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Le manège

Le manège

Je n’oublie rien, je n’oublie plus
Je retourne dans mon monde reclu
Je suis couché à terre, sanguinolent
A cause des coups de massues violents

Toutes ces palabres, parfois, me désarme
Mes sourires fondent en grosses larmes
Mon corps se dilue dans l’acide
Ma silhouette et mon être restent placides

J’ai rêvé d’un monde bien trop rose
Où la vie peut être souvent mise en pause
Je n’ai ni le monopole du coeur ni de la raison
Et ne retourne que rarement mon blason

L’expérience évite les grands pièges
Des tourbillons, des petits manèges
Mon courage s’évanouit peu à peu
Je ne supporte plus ces milieux

Les Pertes

Les Pertes

Perdu dans le fin fond des grandes marées
Je survis des mots assassins des amitiés
Mon coeur fendu et empli de compassion
Fond au soleil comme un doux glaçon

J’ouï et chante mes plus grandes accointances
Je me noie dans les eaux fluviales de la rance
A mon errance s’attache les plus gros boulets
Ceux que par mon intelligence je sais éviter

Je suis digne, heureux des bonheurs de la vie
Ma conscience me dicte mes choix, mes envies
Je scie parfois cette banquise a moitié fissuré
Celle sur laquelle j’ai posé mes deux pieds

J’ai perçu tout ces signaux, ces drôles d’alarmes
J’ai reçu l’amour, la lumière, sans fait d’armes
Et suis l’artiste des mots qui parfois me brulent
Laissez moi rêver, laisser moi aimer, dans ma bulle

Un temps passé

Un temps passé

Le temps passe comme une menace
Je vocifère puis je me lasse
On torpille parfois mes projets
Et aussi ceux que j’ai aimé

La vie, les ennuis, sont sans fin
Pour moi qui suis un grand crétin
Qui rugit parfois comme un lion
Quand je ressent une manipulation

J’efface ces douloureux souvenirs
Qui me font imaginer souvent le pire
Je suis faible comme le poussin
Qui vient d’éclore ce matin

Mon cœur a été maintes fois brisé
Par des espérances, des amitiés
Mais il y a la rose de l’espoir
Qui me dit encore d’écrire ce soir

Les cœurs fendus

Les cœurs fendus

J’eus dans le passé l’âme fendue
Par des personnes mal entretenues
Qui n’ont vus que leurs petits égos
Qui ont proférés de perfides mots

J’ai renforcé ma carapace de fer
Pour ne plus jamais revivre l’enfer
Je ne cherche plus vraiment à comprendre
Comment j’ai pu tenter de me rendre

J’ai absous tout leurs mauvais pêchés
Puis-je m’empêcher, moi aussi, d’y penser?
Je suis le seul juge de ma paisible existence
Qui n’est pas animé d’un désir de vengeance

J’ai le pouvoir d’aimer, parfois de pardonner
De comprendre l’autre, cet être intéressé
Par l’amitié, l’amour, la joie, la colère
Je plonge dans l’au-delà de cette terre

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

Quatorzes Roses

Quatorzes Roses

Quatorze rouges roses éclatantes
Je suis parfois en dilettante
Parfois avec mon coeur en fer
Forgé, qui es la et qui espère

Devenir une âme en diamant
Je ne suis plus ce pantin errant
Des étincelles qui jaillissent
Et qui m’emporte avec les hélices

Tombé dans l’arbre de l’amour
Celui qui naît, qui meurt, un jour
Je suis accroché en haut des branches
Pour éviter ces mares intenses

Notre vie parfois ingrate et injuste
Nous amène ce soleil vétuste
Dans ce monde composé d’imparfait
D’où les êtres sont aussi née

Je fléchi toute mes grandes positions
Cela ne sera plus très long
Mon physique s’essouffle un peu
Moi qui suis a présent à mille lieu

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

Le coeur et l’esprit

Le coeur et l’esprit

La vérité a éclaté et je l’ai entendu
tout vos mots salaces j’ai reçu
En pleine face , tel un boomerang
Qui a explosé, soudain fait bang!

Vous m’avez anéanti, rabaissé au plus bas
J’ai mal, et peut être je ne me relèverais pas
J’étais intègre et j’ai tenté l’honnêteté
Cela ressemblait alors à des rose de l’été

Je ne sais plus ou aller ni comment faire
je n’ai plus d’idée, ni même l’envie d’avancer
Comment croire, continuer d’essayer d’espérer?
Chacun joue l’aveugle en essaye de plaire

Je suis le jouet sur lequel on appuie
J’imagine un rêve et maintenant je ris
J’ai tiré plus vite que mon ombre
Mon avenir est devenu si sombre

Doit-je continuer dans ce tumultueux chemin?
Qui chaque jour me détruit et ne mène à rien?
Je suis pourtant tout ouï aux propositions
Faudrait-il déjà qu’il y ai l’animation…

Souffrance et Mépris

Souffrance et Mépris

Souffrance et mépris sont mon quotidien
Je suis seul et pourrais ne manquer de rien
j’ai eu un espoir, un sursaut, une joie
En étant employé au service des lois

J’ai eu une naïve idée de mes fonctions
Je n’ai exprimé aucune déception
Aucune colère, ni amertume
Je m’exprime à travers ma plume

Tandis que l’on m’ignore superbement
Je ne suis que malléable apparemment
Usé, fatigué, dégouté par la vie
Sans futur, sans aucune envie

Je subit les brimades des tyrans
Qui jettent leurs mots à coeur et à sang
Qui m’humilie, me critique avec force et rage
Qu’ai je fait? N’étais-je pas sage?

Suis je inutile, bon à rester le larbin?
Est ce la vérité qui a racheté le bien?
Tout m’est indifférent, saleté d’ignorance
Un jour, vous aurez ma vengeance.

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Des choix

Des choix

Une vie, des sourires , des choix
Et beaucoup de chiens m’aboient
Mes soutiens rares ont compris
Et à l’annonce ils n’ont ris

Je n’ai aucune illusion à présent
Me suis fait une raison maintenant
Mes sentiments ont virés de bords
Mon coeur est d’autant plus fort

Est-ce un tord d’aimer un grand garçon?
Qui vous apporte plus amour et raison
Est-ce un tord de ne l’avoir vu?
Pour certains je n’existerais plus

Les conséquences sont irrémédiables
A long terme totalement vérifiable
Je ne fuis pas mes responsabilités
J’ai eu l’occasion de les vérifier.

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Abandon

Abandon

Peur de tes bras ma douce ingénue
De tes mots, ton charme, ton odeur
Tes sentiments ont mille valeurs
Je crains de toi n’être plus vu

Mon âme s’abandonne à ton esprit
Mon coeur chevauche ta rivière
La fraternité à présent nous relie
De tes sentiments ma chancelière

Mais peut-être autrui te charmera
Je me noie de chagrin , en vain
Je crois que tu m’abandonnera
Et n’aurais pour pleurer mes mains

A présent j’ai un pied sur l’étrier
Je penche, tombe, me detruit
La vie bascule du mauvais côté
Je ne suis plus! Adieux, tout est permis!

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Liberté d’amour

Liberté d’amour

Liberté , tu m’as aimé
Liberté , je t’ai retrouvé
Toi qui a pris les ronces
Et qui m’a dit renonce

Mon ciel gris se découvre
Mon étoile atterrit
Et avec toi je revis
Ça y est, je te trouve

Mon coeur t’a dit oui
A présent je te suis
Aimons nous avec différences
Dans la plus totale inexpérience

Affection

Affection

Ressenti d’affection, ressenti d’affliction
Tu est le soleil qui illumine ma vie
Quand l’orage assombri mon âme, ma diction
Témoignage de sympathie tu me procure, amie!

Mon corps est en miette
Mon coeur en lambeaux
Mon esprit sur le carreau
Mon équilibre à la diète

Le soleil se couche a présent
Et je suis encore absent
Secoue moi, Réveille moi.
Soit près de ma voix.

Tu est la. Tu me tient en éveil.
Je te doit ce mot : Merci.
Tu est une merveille.
Maintenant je souris.

Comprend ces mots à ton égards
Ce n’est pas de l’amour
Mais un doux velours
Ai-je l’air hagard?

Lumière!

Lumière!

Colère, lumière, colère, tempère!
A l’instant où toujours j’espère
Ce bouillon de violet
Peut devenir corde, c’est laid

Capable de peu je suis
Je ne peut attraper du millepertuis
Je récolte les orties
Et il y’a un coeur de moins dans la vie

La douleur auquel je succombe
n’est rien comparé à une tombe
C’est ainsi quand on est cloporte
On ne peut plus rien faire de sorte!

Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Océan bleu

Océan bleu

A Jacques & Nathalie qui sauront pourquoi ce message leurs est adressés

Océan bleu, océan du martyr
Océan de la vie, du désir
Alouettes des mers réveillez vous
Pinsons sur terre aimez vous

Et tandis qu’une larme coule
Cela me met en boule
De ces amitiés je me vante
Les oiseaux chantent

Dur est le départ sur ce lointain horizon
Mes étoiles sont comme en prison
Cachés derrière des barreaux innateignable
Dans des murs impénétrable

Océan, revient vite à la surface
Océan je ne suis pas lasse
Océan mon coeur est à toi
Océan tu me laisse sans voix.

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!