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Year: 2013

Ma différence

Ma différence

Ma différence, ma vie, mon érrance
Mon sourire, mes pleurs, ma présence
L’amitié, le noir, le blanc, la vie
L’amour, triste, joyeux, qui ne ris

Impuissant, incapable, indefendable
Armée, en bataille, mon coeur palpable
L’envie, la decouverte, les jours défilent
Ecrire, l’exutoir, maintenant je pile

Merci, je t’aime, aurevoir, simplicité
Indifférent, entier, braqué, aimé
Ces mots, inconnus, totalement détruits
Vide, désenchantée, l’amour s’enfuit

Ouverture, la joie, l’amitié, ressucité
Fermeture, tristesse, inimitié , décédé
Opaque, transparent, j’existe, maintenant
Rire, enfermée, je disparait, a présent.

Vertus solitaires

Vertus solitaires

La solitude qui pèse chaque jour
Mes erreurs sont sans retour
Mais tout les espoirs sont permis
Je pleure je ris, je pleure je vis

Comment oublier ces moment passés?
Je suis née à présent pour aimer
Vos délices ne sont plus mien
Je ne suis à vos yeux, rien.

Du fond de mon chagrin du lundi
Mes mots sont effacés, en oubli
Je tire les révérences d’antan
Chacun désormais prend son temps

Vos yeux se sont fermé cette nuit
Je suis tombé au fond de ce puit
Personne n’achète amour ou amitié
Mais le construit avec volupté

Mes regrets

Mes regrets

Mes regrets, mes illusions désenchantée
Je vous aime, et encore vous aimerais
Je ne vis que de vous avec respect
J’ai faillit à mon devoir, l’amitié

J’initie pas à pas les changements
Je ne suis ni noir, ni rose ,ni blanc
Je suis moi avec mes incongruités
Personne ne m’a vraiment laissé

Vous êtes tenu dans mon coeur
j’ai pu faire maintes fois des erreurs
Graves ou non elles restes ancrées
Je vais donc changer et persévérer

Car c’est de tous que je me nourris
Que grâce à vous, je vis, revis et survis
Je suis malade d’abusifs principes
Auquel je bafoue et ne participe

Mais j’ai compris que je vous suis cher
Au quotidien je gère mal nos affaires
Ces palabres vous sont peut être étrangères
Soyez assurez elle sont adresse pour vous plaîre

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Le nerf de la guerre

Le nerf de la guerre

Trouble et pale à la fois, sans crainte
L’odeur du doux précieux avec plainte
Il nous rend heureux, contribue au bonheur
Peut faire de nous beaucoup de malheur

Mais vaut t’il mieux la richesse aujourd’hui
Ou l’opulence du cœur et de l’esprit?
Je craint pourtant que les plus vêtus
Soit parfois les plus mal-entretenus

Quand le sou détruit toute relation
Je prend le large, sans nation
Je suis l’étoile qui m’a créé
Je naquit à nouveau toute l’année

Je n’écoute plus les décibels
Je reste totalement artificiel
Et la nuit devient le jour
Et je fait alors mon retour.

Sans fondement

Sans fondement

Un jour si loin, ce jour certain
Où je rencontre une personne intelligente
Qui est présente, mais jamais ne se vante
Et parfois quelques-uns se sont cru malin

D’affabuler certaines pensées, certains mots
Chaque fois sa présence, j’ouï des insanités
Par des personnes, ami sans envie ni volonté
Que de semer panique en relatant ces propos

Ces palabres pour dire à quel point la vulgarité
De bon nombre d’âme me semble sans fondement
Que je demande de me respecter fermement
Et dire à quel point ne confondre amour et amitié

Qu’aucune fille ou garçon ne devrait subir
Des insinuations libidinal à son encontre
Qu’un garçon ou une fille peuvent faire rencontre
Sans nécessairement l’un ou l’autre n’être éperdu

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Ma mirabelle

Ma mirabelle

Ma mirabelle, tes yeux doux et ouvert
Ont fait de moi un garçon à plaire
Mes palabres douces et charmantes
Ferons de toi une fille aimante

Mon âme frissonna à votre rencontre
Bien que rien à ce jour ne le montre
Vous avez ouvert mon livre poussiéreux
Et y avez vu mon courage astucieux

J’ai osé et tenté de vous conquérir
Et je vous ai vu quelque peu rire
Peut être vous n’avez cru aucun mot
Pourtant je ne suis complétement sot

La patience est présente pour votre beauté
Et mon dernier mot n’a pas encore été ajouté
La persévérance me fera prendre votre âme
Vous, mademoiselle, très jolie dame.

Des choix

Des choix

Une vie, des sourires , des choix
Et beaucoup de chiens m’aboient
Mes soutiens rares ont compris
Et à l’annonce ils n’ont ris

Je n’ai aucune illusion à présent
Me suis fait une raison maintenant
Mes sentiments ont virés de bords
Mon coeur est d’autant plus fort

Est-ce un tord d’aimer un grand garçon?
Qui vous apporte plus amour et raison
Est-ce un tord de ne l’avoir vu?
Pour certains je n’existerais plus

Les conséquences sont irrémédiables
A long terme totalement vérifiable
Je ne fuis pas mes responsabilités
J’ai eu l’occasion de les vérifier.

L’arbre et le buisson

L’arbre et le buisson

Des années accrochés à des buissons
Cela ne tournait pas vraiment rond
Et je cherchais souvent l’idéal
Rien de plus simple et banal

Les buissons sont devenus des amitiés
Je n’avais pas encore tout tenté
Un arbre un jour j’ai découvert
De milles pensées je l’ai recouvert

Et l’horloge continua d’avancer
Et dans mon ignorance je m’enfonçais
Je voulais comprendre ces changements
Le vent a tourné partout, tout le temps

Alors j’ai testé mon doux et merveilleux
Et  je su être comblé sans aucun voeux
J’ai relégué les buissons à l’amitié
Et l’arbre pris ainsi désormais son relais.

Le chiffre cinq

Le chiffre cinq

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« on précisera aux lectrices et aux lecteurs que ce poème est un poème amical « 

Le chiffre cinq, qui se retient
Comme un bisous, un câlin
Tu est ma voix intérieure
Ma rose, ma lumière, ma fleur

Mon être assouvi à ton regard
Ne rend pas mon visage blafard
Je me suis enseveli dans tes mains
Qui ont effacés mes grand chagrins

Le nuage flotte par dessus mon esprit
Alors que toutes circonstances établies
Rien ne nous a prédestiné à une entrevue
A tout les deux cela nous à plu

Et toi mon petit écureuil des bois
Tu a arpenté mon chemin mille fois
L’herbe traversée est devenue divinité
Tu à gravé dans le marbre ma dignité

 

Les bulles

Les bulles

Les bulles de la vie mon amie
Je te tend la main, petit matin
Sans ton avis je ne suis rien
Dans mon livre ouvert tu lis

A mes côtés tu es et restera
Sans pensées autre que d’amitié
Et m’ont accueilli tes bras
Qui ont réussi à trouvé la clé

Une étoile filante est découverte
La beauté de ton cœur m’émoustille
Grâce à ton verbe j’a grandis
Je suis à présent moins alerte

Tu recouvre mon cœur entaillé
Par tant de blessure, de manque
Qui n’avais plus d’avidité
Je devient peu à peu saltimbanque

Les mots

Les mots

Les mots frappés à mon égard
Sont dévastés par ton regard
Je suis pion sur l’échiquier
Tu m’a permis peu à peu d’avancer

Et parfois je suis faible d’esprit
Tu réfléchis et soudain en ris
Mais ton caractère sensible et aimant
Me permet de m’asseoir sur ton banc

Tes larmes, joies, peines, hurlement
Tes caresses de verbes d’antan
Se juxtapose sur nos deux cœurs
J’assume mes plus complètes erreurs

Tandis que tu te bat pour ta dignité
Que tu te refuse à vraiment m’incriminer
Je suis tout chose de tes yeux
Ils me rendent vraiment heureux

Tu ensoleille mes nuits courte et belle
Tu est différente de toutes ces donzelles
L’humanité est ton fort, mon incroyable
Le pardon ton réconfort, formidable!

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

Solitude

Solitude

Solitude d’antan , solitude d’avant
Un requin sur mon ilot blanc
Mon visage est maintenant fermé
Je ne fait plus vraiment l’unanimité

Comme un poisson pris dans un filet
Je ne voit plus de grande sincérité
Je parle au vent qui me souffle
Qu’il a pris un sacré coup de moufle

J’oublie les vertus du de la vie, du rire
Et vous continuez peu à peu de me salir
Égoïstes, pleins de préjugés idiots
Je relève la tête et ne dit mot

Je ressent une vrai et grande amertume
Pas une fausse et petite solitude
La vie est faite avec un accordéon
Le début du renouveau n’est plus très long

Respect

Respect

Respect d’une femme, d’une dame
J’hais les mec sans aucune âme
Sans respect des valeurs humaine
Qui ont la parole hautaine

La femme souffre en silence
Sans jamais aucune redevance
De la vie elles veulent apprendre
Sans jamais vraiment nous attendre

Et leurs réponses sont blafardes
Elles ne souhaitent être bavardes
Et il faut avoir la petite astuce
Elles ferment leurs capuces *

Malgré leurs beauté interne
On ne voit que l’externe
La visage, les yeux, la silhouette
la vie n’est plus vraiment chouette

* capuce : capuche des bures de moines

Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

Une rencontre

Une rencontre

Amitié, Amour, Sincérité
N’osant le dire en face
N’étant qu’un lâche
Et dire la vérité

L’envie d’avancer, d’espérer
Avide de confidence, de confiance
Un jour une rencontre est née
Ravi de ta gentillesse ta beautée
Et je continue, je pense

 

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Sourire d’ange

Sourire d’ange

Sourire d’ange, savant mélange
Et tu raidis toutes tes franges
Peu à peu ton corps se cache
Sans que personne ne le sache

Mon amour veut l’en empêcher
Mon avis est entièrement réservé
Et tu t’inquiète d’autrui
Qui petit à petit te détruit

Ma force et mon courage ne font qu’un
Dire que mon âme est là chaque matin
A tes côté depuis une demie décennie
Aujourd’hui, toujours là, je ne ris

Laisse moi toujours te taquiner
Te montrer mon entière amitié
Celle présente, sans faille
L’enjeu est de grande taille

Ne m’oblige pas à en pleurer
Je risquerais de m’étrangler
Personne ne peut te remplacer
Je suis sans voix, essoufflé

Une étoile s’illumine encore
M’écoutera-tu un jour,alors?!
Ouvre la paume de ta grande main
Compte sur moi, je t’en prie, revient

Légereté

Légereté

Douce vie, tendre et légère
Les pétales de rose je flaire
Tout semble comme bulle d’eau
J’ai trouvé le meilleur lot

Je n’ai pu résister à ton charme
Tu à su me mettre en alarme
De la tristesse à la joie
Parfois tu m’a mis en émoi

Tes mots me sont irrésistibles
Je suis devenu comme incorrigible
Ton visage toujours plein de vie
Ne se ferme jamais et pétille

Mon âme suis ta philosophie
Chaque vue de toi m’émoustille
Espoir d’une amitié éternelle
Totalement belle et réelle

Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Amen!

Amen!

J’ai tiré ma dernière révérence
J’ai changé la régulière fréquence
Je suis un minuscule grain de sable
Qui ne viendra plus jamais à table

Mon gosier a cracher sa dernière douleur
J’entends d’ici, à petit pas, mon exécuteur
A son approche je prend par la fuite
Ma géhenne n’est plus vraiment traduite

J’ai perdu tout sens de la réalité
Me suis pourtant maintes fois accroché
Je n’ai vu approcher ma sentence
C’est a présent une grande pénitence

Je ne suis rien sauf à vos yeux un idiot
Rien à faire je n’ai à votre égard que mot
Je suis seul, triste et à la fois tendus
Mon isolement radical est parfois aigus

Amen!

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Chance

Chance

A deux femmes Alais et Fatima

La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables

Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard

Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude

Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre