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Hymne à l’amour

Hymne à l’amour

Oh mélancolie et tristesse,
Je me crois en pleine vieillesse
Et je regarde tes yeux plein de larmes
Moi qui croque ton charme

et tes yeux bleu sont océan
et ton visage doux est sable
et ton amour est sang
et ta douceur est nature

Toi qui aime la vie
Croques la pomme de l’amour
Aimes ton prochain comme tu t’aimes
Approches toi de sa main

Et dans notre âme si profonde
Demandons-nous qu’est-ce qu’aimer?
Toi qui ne m’aimes pas par vanité
Mais par bonheur de vivre

Continues et restes ainsi
L’amour est un bouquet de violettes
Il se ceuille au bord de l’herbe
avec raffinage et douceur

Injustice

Injustice

Injustice etatique,
là ou la loi est réuni entre trois mains
là où la vie vous prive d’un examen
Pire que privation de droit civique

La cause d’une personne
Repose sur la décisions de plusieurs
d’un comité qui ne compte ses heures
Je suis palot, tremblant de peur.

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Virtuosité

Virtuosité

A melissa.

Amitié, deci , delà ,
Amitié, par-ci , par là
Virtuosité, générosité, bonté
Tout simplement ils souriaient

Et la chaleur humaine nous rapproche
Et la fraicheur nous tourmente
Pour vous, je me suis fait les fond de poches
Même quand celà n’a été nécessaire, arrogante!

Parfois même avec des idées compromettantes
Celà ne m’empêche pas de t’apprécier
A juste valeur, et de rester comme tu es
Oh, douce et injuste vie lente!

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Un jour

Un jour

Un Jour il est venu au monde
Ce jour c’était le notre
Mais aussi chère amie, le votre
Oh une tête tout blonde.

Fruit de la passion
Et de deux êtres en pleine union
Toi qui l’a transporté
moi qui l’a aimé

Malgré les rires et la honte
D’autrui, j’assume
Mon choix, mes actes, sans amertume
Car la vie est un conte

Non de fée mais de magie
Non, je refuse de revenir sur mes choix
Je le fais en tout conscience, de vive voix
La preuve, il me sourit

Blanchie

Blanchie

Sale, blanchie et parfois jaunâtre
Ras le bol de voir cette couleur âcre
Qui empeste ma vie,
Ce n’est même pas l’odeur du rhododendron, l’ami!

Tu as pourri ma jeunesse
Mais tu ne saliras pas ma vieillesse
Plutôt mourir que donner
Un seul minuscule petit billet

Même pas une liasse de monnaie
Et encore moins un seul petit blé
Toi qui as guidé mon enfance
Qui m’a emmené dans l’errance

Plus encore, dans l’innocence
Mais on te manie telle une ignorance
Et je te vois d’un regard abject
Avec ça, finie la fête

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Rêve

Rêve

Rêves intrépides, rêves irréalisables
Vous ne venez plus à moi comme d’antan
Et j’aimerais vous suivre, passivement
Mais j’ai la haine, c’est incroyable

De ne faire que de petites choses minables
Et de laisser faire le temps, doucement
Alors que dans la vie, il faut avancer tranquillement
Regardes moi, non, arrêtes, tu es le diable

Si l’on n’est convaincu de rien
On ne fait que des choses sans aucun lien
Et moi je ne suis que chien
Dans cet univers, qui tourne, va et vient

Cadeau de la vie

Cadeau de la vie

Un cadeau de la vie, cela se garde
Mais pour cela il faut se mettre en alarme
Et pour dire, j’y suis, et tu me regardes
Avec ton air enfantin, qui ne m’affable

Et je t’aime, comme on aime rire
Aimer rire, c’est la vie
Celle qui te dit courage et sourit
Et moi je te serre, comme la lyre

Et je lève les yeux et tu les attrapes
Pour les capturer, belle, douce, charmante
Dame! Si tu savais, arrogante!
Tu ne sais rien, tu vois seulement, et tu catches!

Catches mon esprit, pour me réveiller
Me dire parles moi, je suis aussi là
Pour m’entendre et rester auprès de toi
Hélas je ne suis pas ce que tu as rêvé

Mais elle raconte que ce n’est pas vrai
Je te le dis cher lecteur , ne prends pas peur
De mes mots, ils sont véritables, mais quelle erreur
De ne pas t’écouter, étoile….

Noël

Noël

Noël, le jour de merveille
Noël, et tous s’asseyent
Noël, un grand repas de famille
Noël, moi je ris

Tu n’es pas présent,  à mon esprit
Ce n’est qu’une simple banalité
Qui n’a pas de valeur, de jovialité
Et encore moins de vie

Mais c’est noël
Ce jour censé si merveilleux
Mais qui finalement ne me rend heureux
Noël, qui n’est pas belle

Même avec tout l’or du monde
Je ne souhaite le fêter
Je ne veux m’agiter
A quoi bon? Pas de table ronde…

Alouette

Alouette

Alouette, petite alouette
Tu es là, et tu becquettes
Sur le pont du paradis
Sur le chemin de la vie

Et tu te sens heureuse, petite tortue
Des mers et de la terre
Car tu ne courres plus les rues
En y trouvant sans cesse l’enfer

Ton inclination m’éclaire chaque jour
Mais tu ne m’entends car tu sembles sourde
A mes observations, mes petites leçons
A la fin vieille canaille tu deviendras bonne

Bouleversement

Bouleversement

Bouleversement, attendrissement et ces mots tendres
Que je te tend, que tu renverses, que tu bouleverses
Pour réveiller en moi ce que j’ai, cette habile adresse
Qui s’était endormie dans mon âme, que j’ai voulu vendre

Mais tu n’as pas besoin de te réveiller en porte-jaretelles
Pour continuer à mon égard d’être belle
Restes simplement toi, la plus naturelle
Car forcer le destin, c’est percer les nuages, le ciel

Toi qui es si douce, tu as bousculé mon existence
Toujours avec des heures d’avance
Et avec une si grande insolence
Et si tu ne l’avais fait, je ne me serai fait violence

Mais il n’y a pas besoin de se gâcher la vie
Pour être connu, reconnu
Le bonheur tient à quelques envies
Parfois insoluble,vu, revu et maintenant vendu

Et si vous pleurez chaque soir, sachez qu’il y’a plus triste
Et qu’il y a des gens, qui ne visitent que leur intérieur
Et qui oublient que le monde, les amis, c’est l’extérieur
Alors maintenant vivez! Refaites tourner le tourne-disque!

Joie

Joie

Triste sort effacé de mon corps, comme par magie
Et tout d’un coup grace à une baguette, je souris
J’ai fait de moi l’homme heureux, sans contrainte
Mais surtout une homme de joie, sans crainte

Plus serein qu’auparavant, grâce à mes erreurs
C’est ce qui se passe à force de regarder l’heure
Toi, moi trouvons l’équilibre de tout ça
Et je me vois maintenant dans tes bras

Joie, c’est le terme qui me revient
C’est le thème que maintenant je me souviens
Et même si je ne suis plus tout à fait moi
Je le fais dans ton sens, et pour toi

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois, le paradis
Celui auquel séjournent les sages
Qui sont doux comme des images
Ce sont des gens qui ont sourit

A la vie, comme à la mort,
Et jusqu’au dernier carat
Et je devrai les suivre, ces gens là
Je fais une erreur, qui vaut de l’or

Je suis en train de perdre l’estime
Que j’ai en vous jeune jonquille
Moi qui ne dors jamais l’esprit tranquille
Moi qui devrais avoir plus d’estime

La vie est là, parsemée de combat
Et d’embûches au milieu du chemin
Et je trébuche mais elle me releva
Et j’essaye d’éclaircir ces doux matins

Doux matins, qui sont mon été
Ma vie, mes sentiments
Ne sont plus que poussière trainé par le vent
Moi qui avais tout calculé, tout dirigé

Maintenant, je noies mon chagrin dans la littérature
Dans ces mots qui coulent à flots
Comme coulent les larmes sur mon visage
Oh voyez donc mon adage

Il y’a des moments où l’on aimerait être jovial
Et aussi continuer d’être cordial
Mais il y’a des moments où la réalité fait face
C’est là que vivre agace.

Et il y a cet état, celui que je traverse
Celui qui fait que mon entourage se blesse
Qui fait des sursauts, des ressauts
Celui que j’essaye de contrôler avec les mots

Noir

Noir

Noir, tel est la couleur que je vois
Noir, Mais je me pourvois
A la casse, aux ordures humaines
Quand toutes ces choses que je fais sont vaines

A quoi bon, si ce n’est être rejeton
De mon avenir, ma destinée
A rien, au revoir je m’en vais
Ca y est j’ai appuyé, la balle est dans l’action

Tout le monde me regrette, quoique
Et voilà vous pleurez
Et vos rires s’effacent
Mais vos larmes vont vite sécher

Je reviendrai, une fois ma vie achevée
Sur ce globe qui m’a souvent maltraité
Et non vous ne m’aurez
Parce que l’amour m’aura rattrapé

Extra relationnel

Extra relationnel

Extra relationnel, la phrase qu’elle est belle
Tu es mon amoureuse
Toi qui crois que d’autres pourraient être plus belles
Moi qui te dis, reste heureuse

Et je sais en lisant ton âme
Que tu es une grande dame
Et la nature s’ouvre à toi
Et moi je m’ouvre au son de ta voix

Frissonnant, c’est aussi une relation grisonnante
Ces mots pour ne point dire extravagante
Celle qui fait que l’on aime la vie
Celle qui fait que je te sourie

Dans tes yeux je me jette
Dans tes bras tu me guettes
Je te vois , tu es nette
Plus besoin de ces mouchoirs enchevêtre

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie est différent pour chacun
Le sens de la vie va bon train
Et moi je me lève de bon matin
Pour voir ce sens vilain

Je ne sais où donner tête
Et j’aimerais faire la fête
Je me sens dérouté
Détourné de la vrai réalité

Et je voudrais rêver
Tout en essayant de m’isoler
Dans une cage de fer
Et cela pour éviter d’être en enfer.

Amour caché

Amour caché

Je le sais, c’est au fond de moi
Je le sais, et j’y crois
je te vois, c’est l’émoi
je nous vois, toi et moi

Calin de toi je reste
je te cherche
tu te caches dans le mont everest
et moi je suis émeché

Tous ces termes sont là pour celui que j’idolâtre
ce n’est pas une petite raillerie
encore moins une plaisanterie
c’est pour toi que je vis

Effacez moi

Effacez moi

Effacez-moi, je ne vous suis plus utile
Rendez-moi mon arme même si c’est futile
Laissez moi la vie, ignorant que je suis
Plutôt crever répondez-vous en catimini

Pensez à vous , bande d’insensés !
Ne criez pas meute d’arriérés!
Constatez les dégâts !
Et voyez ce qui se passe là-bas!

Vous ne me verrez jamais individualiste
Je ne vous changerai décidement jamais
Et pourtant j’ai beau encore chanter
Et pourtant je suis hors piste

On dit même hors-jeu dans notre monde
Et puis d’abord c’est quoi la vie?
C’est une sorte de profit?
Exploitons-nous et ayons des idées vagabondes

Une vie

Une vie

Une vie de front ,
Une vie de grace,
Cette vie tenace,
Nous la montons

Quand le mot qualité,
Rime avec sincérité,
Quand le mot sécurité
Vole au secours de la sérénité

C’est tout l’art,
Qu’ont deux jeunes veinards,
De s’aimer, se détester,
Se repousser,s’attirer

Et eux il combattront les préjugés,
Ceux qui depuis longtemps leur sont destinés,
Et eux ils connaîtront l’idylle naissante
De la vie à soixante.

Epris avec raison

Epris avec raison

Epris de toi, je ne cours plus
C’est ce regard flambant neuf
Qui connaîtra mes craintes entendues
Ma griserie ingénue

J’ai une ingouvernable sensation de mépris
Pour ceux qui n’ont pas compris
Que deux êtres peuvent s’aimer
Sans obligatoirement se quereller

C’est comme une irrepressible envie
De dire à cet univers
Que l’amour est différent de la guerre
Que chaque saison de nous c’est la vie

Pour certains les mots bonheur et respire
Deviennent irritant, compromettant
A tel point que la vie devient lente
Et que le jour et la nuit s’aspirent

J’ai la fantastique raison de penser
Sur cette terre que d’autres vies ont poussé
Mais que la notre est ravivée
Et c’est celle de l’éternité

Visite

Visite


Visite mon esprit
Comme j’explore ta tendresse
Visite ma vie
Comme j’explore ta jeunesse

A chaque fois que je regarde ton sourire
Je fond, comme coule la glace en pleine chaleur
C’est ta chaleur que je visite et qui fait que je pleure
Mais sache que chaque jour tu me fais rire

Y’en a d’autre, mais non, le pétale que j’aime est là
A chaque fois que mes yeux le lui disent elle comprend
Elle sait ce que je ressens, et toute son âme elle me vend
Rêve , rêve mais ne restes pas là-bas.

La clé du bonheur n’est pas loin,
Elle est aussi proche que mes voisins
Je me suis perdu en toi
Et c’est là que j’y crois.

Terrible

Terrible

Terrible, Terrible est la vie
Trépide, Trépide je la gère
Vide, vide mais je souris
Rempli d’espoir j’espère

Vengeance je crierai
Insolent je serai
Abêtissant vous verrez
Arrogant je resterai

Vous ne m’aurez pas
Je marcherai à grand pas
Je vous écraserai à pas de mouche
Comme ça vous fermerez votre bouche

Si il faut que je galère je le ferai
Si il faut je crèverai
Et comme il le faut je tenterai
Même si cela échoue j’aurai essayé.

Petite vie…

Petite vie…

Petite vie,
Qui me sourit
Me fait frémir
Me fait agir

Petite vie
Qui rend grand
Qui rend l’argent
Longues décennies

Petite vie
Tremblant de peur
Dans la douleur
Long cri

Petite vie
Mais grande Avancée
C’est ta destinée
Longue insomnie

Quand je serais grand…

Quand je serais grand…

Quand je serais grand
Je serais touffu , barbu
J’aurais peut être quarante ans
Mais je ne serais pas cru

Quand je serais grand
Je ne saurais ce qui m’attend
Elle désignera ce qu’elle veut
Elle passera sa main dans mes cheveux

Quand je serais grand
Je continuerais ces rêves d’enfants
Elle continuera de comprendre
De me faire apprendre

Quand je serais grand
Je ferais quelque chose de marrant
Mais ce sera toi
Qui me guidera