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Rires et solitudes

Rires et solitudes

Je m’envole, prends de l’altitude
Pour combler le besoin de solitude
Réfléchir aux douceurs de l’avenir
Pour respirer et éclater de rire

Je grave la pierre du temps futur
Dans ce flan de montagne si pur
Je lève mon drapeau au sommet
Qui traverse nos âmes échouées

Les nouvelles me minent parfois
Je ne pense plus, j’oublie mon émoi
Quand cette lumière blanche m’eblouit
Mon corps et mon esprit s’évanouissent

Un nouveau monde s’ouvre à présent
Celui du bel espoir et du temps
Je déclenche l’avalanche du bonheur
De la société sans erreur

Liberté surveillée

Liberté surveillée

Mes paupières sont lourdes, mes yeux se ferment
Ce matin blême, je soulève mon corps endormi
Mes mains sont moites, pleinement engourdies
L’esprit se soulève et masques mes cernes

En un éclair, la peur et l’angoisse me traverse
Perdant en assurance, gagnant en volonté
J’appréhende chaque jour cette liberté surveillée
Soudain le tonnerre gronde, il tombe une averse

Je suis sous l’eau, noyé d’un litre de chagrin
Séchant les mauvaises larmes du desespoir
Qui peuvent enfin me permettre d’y croire
Je vois l’avenir se pencher sur moi, pour demain

Les hommes de loi ont fabriqué un homme juste
Prêt à signer les conventions de cette société
Et s’animer d’un petit rien, d’un peu d’humanité
Et prendre le plaisir de cette nouvelle vie qui débute

 

Epuisé

Epuisé

Épuisé, fatigué, contracté
Mon corps lâche et anémié
Souffre dans sa grasse chair
Je n’ai rien pour me plaire

Loisirs perdu, travail absolu
Je suis immensément perdu
L’océan est un boulevard
Que je croise de mon seul regard

L’hiver et le froid me gangrène
Bloque peu à peu tout mes gênes
Le soleil s’est tout les jours caché
Dans ce lointain champs de blé

L’amitié gravit ma montagne
Traverse les routes de champagnes
Perdure dans le temps belle fée
Je t’aime, pieds et poing lié.

Faiblesses

Faiblesses

Maladies et carences t’affectent
Les peurs et angoisses t’infectent
Les muscles qui lâchent peu à peu
T’essoufflant comme un malheureux

Ton corps brûlant, manquant d’oxygène
Le sang coulant dans tes veines
Fait battre ton cœur d’artiste perdu
Dans ton physique de vieux détenu

La faiblesse s’empare de ton âme
Tu expie sans retenir tes larmes
Ton râle qui s’exprime en stéréo
Je n’entend plus ce son mono

Tu rejoins le paradis de la guérison
Où se trouve une et mille saisons
Les étoiles ont déjà tout exaucés
Tes vœux de repos, pour l’éternité

Les valises

Les valises

Je vais poser mes valises dans ce coin de désert
Dans ce sable fin et granuleux, près de cette mer
Je chaufferais des gamelles sur un feu de bois
Me moquant éperdument des textes et des lois

Je planterais des clous, dans ces rochers qui s’effritent
J’écaillerais les poissons et les requins à mon rythme
Je chanterais cette mélancolique et fulgurante mélodie
Je crierais à corps perdu durant toutes ces insomnies

J’ai pleuré tout mes désespoirs et plus petits espoirs
Les oisillons sont parti siffler si loin, en ce beau soir
Je tire les leçons de mes engagements si généreux
J’ai serré si fort, tout ces cœurs perdu, et heureux

La tristesse ne m’a plus quitté, ces derniers mois
J’ai le blues de l’âme, un bleu dans mon cœur en émoi
Je suis sans cesse dans une guerre moderne, permanente
Fini les vingt ans, les déceptions de tout ces gens qui mente

Les insomnies

Les insomnies

Les insomnies qui reviennent
Qui nous réveillent, qui retiennent
Notre sommeil, au far de la nuit
Je souffle des mots, mes derniers cris

Je caresse ce sentiment d’horreur
Sans jamais ressentir une petite peur
Je cajole cette belle île en mer
Endormi dans les creux de l’enfer

J’ai perdu soudainement ma tête
Dans ce sable et ses alouettes
Les anges sont partis dans la Seine
Dans le brouillard de ce matin blême

Je perd soudainement de ma superbe
Au coin de ce paradis, ce carré d’herbe
Adieu les aurevoirs, adieu les joies
Mon corps tremble, tout en émoi.

Les douceurs

Les douceurs

Toi ma petite douceur
Qui réalise mes bonheurs
Moi, si loin, si triste
M’en allant faire un tour de piste

Je caresserait tes joues
Tu restera près de moi, debout
Je t’enlacerais le corps
Te conserverait tel un trésor

Les gouttes de pluie coulent
Sur toute cette foule
Sur ton esprit en mouvement
Sur tes cheveux dans le vent

Mes mots sont si faibles
En t’offrant cette hièble
Une belle étoile est née
Je ne veux plus la quitter

Le manège

Le manège

Je n’oublie rien, je n’oublie plus
Je retourne dans mon monde reclu
Je suis couché à terre, sanguinolent
A cause des coups de massues violents

Toutes ces palabres, parfois, me désarme
Mes sourires fondent en grosses larmes
Mon corps se dilue dans l’acide
Ma silhouette et mon être restent placides

J’ai rêvé d’un monde bien trop rose
Où la vie peut être souvent mise en pause
Je n’ai ni le monopole du coeur ni de la raison
Et ne retourne que rarement mon blason

L’expérience évite les grands pièges
Des tourbillons, des petits manèges
Mon courage s’évanouit peu à peu
Je ne supporte plus ces milieux

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

Le chemin de la vie

Le chemin de la vie

 

Perdu, replié et totalement reclus
Sur mes pensées, mon avenir, abattu
Que dire, que faire, que penser?
Disposer des choix, monter une armée

Etant entièrement fou, désespéré
Je sors maintenant une épée
Et troue votre corps de deux coups
Et finirais en prison, totalement fou

La vindicte populaire se soulèvera
Et je serais à la merci de la loi
Mon corps s’enflammera peu à peu
Et il ne restera finalement que des bleus

Peut être me relèverais-je un jour?
Les yeux pétillant de toujours, de l’amour
M’aide à tenir en attendant un retour
De moments plus heureux, plus glamour

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Espoir

Espoir

J’essaye d’avoir un espoir, un sursaut, une envie
Pouvoir la voir, la recevoir, être plus qu’un ami
Être en elle, pouvoir l’aimer à sa juste valeur
En essayant de n’être dans le passé, sans erreur

Repartir de zéro et tout recommencer à présent
s’agripper, y croire, voir l’avenir, maintenant
Je voudrais mériter vos bras, votre corps, votre âme
Mais suis-je si bas pour être accepté de vous, madame?

Je ne suis que poussière dans cette lointaine galaxie
Vous n’êtes que la lumière de ma destinée et ma vie
Je ne suis que faible et impuissant face à vos envies
J’essaye de représenter cela par ces mots, ces écrits

Vous n’avez jugé aucun fait de ce que je vous ai raconté
La puissance de votre voix m’a terriblement troublé
Vous ne pouvez vous en allez ainsi, je vous en supplie
Vous que je voudrais combler, restez, je vous prie!

 

 

 

Sourire d’ange

Sourire d’ange

Sourire d’ange, savant mélange
Et tu raidis toutes tes franges
Peu à peu ton corps se cache
Sans que personne ne le sache

Mon amour veut l’en empêcher
Mon avis est entièrement réservé
Et tu t’inquiète d’autrui
Qui petit à petit te détruit

Ma force et mon courage ne font qu’un
Dire que mon âme est là chaque matin
A tes côté depuis une demie décennie
Aujourd’hui, toujours là, je ne ris

Laisse moi toujours te taquiner
Te montrer mon entière amitié
Celle présente, sans faille
L’enjeu est de grande taille

Ne m’oblige pas à en pleurer
Je risquerais de m’étrangler
Personne ne peut te remplacer
Je suis sans voix, essoufflé

Une étoile s’illumine encore
M’écoutera-tu un jour,alors?!
Ouvre la paume de ta grande main
Compte sur moi, je t’en prie, revient

Chance

Chance

A deux femmes Alais et Fatima

La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables

Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard

Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude

Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Affection

Affection

Ressenti d’affection, ressenti d’affliction
Tu est le soleil qui illumine ma vie
Quand l’orage assombri mon âme, ma diction
Témoignage de sympathie tu me procure, amie!

Mon corps est en miette
Mon coeur en lambeaux
Mon esprit sur le carreau
Mon équilibre à la diète

Le soleil se couche a présent
Et je suis encore absent
Secoue moi, Réveille moi.
Soit près de ma voix.

Tu est la. Tu me tient en éveil.
Je te doit ce mot : Merci.
Tu est une merveille.
Maintenant je souris.

Comprend ces mots à ton égards
Ce n’est pas de l’amour
Mais un doux velours
Ai-je l’air hagard?

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Corps exotique

Corps exotique

Corps exotique, celui que je ne pique
Corps érotique, où sombre visite
Tu te fends comme crique
Et moi je caresse ta douce musique

Si ta pensée est égale à ton corps
Alors tu seras toujours belle mon trésor
Celle qui à mon esprit vaut de l’or
Celle qui fait que je ne suis pas mort

Ces quelques bribes sont pour nous,
Mais surtout pour ma puissante
Qui croit que n’est pas arrivé le loup
Qu’elle chasserai avec coups