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Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

Abandon

Abandon

Peur de tes bras ma douce ingénue
De tes mots, ton charme, ton odeur
Tes sentiments ont mille valeurs
Je crains de toi n’être plus vu

Mon âme s’abandonne à ton esprit
Mon coeur chevauche ta rivière
La fraternité à présent nous relie
De tes sentiments ma chancelière

Mais peut-être autrui te charmera
Je me noie de chagrin , en vain
Je crois que tu m’abandonnera
Et n’aurais pour pleurer mes mains

A présent j’ai un pied sur l’étrier
Je penche, tombe, me detruit
La vie bascule du mauvais côté
Je ne suis plus! Adieux, tout est permis!

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Les feux

Les feux

à Fatima

Amour en feu
Amitié en jeu
Bonheur en vue
Qui l’eut crut ?

Étincelle de la vie
Mon histoire tu écrit
Tu embrasses la braise
Tu soulèves des falaises

à tes côtés je suis serein
Nos cœurs ne valent qu’un
Soudés pour l’éternité
Reliés à tout jamais

L’au-delà ne nous sépare
Ne nous rend plus avare
Sans aucune affliction
Nous nous en irons

 

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

Aigle Blanc

Aigle Blanc

Aigle blanc, Aigle dormant
D’un exceptionnel talent
Ma petite églantine
Ne tombe pas en ruine

Dotée d’un éternel chagrin
Tu es mon petit matin
Ma vie, l’amitié, mes regrets
Ton cœur se tient prêt

Il bourgeonne d’amitié
De chemin, tendresse, vérité
Une petite fée de la vie,
Une étoile dans la galaxie

L’or vient de ton âme
Tu as ouvert une petite vanne,
J’idolâtre tes choix
Tu me laisse sans voix

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Nuls n’a plus d’estime que soi
Et personne n’est le roi
Vous annulez ma joie
Entourage sans foi ni loi !

Le bécot sur la main
Sans raisons , ne vaut rien
Les louanges injustifiées
Ne valent d’êtres consolées

Pinsons, reveillez-vous!
Ainsi il ne faut continuer
Ou je vous ferais rouer
En place de grève, à bout !

Ne soyez point égoïste
Vous qui me rendez si triste
Soyez parfois un peu altruiste
Atterissez sur la piste

L’existence d’un être

L’existence d’un être

Être soi,
Sans les lois
Obéir à une règle
Où tout se dérègle

Connaître son existence
Examiner sa conscience
Ménager l’ordre et la rigueur
Sans aucune sueurs

Aimer la vie
Comprendre l’ami
C’est ainsi dit
Je suis sans vie

Affection

Affection

Ressenti d’affection, ressenti d’affliction
Tu est le soleil qui illumine ma vie
Quand l’orage assombri mon âme, ma diction
Témoignage de sympathie tu me procure, amie!

Mon corps est en miette
Mon coeur en lambeaux
Mon esprit sur le carreau
Mon équilibre à la diète

Le soleil se couche a présent
Et je suis encore absent
Secoue moi, Réveille moi.
Soit près de ma voix.

Tu est la. Tu me tient en éveil.
Je te doit ce mot : Merci.
Tu est une merveille.
Maintenant je souris.

Comprend ces mots à ton égards
Ce n’est pas de l’amour
Mais un doux velours
Ai-je l’air hagard?

Discretion

Discretion

Poésie dédié à J

Discrétion est ton atout
Retrait le tout pour tout
D’un coin tu regarde
Et enfin, tu bavarde

Chante, chante comme un pinson
Apprends en des leçons
Nul n’est plus ignoré
Que celui mis de côté

Et tes tentatives sont proche
La finale est dans ta poche
Toi qui aime la vie
Continue et prie…..

Ta route…

Ta route…

Cette poésie sera dédié à L.

Ne tente pas l’amour à tout prix
Essaye plutôt une jolie vie
Toi riche d’amitié
Qui à une infinie bonté

Trop violette tu semble
Rose ton cœur nous assemble
Rouge son tes yeux rempli d’humidité
Mais tu est remplie d’humilité

Reste fidèle à tes préceptes
Continue ton concept
Et le monde s’ouvrira
Et tu survivra

Grâce!

Grâce!

Pour quelqu’un……

Voudriez vous bien m’accorder votre grâce , madame?
Voudriez vous bien que je m’explique devant votre glace?
Auriez vous la complaisance de me faire offrande?
Je ne demande que de me faire pardonner de cette belle amende.

Il y a des moments ou la vie nous dicte de faire des choix
Mais cela ne doit pas être sans foi ni loi
Le terrain auquel je me suis glissé est fâcheux
Le malentendu est malencontreux

La discorde entre nous empire à toute allure
Et c’est avec ma prose, madame,que je vous en conjure
De bien vouloir suspendre votre courroux
Pour ramener nos relations en mode doux

Je sais que mon défaut de prudence
Est au préjudice de votre confiance
Est le sujet de votre méfiance
Est la raison de votre actuelle défiance

C’est ainsi qu’il me convient d’implorer
De nouveau, et sans pitié
Votre confiance morale
Rien de plus vraisemblable

Votre confiance s’est retrouvée ébranlé
Et mes intérêts pour vous égaré
Sachez entendre ces proses avec votre cœur
Et pardonner mes erreurs.

Vie,Amitié & Amour

Vie,Amitié & Amour

Vie, amitié et amour! Au secours!
Je vole de mes propres ailes
Et je les trouves très belles
Oh vie! Oh Amour!

Mes soleils rayonnent sur ma plaine
Mon étoile illumine mon avenir
Et ma galaxie m’ouvre le sourire
Qu’est ce qu’ils ont de la veine!

Elles ne se doutent de rien
Mais les surprises sont des lois
Comme un ami vous veut du bien
Comme un amour d’autrefois

Merci en cinq lettres ne suffisent pas
Le mot n’est point à la hauteur
C’est plutôt un souffre-douleur
Et tu t’en va..

Lumière!

Lumière!

Colère, lumière, colère, tempère!
A l’instant où toujours j’espère
Ce bouillon de violet
Peut devenir corde, c’est laid

Capable de peu je suis
Je ne peut attraper du millepertuis
Je récolte les orties
Et il y’a un coeur de moins dans la vie

La douleur auquel je succombe
n’est rien comparé à une tombe
C’est ainsi quand on est cloporte
On ne peut plus rien faire de sorte!

Amour fondu

Amour fondu

Ecrit par nathalie

Mon amour,
Quand je te vois, je fonds complètement
Tu es si charmant

Je te regarde et je ne cesse de rêver
Quand je te vois si enjouer !
Tu me rends si heureuse
C’est pour cela que je suis toujours joyeuse

Nous deux c’est pour la vie
Dans un paradis
Celui qui m’a fait naître
M’a fait le plus beau cadeau de te connaître

J’aurais su qu’un jour j’allais te rencontrer
Je n’aurais pas fini d’y penser
Tu me fais sentir de jour en jour
Que le temps est si court

Que chaque jour passé avec toi, tu fais en sorte
De me donner la force
De faire face à la vie
Et qu’enfin tout me sourit

Comme dans un monde imaginé
Où tout serai à inventer

L’étoile

L’étoile

à Miwi.

Quand ton cœur est vide
Je le remplit d’amour acide,
Quand ton cœur est plein,
je le croque à pleine main

Quand ton âme est déserte
J’ose la rendre toute verte
Quand ton âme est remplie
Je prend, je mange la vie

Si ton visage n’est plus étoile
C’est que tu as mis ton voile
Mais tes yeux pétillant de bonheur
Ne comptent plus mes heures

Ma lumière brille toujours
Dans ton noir sans amour
Dans tes tentatives sans retours
Toi à qui je fait la cours

Un jour le soleil se lèvera
Et la beauté du ciel tu apercevra
Les nuages s’échapperont à ton passage
Et s’éclairera ton visage

Suis ton instinct , tes envies
Joue, amuse toi avec la vie
Vient , vient mon petit chagrin
Que tes larmes soit séché sur mes mains

Creux de la vie

Creux de la vie

Oh amour , oh ma tulipe, vient!
Quand mes yeux approchent les tiens
C’est le tourbillon de la nuit
C’est le creux de la vie

Ton rayon illumine mon ombre
Ta lumière assomme ce coin sombre
Ton univers est ma galaxie
Ce big-bang c’est ma vie

Que ce lointain esprit l’entende
Tu est ma raison d’être
Qui reste avec ces dons et ces failles
Mais rien de bien important qui ne se vaille

Ton esprit ouvert m’est rare et chère
Et mon cœur vois tout vert
Comme si rien d’autre n’existait au monde
Et je n’ai plus d’idées vagabondes!

Perdu

Perdu

Perdu dans cette brume
Enfoncé dans ce bitume
Ma vie n’est pas une fleur
J’ai plutôt peur

Dans ce brouillard intense
Je vois une porte , un passage
Dommage, c’est un mirage
Et je pense, et je panse

Pour refermer cette douleur
cette amertume, ce chagrin
Qui vient, qui s’achève le matin
Et je crie avec mon cœur

Oh! ombres machiavéliques
Oh ombres anarchiques
oh ombres magiques
Vous êtes artistiques

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Sucré salé

Sucré salé

Odeur de sueur
Je ne compte plus mes heures
Et ont disparus mes craintes, mes peurs
Salé sucré, gout de bonheur

Quand je te voit , ta galaxie s’offre à moi
Te quitter devient mélancolie
Toi pour qui l’amour est sans foi ni lois
Et je n’ai qu’un cœur d’apprenti

Et maintenant il faut y aller, foncer
Aimer la vie, aimer le temps d’aujourd’hui
Et je te câline, ma petite fée
Aime toi, reste toi, sans être salit

Océan bleu

Océan bleu

A Jacques & Nathalie qui sauront pourquoi ce message leurs est adressés

Océan bleu, océan du martyr
Océan de la vie, du désir
Alouettes des mers réveillez vous
Pinsons sur terre aimez vous

Et tandis qu’une larme coule
Cela me met en boule
De ces amitiés je me vante
Les oiseaux chantent

Dur est le départ sur ce lointain horizon
Mes étoiles sont comme en prison
Cachés derrière des barreaux innateignable
Dans des murs impénétrable

Océan, revient vite à la surface
Océan je ne suis pas lasse
Océan mon coeur est à toi
Océan tu me laisse sans voix.

Pensées

Pensées

à Cali, qui se reconnaitra

Pensée, amitié, pensée , volupté
Quatre mots pour dire aimer
Aimer de manière extraordinaire
Comme une vipère

Le rose et le bleu se marient
Tel l’étoile qui défile
Tel une couverture qui s’enfile
Et tu me réchauffe , amie!

Aujourd’hui, à ta vue, le ciel s’éclaircit
Et le soleil s’ouvre comme ton sourire
Et tes yeux pétillent d’espérance, de vie
Et tes larmes coulent comme la cire

Tout ces jolis et recherchés mots pour toi,
Pour te dire a quel point l’amour fait loi
Que ton regard est plus important que les autres
Que ton bonheur est ma foi.

Attachement

Attachement

@ Nathalie que je n’oublierais jamais

Attachement le mot du temps et de la vie
Affection, gout de l’amitié, passion.
A ton égard je me sent débridé, hagard
Bonheur, amour et gentillesse en sont les faits

Toi qui n’aime pas l’austérité
Et encore moins la vanité
Tu m’accueille avec spontaneité
Et je t’accepte, aussi, comme tu est

Des milliers d’étoiles scintillent en ta présence
Tu est la lumière de l’ignorance
Et chaque pensée est pour toi en ton absence
Toi qui m’offre chaque jour ta bienveillance

Le prix de l’amour des gens vaut de l’or
Et aujourd’hui l’or est rare
Alors toi, pierre précieuse, reste à mes abords
Car tout cela pourrait finir, tôt ou tard.

Fusion

Fusion

Fusion tel est le terme non austère
Que je profère
Quand je n’ai de gout a la vie , amère
Mais le sourire des uns ramène la vie sur terre

Quand deux esprits s’entrechoquent
Quand deux coeurs s’enmellent
Quand l’amitié se demelle
Et l’ame est sans équivoque

Et il est difficile de pouvoir aimer
Et de pouvoir le dire
Tout en étant compris et apprécié
Mais l’incise est faite et ce n’est à present, pire

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Souvenirs

Souvenirs

Souvenirs lointains, souvenirs puritains
Souvenirs d’amitié , de tendresse
Oh, non je ne t’ai oublié jeunesse
Si il te plait, approches-toi, viens

Que vaut la vie maintenant
Pacotilles et choses ulcéreuses
Et je suis toujours là. Amoureuse
Reviens vite pépite d’avant.

Nuit

Nuit

Il était une nuit où tout était clair
Un jour où tout était sombre
des jours de l’indécence
Moi qui te tends ma main

toi qui n’as pas su la prendre
Mais qui peut encore apprendre
Dans le coeur et dans l’esprit
Que tes pleurs ne sont pas la vie

Et tout ce ciel noir étoilé
S’envole dans l’au-delà
S’amuse moins ici que là-bas
Toi, ma petite rosée

Par dessus la raison
Je ne puis cesser d’aimer
Mon doux chagrin, ma saison
je suis brisé

Brin d’été

Brin d’été

Quand le soleil se lève
Il laisse jaillir sa lumière sur l’horizon
Il donne la vie à notre raison
Et la poussée de ses fleurs s’achève.

Tandis que ton chemin est parsemé d’étoiles
Le mien est mis en voile
Caresse sur l’océan
Bonheur et fragilité du temps