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Tag: vie

Quatorzes Roses

Quatorzes Roses

Quatorze rouges roses éclatantes
Je suis parfois en dilettante
Parfois avec mon coeur en fer
Forgé, qui es la et qui espère

Devenir une âme en diamant
Je ne suis plus ce pantin errant
Des étincelles qui jaillissent
Et qui m’emporte avec les hélices

Tombé dans l’arbre de l’amour
Celui qui naît, qui meurt, un jour
Je suis accroché en haut des branches
Pour éviter ces mares intenses

Notre vie parfois ingrate et injuste
Nous amène ce soleil vétuste
Dans ce monde composé d’imparfait
D’où les êtres sont aussi née

Je fléchi toute mes grandes positions
Cela ne sera plus très long
Mon physique s’essouffle un peu
Moi qui suis a présent à mille lieu

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Les vertus de la vérité

Les vertus de la vérité

Quelques vertus et agaçantes vérités
Sont toujours autant de bienfaits
Pour toi le peuple et l’ami soumis
A ton pouvoir et à tes idéologies

Nous sommes les esclaves de la trahison
Suis moi je te fuit, fuit moi et saute du pont
Je vous ai suivi, aimé, détesté, confié, trahi
Je suis l’être avec qui vous avez tant ri

Celui des bonnes blagues qui sont gentilles
Enfermé sur ses propres pensées de la vie
J’ai soudainement enfermé le grand soleil
Comme si j’avais mis mon avenir en veille

Quoi que je fasse, où que je soit à présent
Je sais mener ma vie avec brio , présentement
J’ai le sentiment d’un partage équitable
Mais personnes n’a encore compris ma fable

Les étincelles

Les étincelles

Les étincelles qui scintillent
Qui brûlent et qui pétillent
Je geind* parfois en tes bras
De ton absence, ici et là bas

La mélancolie me traverse doucement
Et atteint mes pensées lentement
Mais mon amour pour toi grandit
Tu donne un sens à ma vie

Partager à deux ce bonheur aujourd’hui
Et nos malheurs demain, je n’ai ri
Je suis émoustillé de t’avoir trouvé
Pour ne plus jamais te quitter

Tu a compris ma détresse, mon alarme
Tout ce raffut, mon incroyable vacarme
Je boit ton bonheur et ton espoir
Dans l’espérance de toujours t’avoir

*geindre : pleurer en ancien français

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

315 réflexions

315 réflexions

Contexte : Lettre à ma meilleure amie que je connais depuis 315 jours à la date du 23/12/2013.

Trois cent quinze, le nombre de jours
Qui sépare notre rencontre, notre humour
Nos réflexions sur la vie, son évolution
Toi , animée , pleine de grandes passions

J’ai grandis quand tu m’ as violemment taclé
Pour me dire mes quatre et vrais vérités
Seul toi pouvais me faire comprendre la vie
Son sens, sa direction … et tu m’as souris

Je t’ai écouté d’un air entièrement béa
Et je crois toujours à nos brouhahas
Même si tu parle de t’éloigner par la suite
Sache que je saurais ne pas rester triste

J’irais jusqu’au bout de tout tes chemins
Je prendrais mon cœur et mes trains
Pour te voir, te comprendre, t’apprécier
Ce ne sont que simples mots d’amitiés

Les décéptions de l’amitié.

Les décéptions de l’amitié.

L’amitié est une histoire de grandes passions
Où les différences font parfois la raison
Le dialogue est le sommet de la sincérité
Et pourtant beaucoup ont souvent braient *

Souvent les relations sont abstraites
Et la présence n’est qu’aux jours de fêtes
Tandis que d’autres avouent leurs rancœurs
Et ne comte à bout de champs tout leurs malheurs

Un brin de nostalgie dans mes différentes palabres**
Parfois cela fini dans des gestes entièrement macabres
Et je regrette ceux-ci dans les cerveaux sans réflexions
Vous étiez ma destinée mais je n’écoute plus vos ovations

Quand l’amertume remplace le sourire, la joie, la vie
Quand l’inertie totale remplace l’envie d’aimer des amis
Quand des questions se posent sur le devoir de fidélité
Quand ceux concernés ne comprennent pas le sens du respect

*Du verbe braire.
** Palabres : Mots, phrases

La fusion

La fusion

L’amour porté par deux personnes
Sont autant de mots qu’ils fredonnent
A nous qui les avons portés dans leurs projets
Nous les suivront en entier

A toi papa, qui m’a conduit vers l’indépendance
à toi Corinne, à ton sourire et ton élégance
à votre vie amoureuse, vos envies, votre futur
Qui pourra être facile comme dur

Soyez assuré de ma reconnaissance
Qui me permette d’oublier l’indifférence
Et de comprendre le sens de la vie
Les jours ou je n’avais plus ris

À Corinne, à son dévouement aux autres
à mon père, loin d’être parfois un apôtre
Mais que j’aime depuis qu’il m’a créé
à vous deux, continuez de nous faire rigoler

Abris

Abris

L’abri,le toit, le gîte, le couvert
Je ne l’ai plus, je suis amer
Un triste personnage reculé
Sur cette terre d’arriérée

Je me sent pris au dépourvu
Quand mes rêves dirent salut
Et qu’ils s’entachent d’ennui
Moi, l’enfoiré de cette vie

Fort aimable soit le courage
Et l’envie d’avancer, la rage
Fort aimable soit l’amitié
Je meurt pieds et poings liés

Je suis aussi le maître du destin
Qui s’acharne, Mine de rien
Il n’y a dans la vie de désespoir
sans tenté un instant d’y croire

Il y a juste des chiens qui hurlant
au loup, ont fait de moi l’absent
Je suis votre crainte du jour
vous êtes à ma peur de toujours

Le chemin de la vie

Le chemin de la vie

 

Perdu, replié et totalement reclus
Sur mes pensées, mon avenir, abattu
Que dire, que faire, que penser?
Disposer des choix, monter une armée

Etant entièrement fou, désespéré
Je sors maintenant une épée
Et troue votre corps de deux coups
Et finirais en prison, totalement fou

La vindicte populaire se soulèvera
Et je serais à la merci de la loi
Mon corps s’enflammera peu à peu
Et il ne restera finalement que des bleus

Peut être me relèverais-je un jour?
Les yeux pétillant de toujours, de l’amour
M’aide à tenir en attendant un retour
De moments plus heureux, plus glamour

Sentiments de la vie

Sentiments de la vie

Sentiments d’autrefois, sentiments de joie
Je suis de peu de foi, mais toujours là
Je suis l’ami qui rêve, et qui ne désespère
Absent parfois, mais toujours délétère

Mes mots ne sont que ma force et mon avenir
Je n’ai pas toujours su prendre les plaisirs
Et suis parfois triste, dans un monde fou
Qui me met parterre, parfois à genou

Doucement, je remonte cette pente si difficile
Aidé par l’amour, parfois l’amitié, si fragile
Pas toujours très facile, ni docile ni très tendre,
Je suis là a vos côtés, avec vous, pour apprendre

Je suis faible et vous me rendez pourtant si fort
Vous êtes mon hôte, et moi votre invité, j’adore
De cette union il y aura peut être génération
Nul ne peut nous sous estimer, faites votre ovation

Applaudissez à notre regard si étincelant
Soyez présent quand nous serons brillant
Et absent quand vous aurez conjuré notre sort
Mais surtout, faites de nous de beau trésor

Nous ne sommes pas timides, encore moins acide
Nous sommes ouverts au monde, jamais placide
A l’abri de vos méchanceté, nous vous aimons
Il n’est jamais très bon de tourner en rond

La vie a été faite ainsi, et nous sommes deux
Serons nous trois, quatre ou plus, je le veux
Nous ne savons jamais de quoi la vie sera faite
Mais nous irons encore créer ces jours de fête.

L’enfant

L’enfant

L’enfant, ce petit marrant
L’enfant, devenu grand
L’enfant, être désiré
l’enfant que l’on a aimé

Malgré les problèmes et maladies
Rien n’empêche de donner la vie
À cet être venue de la galaxie
Notre avenir ne nous a rien dit

A nous de le dessiner au pinceau
De tomber amoureux du roseau
Nous sommes libre comme l’air
Cela ne devrait pas nous déplaire

Nous ne le ferons sur la folie
mais bien sur une discussion réfléchie
Et non dénué de sens, sans le moindre avis
Libre à vous de nous avoir suivi

Choix

Choix

Les choix de la vie, difficiles à assumer
Qui me font pleurer, ne m’ont pas amusé
Ne me laisse guerre de répis, ni d’amis
Qui comprennent mes difficultés, la vie

Je ne peux être divisé par deux chaque fois
J’essaye de juger les choses et les lois
La distance à des conséquences compliqués
Je ne veux cependant que l’on me fasse chanter

Je ne sais quoi faire, quoi vraiment dire
Et je sais dans votre tristesse, lire
je n’ai rien pour assurer ma petite défense
Encore moins justifier mes absences

Je ne règne pas sur la terre entière
Et à tout le monde, je ne peux plaire
Comme un magicien aux doigts enchantés
Comme la poudre de mes petites fées

je ressent l’amertume et l’angoisse
je voudrais que rien ne vous froisse
La detresse est en moi, salace
J’avoue, je manque quelque peu d’audace

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Espoir

Espoir

J’essaye d’avoir un espoir, un sursaut, une envie
Pouvoir la voir, la recevoir, être plus qu’un ami
Être en elle, pouvoir l’aimer à sa juste valeur
En essayant de n’être dans le passé, sans erreur

Repartir de zéro et tout recommencer à présent
s’agripper, y croire, voir l’avenir, maintenant
Je voudrais mériter vos bras, votre corps, votre âme
Mais suis-je si bas pour être accepté de vous, madame?

Je ne suis que poussière dans cette lointaine galaxie
Vous n’êtes que la lumière de ma destinée et ma vie
Je ne suis que faible et impuissant face à vos envies
J’essaye de représenter cela par ces mots, ces écrits

Vous n’avez jugé aucun fait de ce que je vous ai raconté
La puissance de votre voix m’a terriblement troublé
Vous ne pouvez vous en allez ainsi, je vous en supplie
Vous que je voudrais combler, restez, je vous prie!

 

 

 

Souffrance et Mépris

Souffrance et Mépris

Souffrance et mépris sont mon quotidien
Je suis seul et pourrais ne manquer de rien
j’ai eu un espoir, un sursaut, une joie
En étant employé au service des lois

J’ai eu une naïve idée de mes fonctions
Je n’ai exprimé aucune déception
Aucune colère, ni amertume
Je m’exprime à travers ma plume

Tandis que l’on m’ignore superbement
Je ne suis que malléable apparemment
Usé, fatigué, dégouté par la vie
Sans futur, sans aucune envie

Je subit les brimades des tyrans
Qui jettent leurs mots à coeur et à sang
Qui m’humilie, me critique avec force et rage
Qu’ai je fait? N’étais-je pas sage?

Suis je inutile, bon à rester le larbin?
Est ce la vérité qui a racheté le bien?
Tout m’est indifférent, saleté d’ignorance
Un jour, vous aurez ma vengeance.

Tendre enfance

Tendre enfance

Tendre enfance, tendre adolescence, difficile survie
Je t’ai aimé, traversé des difficultés, tu m’a surpris
Tu m’a maudit, m’a honnis, m’a totalement détesté et ignoré
Je t’ai écouté comme un fils aimant, mais tu a violé ma pensée

Cela m’a mis dans une totale alarme, moi qui croyait mentir
Ayant vécu dans l’ignorance avec toi qui si facilement te tire
J’ai osé une certaine insolence mais à mes attentes tu fut sourde
J’ai redoublé de vigilance, tu n’a rien entendu et fait une bourde

J’ai cru que ton absence était légitime et que tu avais de l’amour
Mais vingt-quatre années m’ont permis de voir ce non-retour
Mon tracas maximum fut atteint et tu n’en eu aucunement conscience
Je suis et reste blessé par une attitude délétère auquel tu ne pense

J’ai décidé de prendre en toute quiétude ma vie et mon destin
Et me suis promis de ne jamais prendre un tel et étroit chemin
Ton esprit est si étroit que tu ne peut plus rien faire à présent
Je suis resté ouvert au dialogue , tu m’as bluffé trop longtemps.

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Des choix

Des choix

Une vie, des sourires , des choix
Et beaucoup de chiens m’aboient
Mes soutiens rares ont compris
Et à l’annonce ils n’ont ris

Je n’ai aucune illusion à présent
Me suis fait une raison maintenant
Mes sentiments ont virés de bords
Mon coeur est d’autant plus fort

Est-ce un tord d’aimer un grand garçon?
Qui vous apporte plus amour et raison
Est-ce un tord de ne l’avoir vu?
Pour certains je n’existerais plus

Les conséquences sont irrémédiables
A long terme totalement vérifiable
Je ne fuis pas mes responsabilités
J’ai eu l’occasion de les vérifier.

Les bulles

Les bulles

Les bulles de la vie mon amie
Je te tend la main, petit matin
Sans ton avis je ne suis rien
Dans mon livre ouvert tu lis

A mes côtés tu es et restera
Sans pensées autre que d’amitié
Et m’ont accueilli tes bras
Qui ont réussi à trouvé la clé

Une étoile filante est découverte
La beauté de ton cœur m’émoustille
Grâce à ton verbe j’a grandis
Je suis à présent moins alerte

Tu recouvre mon cœur entaillé
Par tant de blessure, de manque
Qui n’avais plus d’avidité
Je devient peu à peu saltimbanque

Solitude

Solitude

Solitude d’antan , solitude d’avant
Un requin sur mon ilot blanc
Mon visage est maintenant fermé
Je ne fait plus vraiment l’unanimité

Comme un poisson pris dans un filet
Je ne voit plus de grande sincérité
Je parle au vent qui me souffle
Qu’il a pris un sacré coup de moufle

J’oublie les vertus du de la vie, du rire
Et vous continuez peu à peu de me salir
Égoïstes, pleins de préjugés idiots
Je relève la tête et ne dit mot

Je ressent une vrai et grande amertume
Pas une fausse et petite solitude
La vie est faite avec un accordéon
Le début du renouveau n’est plus très long

Respect

Respect

Respect d’une femme, d’une dame
J’hais les mec sans aucune âme
Sans respect des valeurs humaine
Qui ont la parole hautaine

La femme souffre en silence
Sans jamais aucune redevance
De la vie elles veulent apprendre
Sans jamais vraiment nous attendre

Et leurs réponses sont blafardes
Elles ne souhaitent être bavardes
Et il faut avoir la petite astuce
Elles ferment leurs capuces *

Malgré leurs beauté interne
On ne voit que l’externe
La visage, les yeux, la silhouette
la vie n’est plus vraiment chouette

* capuce : capuche des bures de moines

Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe