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Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Ubuesque

Ubuesque

Situation ubuesque, situation grotesque
L’amour qui se divise en deux est difficile
Rien qu’a vous mes deux sœurs
Que je câline en douceur

Je voudrait dédier mon amour à deux femmes
Je ne le veut, je ne le peut
Je ne le vaut, j’y peut rien
Enfermé dans un mensonge sans fin je suis.

Et pourtant je doit vivre, vivre toujours
En pensant à plusieurs être à la fois
En remuant ses pensées tristes et noires
En alliant amour et amitié

Soirée

Soirée

Soirée en plein cœur d’été
Soirée arrosée
Toi le grand cœur de lumière
Tu ne ressemble à une chimère

Ni à une pierre
Vient par ici ma rose
Ton regard éblouissant se pose
Dans mon semblant d’âme, père!

Ce matin ton sourire m’a donné chaleur
Ta voix ma donné de l’oxygène
Et je te fait des câlins , sans gène!
Vient par là ma fleur.

Toi à qui je manque et que je manquerais toujours
Sache que mon cactus se transforme en lilas
Que mon orage se transforme en vent , sourd!
Prête l’oreille à ton ami mon réséda.

Souvenirs

Souvenirs

Souvenirs lointains, souvenirs puritains
Souvenirs d’amitié , de tendresse
Oh, non je ne t’ai oublié jeunesse
Si il te plait, approches-toi, viens

Que vaut la vie maintenant
Pacotilles et choses ulcéreuses
Et je suis toujours là. Amoureuse
Reviens vite pépite d’avant.

Que de choses

Que de choses

Que de choses sont difficiles
Que de choses habiles
Que de choses subtiles
Que de choses débiles

Tandis que s’arrache l’amour
Tandis qu’ils se déchirent
C’est aux gamins d’en patir
Espèces de rats, de vautours

Toujours près de leurs deniers
Renonçant à l’humanité
Ne cédant pas à la honte
Ils sont, ils existent, ils demeurent

Ce sont mes ascendants
Et je n’ai aucun pouvoir
Si ce n’est leur en vouloir
Adieux bon vieux temps

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Commiseration

Commiseration

A julien

Commisération, tel est le mot qui me vient
Pour dire que tu fais partie de nous, des tiens
Bonté émerveillée , pure bêtise.
Et pourtant toujours là en temps de crise

Économique, physique, ou morale
Mais indéfiniment présent dans mon cœur
Et tu n’es le genre à qui l’on fait des salutations cordiales
Rien ne nous entâche, non pas une erreur

Constamment le sourire,
Même dans les moments pires
Et pourtant, qu’à cela n’en tienne
Ton sang coule dans mes veines

Et un jour tu partiras,
Mais jamais mon âme n’oubliera
Toute la générosité donnée
Par un ami, un frère, au cœur soudé.

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse, oh toi qui m’a porté bonheur
Amitié des temps certains, unions des êtres
Fou rire, bonheur, sourire, toujours à la bonne heure
Ca s’en va, ça revient, p’tetre

Et ces amitiés sont uniques en leurs temps
Elles virevoltent avec nous, dans la tornade, le vent
Tandis que certains, d’autres s’aiment
C’est notre monde que chacun à son envie mène

Et moi, j’ai vécu des choses extraordinaires,
Que je n’arrive même plus à en trouver mes vers
Et pourtant je m’efforce de croire que c’est vrai
Qu’il n’y aucune autre vérité

Que celle de l’amitié, de la véracité des individus  
Et je ne suis pourtant pas utopiste
Et encore moins je ne crois au christ
Et je pense à ces gens, sans réseau,dans la rue

Ceux-là au besoin de confort
D’un bon compagnon de route
Qui a besoin d’un voyage hors bord
Je voudrais lui offrir au moins une voute…

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonsoir à tous,
Merci pour vos nombreux commentaires, emails, courriers. J’en suis submergé. Tellement, que quelques uns s’inquiètent.
Je suis un peu absent en ce moment. Et pour cause, les autres projets ainsi que mes dernières choses à faire m’ont quelques pris du temps personnel.
Cependant, je lis bien vos commentaires, et les valide, tant bien que mal, pendant mes temps disponible, c’est à dire 30 minute/jours, et encore, je n’ai pas le temps de tout faire.
Que certain(e)s lecteur(rice)s se rassurent, je ne fais la tête à personne, et je n’ai aucune raison de le faire , je pense en particulier à quelqu’un, dont je ne citerais expressément pas le prénom, pour respecter sa confidentialité.
Donc, de ce fait, et par mesure pour ma santé, je m’auto-ordonne (sans rire!hein!) de :
– Me reposer, sans activité supplémentaire en coupant internet du 21 au 24 décembre
– Vous souhaiter de bonnes vacances pour les lycéens, profs, et autres personnes qui ont le droit à leurs congés payés ainsi que  bonnes fêtes de fin d’année à tout le monde.

Je reviens très très vite, avec quelques changements en profondeur, d’ici le début de l’année.
J’oubliais, avant de vous quitter que :
– Vous pouvez laissez des commentaires, car de temps en temps éventuellement, je dit bien eventuellement, si j’ai envie j’irais faire un tour
– Que mon livre est toujours en cours, mais suite à quelques ennuis de santé, je ne peux pas pour le moment vous communiquer officiellement de date concernant sa sortie.

Joyeuse fêtes à tous!

Fabien Sorez

Ils furent heureux

Ils furent heureux

Ils sont heureux, mais surtout furent heureux
Car de tous ces mots, le seul qui ressort est l’amour
Le terme qui ne nécessite pas de retour
Et nous continuons notre vie à deux

Sans se préoccuper du monde extérieur
Afin de continuer sans faire d’erreur
Et toi et moi aimons la vie à brule-pourpoint
Et continuons ce passé jamais lointain

Et c’est une déesse qui décide de toi
Qui fait que je suis dans tes bras
Qui statue sur ta flamme éternelle
Chut! Toutes ces choses sont charnelles!

Ce qui nous grandit

Ce qui nous grandit

Je t’ai capturé tes yeux
Je t’ai touché les cheveux
Et dès que je t’ai vu
J’y ai tout de suite cru

Nous avons parlé orientation
Nous en avons dit tellement long
Mais nous tirons notre épée
Celle qui nous emmène dans l’épopée

Vous avez rigolé
Vous ne l’admettez pas
Vous essayez de mettre des bâtons
Pour voir si ça va tourner rond

Tu ma dit laisses-les!
Tu m’a dit restes gai!
Tu as vu ce désarroi
Tu m’as mis en émoi

Ils se battront
Ils resteront
Ils diront à la terre entière qu’il s’aiment!
Ils le feront valoir avec la plus grande peine!