles cette bougie et fais un voeu

Manque

Manque

Manquer n’est le contraire du verbe aimer
Adorer, c’est tout aussi fort qu’idolâtrer
Un ange de toutes les couleurs
Mais tourne tourne l’heure

De venir à ton secours
Comme viendrait pneu lors de crevaison
Comme viendrait oreille à celui qui est sourd
Oh toi, éternelle charmeuse tu en dis long!

Et moi grand rêveur, je vois ton bonheur
Non n’ai pas peur de manquer
De quoi que ce soit, tu es sans erreur
Et toutes ces choses sont vénérées

Damné

Damné

Damnés par des regards initiaux
Ils sont heureux et s’offrent des bouquets de lilas
Se sussurent, s’aiment avec des mots tout bas
Et depuis ils ne prononcent plus le même argot

Ils leur ont jeté des regards bestiaux
Féroces, mais ils sont munis d’armes
Et se battent, avec des moyens loyaux
Pour prouver qu’ils peuvent égaler, sans alarme

Et , vois-tu pendant que tu me jettes ton regard
Je suis complètement fou, hystérique, hagard
Nonobstant je suis et tu le perçois
Ma foi, je suis resté vide, sans voix

Si vite perdu

Si vite perdu

Ma rose du matin, si vite perdu
Mon chagrin, tant soit peu lié
Et je peux encore aimer
A ces instants que je t’ai volé

Et si rapidement tu t’éloignes
De mon cœur, mais je t’aime encore
Car dès que je te parle je te dévore
Et comme avant, ton corps j’empoigne

Je suis exposé à tes rayons ultra-violet
J’ai brulé une partie de ta flamme
Mais la mienne reste pour toi, ma femme
Et ce seul amour, je te l’ai accordé

Et je ressent la nostalgie comme vacances d’été
Comme si c’était loin, passé, daté
Et pourtant c’est toujours au présent
Et je te souffle de l’amour maintenant

Bouleversement

Bouleversement

Bouleversement, attendrissement et ces mots tendres
Que je te tend, que tu renverses, que tu bouleverses
Pour réveiller en moi ce que j’ai, cette habile adresse
Qui s’était endormie dans mon âme, que j’ai voulu vendre

Mais tu n’as pas besoin de te réveiller en porte-jaretelles
Pour continuer à mon égard d’être belle
Restes simplement toi, la plus naturelle
Car forcer le destin, c’est percer les nuages, le ciel

Toi qui es si douce, tu as bousculé mon existence
Toujours avec des heures d’avance
Et avec une si grande insolence
Et si tu ne l’avais fait, je ne me serai fait violence

Mais il n’y a pas besoin de se gâcher la vie
Pour être connu, reconnu
Le bonheur tient à quelques envies
Parfois insoluble,vu, revu et maintenant vendu

Et si vous pleurez chaque soir, sachez qu’il y’a plus triste
Et qu’il y a des gens, qui ne visitent que leur intérieur
Et qui oublient que le monde, les amis, c’est l’extérieur
Alors maintenant vivez! Refaites tourner le tourne-disque!

Injustice

Injustice

Injustice sur cette terre, où le juste mot est l’enfer
De se retrouver avec des idéaux, et rester en marge
Du monde, de l’amitié, des relations de notre âge
Et en cet instant, je vous perd

Mais je vous aime, au point le plus absurde
Ta vue m’est lointaine, mais pourtant si soudaine
Ma vie est longue, large, et rude
Et toutes ces questions qui me reviennent

Ma mie, ma vie vous me paraissez si distante
Avec moi, votre jeune ami, au cœur d’oiseau
Libre, qui vole et chante
Mais rappelez vous, il y a toujours des corbeaux

Liberté

Liberté

Liberté je t’ai proclamée, liberté je t’ai retrouvée.
Tu m’as été rendue après des années passées en prison
Prison de ma vie, qui a duré des décennies
Et maintenant, je vis!

Je ne souffre plus de cette cadence
Je ne vis plus dans la plus complète ignorance
Et enfin j’ai appris ce qu’était la décence
Je sens désormais tous mes sens.

Et toi et moi, heureux comme poissons dans l’eau
Ces jours, ces heures sont pour moi meilleures
Enfin je me sens pousser sans être dans le leurre
Et écrire tous ces mots ne semble plus idiot!

Inconnue

Inconnue

Inconnue, tu fus et tu es l’être que j’aime
Tu sommeilles en moi, mais je ne rêve pas
C’est la réalité qui est là, à grand pas
Mais moi je suis avec toi, dans ton arène

Ce jour où nous nous sommes rencontrés
Fut un moment magique
Pourvu qu’il ne se transforme en tragique
Avec vous jeune amourette c’est l’été

Et j’entre dans ton cerveau
C’est la secousse de ton âme
Qui me rend complètement fan
Avec toi je suis un radeau sur l’eau

Epilogue d’une vie

Epilogue d’une vie

Épilogue d’une vie, et moi qui dois toujours dire joli
Et tout ce temps que j’ai perdu avec toi
Et vous m’avez mis en émoi
Et je n’ai jamais pu te dire crois moi

Sans horaire, quelle liberté,
Vous m’avez dit la vérité,
Et je vous remercie en vous envoyant
Mille fleurs, et en vous embrassant

Jeunes amies, vous qui m’avez sauvé
Du gouffre dans lequel j’allais m’installer
Combien de fois devrais-je vous remercier?
Un nombre infini, celui qui a fait l’humanité

Joie

Joie

Triste sort effacé de mon corps, comme par magie
Et tout d’un coup grace à une baguette, je souris
J’ai fait de moi l’homme heureux, sans contrainte
Mais surtout une homme de joie, sans crainte

Plus serein qu’auparavant, grâce à mes erreurs
C’est ce qui se passe à force de regarder l’heure
Toi, moi trouvons l’équilibre de tout ça
Et je me vois maintenant dans tes bras

Joie, c’est le terme qui me revient
C’est le thème que maintenant je me souviens
Et même si je ne suis plus tout à fait moi
Je le fais dans ton sens, et pour toi

Noir

Noir

Noir, tel est la couleur que je vois
Noir, Mais je me pourvois
A la casse, aux ordures humaines
Quand toutes ces choses que je fais sont vaines

A quoi bon, si ce n’est être rejeton
De mon avenir, ma destinée
A rien, au revoir je m’en vais
Ca y est j’ai appuyé, la balle est dans l’action

Tout le monde me regrette, quoique
Et voilà vous pleurez
Et vos rires s’effacent
Mais vos larmes vont vite sécher

Je reviendrai, une fois ma vie achevée
Sur ce globe qui m’a souvent maltraité
Et non vous ne m’aurez
Parce que l’amour m’aura rattrapé

Sentiments

Sentiments

Sentiment dérisoire, face à tant d’acharnement
Sentiment d’un soir, face à cet engouement
Je pleure, je rie, mais dans des bras ouverts
Je parle, je crie dans ce vieux monastère

Il n’y a pas de contrôle de ma toute puissance
Il y’a seulement encore une certaine ignorance
Et vous, vous êtes là, à m’assener de questions
Qui ne servent qu’à me mettre en émotion

Mal aise sur cette terre qui ne m’est destiné
Et j’ose employer le mot souffrance
Pour ne pas dire ma plus cruelle vengeance
Celle que chaque jour j’ai décrété

Et la vie s’acharne sur mon bonheur
Mais j’aime ma petite fée, ma soeur
Qui vient me cajoler, consoler mes peines
Et moi de lui répondre je t’aime

Extra relationnel

Extra relationnel

Extra relationnel, la phrase qu’elle est belle
Tu es mon amoureuse
Toi qui crois que d’autres pourraient être plus belles
Moi qui te dis, reste heureuse

Et je sais en lisant ton âme
Que tu es une grande dame
Et la nature s’ouvre à toi
Et moi je m’ouvre au son de ta voix

Frissonnant, c’est aussi une relation grisonnante
Ces mots pour ne point dire extravagante
Celle qui fait que l’on aime la vie
Celle qui fait que je te sourie

Dans tes yeux je me jette
Dans tes bras tu me guettes
Je te vois , tu es nette
Plus besoin de ces mouchoirs enchevêtre

Bonheur

Bonheur

Bonheur d’amour, celui de toujours
Bonheur d’amitié, celle de l’été
Et dire que ces deux choses nous font vivre
Et dire que nous sommes libres

Libre d’aimer, de détester,
Libre d’apprécier et de s’envoler
Dans les airs d’un ciel coloré
Dans une vie au goût démesuré

Nous avons créé ces deux protagonistes
Pour plus que nous soyons tristes
Cela est désormais universel
Que les relations arrivent à être belles

Et je suis dans ma coquille, tel un crustacé
Qui n’a pas envie de s’ouvrir sur le monde
Mais qui pourtant est présent sur ce sable doré
Et qui fait des voyages sur notre terre ronde

Qui suis-je?

Qui suis-je?

Que suis-je à vos yeux si ce n’est pacotille?
Que fais-je ici alors que meilleur sont les cieux?
Mais une vient à mon secours, moi, sans abri
Elle m’a dit reste et dans mes bras je l’ai blottie

Confiance, mot d’ordre que nous ayons
Ta plus vive voix me dit vient ici
Et certains nous ont de leur atmosphère banni
Et ma voix intérieure m’a dit c’est une grande relation

Mais qui suis-je reellement?
Un être sensible à votre charme, madame,
Un être aimé de vous, tel Eve et Adam
C’est maintenant bon, on ne fait plus semblant

Impossible n’est pas

Impossible n’est pas

Impossible n’est pas , lorsque je vous vois
Mes yeux brillent comme brille le soleil
Et vous , vous ne savez pas
Et toi, ange tu m’émerveilles

Cependant, impossible n’est pas
Et je me vois dans vos bras
Je fais semblant, mais j’idolâtre
Vos yeux, que je ne veux abattre

Ce sourire que je perçois chaque jour
M’indique cette route, sans retour
Je doit marcher à contre-sens
Mais je sais que toi tu avances

Serre moi

Serre moi

Serres moi, et montres ton cœur de velours
Serres moi et baiser de moi tu recevras
Serres moi , et toujours je cours
Serres moi, si fort que tu ne me verras

L’existence de l’union me fait sourire
Tu m’as sacré roi de ton visage
Tu as dessiné les contours du ravage
Et cet intérêt que tu as je vais lire

Semblable euphorie je n’ai vu
Similaire amour je n’ai entendu
Équivalente tendresse jamais reçue
Éternelle jeunesse, nous avons cru

Aimer sans comprendre

Aimer sans comprendre

Aimer sans comprendre,
Aimer sans apprendre,
Telle est la vie que j’aime
Telle est la mie qui m’assène

Comprendre sans me vendre
Comprendre son regard
Qui me rend complètement hagard
Oh, reviens, geste tendre

La regarder dans les yeux
Tel on voit au loin un mirage
Ce mirage réel, c’est mon voeu
Cette vie soudaine, qui continue avec l’age

Amour caché

Amour caché

Je le sais, c’est au fond de moi
Je le sais, et j’y crois
je te vois, c’est l’émoi
je nous vois, toi et moi

Calin de toi je reste
je te cherche
tu te caches dans le mont everest
et moi je suis émeché

Tous ces termes sont là pour celui que j’idolâtre
ce n’est pas une petite raillerie
encore moins une plaisanterie
c’est pour toi que je vis

Le chiffre six

Le chiffre six

Six est mon nombre adoré
c’est le fruit de quatre et deux
c’est le signe de la vérité
c’est la puissance de mon léger aveu

C’est celui qui me dit souris
qui me confie la vérité
qui comprend ma légèreté
qui conduit ma vie

Il indique mon bonheur
grandement supérieur à mon malheur
c’est la sincérité de la vie
c’est la volonté qui nous lie

triste sort qui s’acharne
et moi je m’en vais en ballade
et toi tu vois mon coeur en chamade
et moi je te vois dans ces certaines mânes.

Et je te vois mander auprès de toi
et ils te répondent que c’est notre voix
et je te réponds c’est la loi
celle qui fait que nous sommes en émoi

la seule chose que je peux promettre
c’est de rester honnête
c’est d’aimer au point d’expirer
c’est de rester dans cette envolée

Corps exotique

Corps exotique

Corps exotique, celui que je ne pique
Corps érotique, où sombre visite
Tu te fends comme crique
Et moi je caresse ta douce musique

Si ta pensée est égale à ton corps
Alors tu seras toujours belle mon trésor
Celle qui à mon esprit vaut de l’or
Celle qui fait que je ne suis pas mort

Ces quelques bribes sont pour nous,
Mais surtout pour ma puissante
Qui croit que n’est pas arrivé le loup
Qu’elle chasserai avec coups

Epris avec raison

Epris avec raison

Epris de toi, je ne cours plus
C’est ce regard flambant neuf
Qui connaîtra mes craintes entendues
Ma griserie ingénue

J’ai une ingouvernable sensation de mépris
Pour ceux qui n’ont pas compris
Que deux êtres peuvent s’aimer
Sans obligatoirement se quereller

C’est comme une irrepressible envie
De dire à cet univers
Que l’amour est différent de la guerre
Que chaque saison de nous c’est la vie

Pour certains les mots bonheur et respire
Deviennent irritant, compromettant
A tel point que la vie devient lente
Et que le jour et la nuit s’aspirent

J’ai la fantastique raison de penser
Sur cette terre que d’autres vies ont poussé
Mais que la notre est ravivée
Et c’est celle de l’éternité

Futur

Futur

J’imagine le futur
J’imagine la vie dure
J’imagine l’air pur
J’imagine notre cure

Nous célébrerons notre union
Ils verront notre passion
Mais aussi notre poupon
Et nous rions

Nous formerons notre tribu
Celle que seul dieu à vu
Au pays des oiseaux  je m’envolerai
Le bonheur je crierai

Le chiffre quatre est ton code préféré
Mais il y a aussi deux
Car à deux on fait les choses que l’on veut
Rien de plus beau que deux êtres qui les aimaient