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Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Le Couvent

Le Couvent

Les sœurs et moines vivent au couvent
Exclus et reclus, serrant les rangs
Enfermés dans le monastère de la vie
Soudain des doutes ils ont émis

Les chanoines suivirent l’éternel mouvement
Dans les cris, la colère, la rage, le sang
Tentant de libérer toute amertume et tristesse
De cette vie ecclésiastique sans largesse

Ils oublièrent leur plus grande inculture
Pour faire baver les plumes et ratures
Pour écrire le livre de leur médiocre vie
Pour oublier à quel point ce ciel est si gris

Les nuages se sont désormais découvert peu à peu
Pour laisser place à une atmosphère gris-bleu
Pour emprunter le chemin d’une certaine renaissance
Et voir à nouveau cet arc en ciel qui danse

Le Radeau

Le Radeau

Je suis cloué sur ce radeau qui coule
Je navigue à vue, et tout se chamboule
Je suis un réfugié de toutes ces amitiés
Un vrai clandestin sans réelle destinée

J’allume les cierges de cette église fermée
Je prie Dieu, qu’il fasse en moi la bonté
Mes désirs, mes envies, sont mes pêchés
Ceux que je ne peux désormais plus éviter

Le radeau chavire, je ne tient plus la barre
De toutes ces perfides personnes, je me marre
Je suis l’un de ceux que vous ne voyez arriver
Qui arrive en cachette, avec une grande épée

Le radeau a coulé sur cette rivière du Delta
Que j’avais hélas emprunté bien trop tôt déjà
Je meurt, je m’asphyxie dans cette eau froide
Je souffle, je respire, je ne suis plus malade

Les liens

Les liens

J’ai pleuré des années sans amitié
J’eu la grande chance d’être relevé
Le vie passe, les relations trépassent
Sauf les liens solides qui se dépassent

Le temps n’efface rien aux blessures
Il les atténues et nous rend mûres
Il n’arrose pas une pétale fanée
Mais assure une plantation doré

L’amitié et l’amour sont différents
J’hurle les bonheurs en chantant
Avec ma main fébrile et légère
Qui peut maintenant vous plaire

J’ai fait reculer peur et trahison
Et j’essayai de faire entendre raison
Aux perdus du présent, du passé
Aux autres personnes que j’aimais

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

Les grandes étourderies

Les grandes étourderies

 

Les grandes étourderies de l’âme
Je ne danse plus sur grande paname
J’ai jouis d’une vie embrigadé
Par des principes fort bien initié

J’ai vécu chaque instant magique
Comme des moments entièrement féerique
Et aujourd’hui je suis rayonnant
Fière de mes actions, souriant

Le soleil a surpris de grands nuages
Qui étaient cachés sous ce grand barrage
Je veux avoir la lumière et la fête
Pour ne plus avoir toute ma tête
J’ai fait plusieurs petite prières
Le monde s’est soudainement ouvert
Pour oublier ce qui m’a mis en émoi
Je ne le voit plus se fermer à moi

 

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Le cœur et l’esprit

Le cœur et l’esprit

Chère Alais,

Toi, la fille au grand cœur apaisé
Toi, parfois en grande difficulté
Je veux te dire que tu est l’amie rêvée
Qui m’a compris, m’a aussi aimée

Nous avons la fusion des esprits
Une relation totalement aboutit
Tu a l’esprit critique et établit
Tu est un bonheur, tu fait la vie

La rosée du matin est ma pensée
Pour toi, ton sourire, ton amitié
Je voit ce bateau qui est arrimée
Qui est solide, cadenassé

Tu éclairci parfois mon brouillard
Et souffle sur les blizzards
Qui nous surprend parfois par hasard
Alors qu’il fait nuit, qu’il se fait tard.

 

Imparfaitement Votre

Imparfaitement Votre

Poésie (pas réussie) …

La pine des arbres pique parfois
Étant des humains imparfait
Qui ont l’amour toutefois
Nous et nos petits méfaits

Je découpe ma grande branche
Sur laquelle je suis assis
Et plonge dans l’abîme blanche
Soudainement nous n’avons ris

Je garde mon esprit et ma maîtrise
Étant donné mon amour à la vie
Pour ne pas ressentir d’emprise
Sur les caractères habile d’amis

C’est le va et vient quotidien
Du déjeuner,goûté, soupé
Je suis reveur chaque matin
Et jamais vraiment d’inimitié

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Petit Pinson

Petit Pinson

Petit pinson attend moi
Petit pinson ouvre tes bras
Petit pinson regarde la bas
Petit pinson tu t’en va…

Tu est l’eau qui s’amoncelle
Dans une rivière tout aussi belle
Les vagues de notre amour
Détruisent tout les gros vautours

En admiration devant ton élégance
Mais aussi devant tant d’éloquence
J’ouï dire que mes absences
Te met dans une grande errance

Tu brille par ton sens du verbe
toi qui n’est pas malherbe
Mais qui ressent le mal-être
De mon âme, mon paraître

Les impasses

Les impasses

Madame,

Dans les impasses j’ai entièrement foncé
A mon passage , je me suis détruit et blessé
Assisté au quotidien de votre force et courage
Vous avez trouvé un homme pas vraiment sage

Par le passé je ne fut vraiment raisonnable
Vous n’avez pas jugé cela et êtes affable
Vous ne pouviez voir combien j’étais perdu
Et l’espoir que vous m’avez maintenant rendu

Mon avenir n’est pour l’instant pas radieux
Mais le quotidien nous rend nécessiteux
Certains besoins et envies ne peuvent être comblés
Car la difficulté de gestion doit être mesuré

Ces mots sont pour ma grande reconnaissance
Envers votre bienveillance et votre endurance
Votre volonté de m’éviter les pires méfaits
De la part d’un certain nombre de créancier

Madame, je rend l’hommage aux heures passés
A élucider cette situation si compliqué
A m’écouter, m’entendre, me défendre
A m’admonester, me secouer, me prendre

Pour un être en qui vous avez relative confiance
Ce qui est ni confortable, ni preuve d’aisance
Je saurais madame, malgré les interdictions
Vous faire mes plus grandes ovations

Permettez de combler le supplice de la lecture
De ce texte, de ces courts mots que je triture
Pour vous encourager à ne jamais baisser les bras
Ne pas me laisser tomber, être encore là.

Silence, on tourne!

Silence, on tourne!

Silence, on tourne et retourne encore
Silence, je cherche toujours de l’or
Silence, je pleure en votre absence
Silence, j’aime votre persévérance
Vous êtes mes jambes, je suis vos mains
Je n’oublie votre chagrin, chaque matin
L’étoile qui surgit de votre grande bonté
M’a permis de vous adorer, vous aimer

Je me suis senti si seul sans vos doux mots
Pour partir il est vraiment trop tôt
Muni de votre présence fondamentale
Vous êtes comme une carte, vitale!

Je hais quand vous ne pensez pas à moi
Quand vos mots durs dicte votre loi
Mais vous aimer c’est entendre vos cris
D’alerte et de ne rester sans avoir réagit

 

 

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

Solitude

Solitude

Solitude d’antan , solitude d’avant
Un requin sur mon ilot blanc
Mon visage est maintenant fermé
Je ne fait plus vraiment l’unanimité

Comme un poisson pris dans un filet
Je ne voit plus de grande sincérité
Je parle au vent qui me souffle
Qu’il a pris un sacré coup de moufle

J’oublie les vertus du de la vie, du rire
Et vous continuez peu à peu de me salir
Égoïstes, pleins de préjugés idiots
Je relève la tête et ne dit mot

Je ressent une vrai et grande amertume
Pas une fausse et petite solitude
La vie est faite avec un accordéon
Le début du renouveau n’est plus très long

Sourire d’ange

Sourire d’ange

Sourire d’ange, savant mélange
Et tu raidis toutes tes franges
Peu à peu ton corps se cache
Sans que personne ne le sache

Mon amour veut l’en empêcher
Mon avis est entièrement réservé
Et tu t’inquiète d’autrui
Qui petit à petit te détruit

Ma force et mon courage ne font qu’un
Dire que mon âme est là chaque matin
A tes côté depuis une demie décennie
Aujourd’hui, toujours là, je ne ris

Laisse moi toujours te taquiner
Te montrer mon entière amitié
Celle présente, sans faille
L’enjeu est de grande taille

Ne m’oblige pas à en pleurer
Je risquerais de m’étrangler
Personne ne peut te remplacer
Je suis sans voix, essoufflé

Une étoile s’illumine encore
M’écoutera-tu un jour,alors?!
Ouvre la paume de ta grande main
Compte sur moi, je t’en prie, revient

Amen!

Amen!

J’ai tiré ma dernière révérence
J’ai changé la régulière fréquence
Je suis un minuscule grain de sable
Qui ne viendra plus jamais à table

Mon gosier a cracher sa dernière douleur
J’entends d’ici, à petit pas, mon exécuteur
A son approche je prend par la fuite
Ma géhenne n’est plus vraiment traduite

J’ai perdu tout sens de la réalité
Me suis pourtant maintes fois accroché
Je n’ai vu approcher ma sentence
C’est a présent une grande pénitence

Je ne suis rien sauf à vos yeux un idiot
Rien à faire je n’ai à votre égard que mot
Je suis seul, triste et à la fois tendus
Mon isolement radical est parfois aigus

Amen!

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Insouciance

Insouciance

Insouciance, ma plus grande liberté
Mes mérites entier j’ai vanté
Sans vergogne, sans louanges
Maintenant tu te venge

Je t’ai vu partir avec tristesse
Et dans tes mots n’existe délicatesse
Aucun état d’âme dans tes faux-propos
Moralement je n’était plus vraiment beau

Ton cœur est devenue entièrement opaque
Tu à tout tenté avec moi, même l’attaque
Et maintenant tu essaye de vivre en catimini
Sous les pavé chauds de la place d’Italie

Venant te chercher doucement avec mes pas perdus
Bientôt deux ans que j’ai oublié ton visage, ta vue
Que je suis sans ta présence, ton amour, ta naïveté
Comme à l’ordinaire tu exécute une certaine velléité

Vague(s)

Vague(s)

Caresse océanique, caresse du vent
Caresse du temps, de celui qui vient et qui revient
De celui qui oublie, les gens à qui l’on tient
De celui qui ne croit pas aux mots violents

De quel droit se permet cette vague de me guider?
Des droits de la plus grande amitié
Et même en étant mutilé
Des fonctions les plus appréciées

On peut avoir un caractère, être intelligent
Mais, parfois, il y a le contraire
Ceux qui sont nés contre le vent
c’est comme de l’herbe pas assez verte

Cela n’arrive pas à pousser dans les champs
Pourtant d’autres, préfèrent arracher les mauvaises herbes
Avant qu’elles ne grandissent dans un indéfini temps
Continues sur ton chemin..

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;