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Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

Chance

Chance

A deux femmes Alais et Fatima

La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables

Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard

Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude

Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre

Passage

Passage

Mentalement roué de coup
Trainé dans la boue
Rage , amour, désespoir
Je ne puis plus vous voir

Insignifiant à mes yeux
Incrusté de vœux pieux
Adossés à la misère
Pour vous je suis une galère

Vous êtes maintenant austère
Je fait pour vous une prière
Celle de l’intelligence
Celle de l’insolence

Mon cœur saigne abondamment
Maintenant, bon vent
Chers gardiens, chers lionceaux
Vous n’êtes que pour moi sot

Crève

Crève

Crève et tait-toi
Crève et soit le roi
Crève et aboie
Crève il n’y a de loi

Et tous les jours l’on meurt
Sans la population, sans rancœur
Me voilà plein de douleur
Me voilà plein de douceur

Un petit sourire, parfois un petit mot
Et tout sort du quotidien, du lot
J’en suis complètement sot
Il n’est jamais trop tôt

Rangez votre fierté, votre orgueil
Je vous ai maintenant à l’œil
Ne faites pas devant moi semblant
Donnez un peu de votre argent

Normalité

Normalité

Qui est normal ?
Qui est banal ?
Sans différences ?
Sans aucun sens ?

Réalité, tu m’as défait
Réalité, je t’ai conjugué
Réalité, j’ai eu la vérité
Réalité, tu m’es sacré

Avec ou sans fauteuil
Toujours le même accueil
Et encore un recueil
Quoi qu’il en veuille

Et je fais le serment
Que tout est comme avant
Que vous êtes dans mon rang
Et que vous ne soufflez du vent

Profit

Profit

Toi, le Profit d’autrui
Cela à maintenant suffit
J’ai assez ris
Trop tard, tout est pris

Mon cœur est trop ouvert
J’ai assez souffert
Vous n’aurez plus de vers
Et je ne ferais rien pour plaire

Là où le souci n’existe
Je ne suis pas une liste
Et me voilà détruit, Bien vu!
Je continue, et ne vis plus

Et vous soignez mes plaies
Cela aujourd’hui me déplait
Et vous ne m’avez raté
Et je vous aurais !

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Nuls n’a plus d’estime que soi
Et personne n’est le roi
Vous annulez ma joie
Entourage sans foi ni loi !

Le bécot sur la main
Sans raisons , ne vaut rien
Les louanges injustifiées
Ne valent d’êtres consolées

Pinsons, reveillez-vous!
Ainsi il ne faut continuer
Ou je vous ferais rouer
En place de grève, à bout !

Ne soyez point égoïste
Vous qui me rendez si triste
Soyez parfois un peu altruiste
Atterissez sur la piste

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Insensible

Insensible

Message sur le regard des personnes qui n’ont pas d’handicap vers des personnes en difficultés

Insensible, mot si pénible
Indifférent à notre égard
Il est maintenant trop tard
Nous ne sommes plus vos cibles

Nous ne l’avons jamais été
Et vous nous regardez
Comme des animaux de basses-cours
Nous crions à présent au secours!

Curieuse façon d’égo-centrisme
Vous ne voyez notre dolorisme
Notre ressenti, nos peurs, nos craintes
nos frustrations,nos émotions,vos feintes

Pensez à autrui et non a vous
Pensez aux personnes en difficultés, nous!
Venez les aider, les rendre heureuses
Et non pleureuse!

Grâce!

Grâce!

Pour quelqu’un……

Voudriez vous bien m’accorder votre grâce , madame?
Voudriez vous bien que je m’explique devant votre glace?
Auriez vous la complaisance de me faire offrande?
Je ne demande que de me faire pardonner de cette belle amende.

Il y a des moments ou la vie nous dicte de faire des choix
Mais cela ne doit pas être sans foi ni loi
Le terrain auquel je me suis glissé est fâcheux
Le malentendu est malencontreux

La discorde entre nous empire à toute allure
Et c’est avec ma prose, madame,que je vous en conjure
De bien vouloir suspendre votre courroux
Pour ramener nos relations en mode doux

Je sais que mon défaut de prudence
Est au préjudice de votre confiance
Est le sujet de votre méfiance
Est la raison de votre actuelle défiance

C’est ainsi qu’il me convient d’implorer
De nouveau, et sans pitié
Votre confiance morale
Rien de plus vraisemblable

Votre confiance s’est retrouvée ébranlé
Et mes intérêts pour vous égaré
Sachez entendre ces proses avec votre cœur
Et pardonner mes erreurs.

Vie,Amitié & Amour

Vie,Amitié & Amour

Vie, amitié et amour! Au secours!
Je vole de mes propres ailes
Et je les trouves très belles
Oh vie! Oh Amour!

Mes soleils rayonnent sur ma plaine
Mon étoile illumine mon avenir
Et ma galaxie m’ouvre le sourire
Qu’est ce qu’ils ont de la veine!

Elles ne se doutent de rien
Mais les surprises sont des lois
Comme un ami vous veut du bien
Comme un amour d’autrefois

Merci en cinq lettres ne suffisent pas
Le mot n’est point à la hauteur
C’est plutôt un souffre-douleur
Et tu t’en va..

Perdu

Perdu

Perdu dans cette brume
Enfoncé dans ce bitume
Ma vie n’est pas une fleur
J’ai plutôt peur

Dans ce brouillard intense
Je vois une porte , un passage
Dommage, c’est un mirage
Et je pense, et je panse

Pour refermer cette douleur
cette amertume, ce chagrin
Qui vient, qui s’achève le matin
Et je crie avec mon cœur

Oh! ombres machiavéliques
Oh ombres anarchiques
oh ombres magiques
Vous êtes artistiques

Ubuesque

Ubuesque

Situation ubuesque, situation grotesque
L’amour qui se divise en deux est difficile
Rien qu’a vous mes deux sœurs
Que je câline en douceur

Je voudrait dédier mon amour à deux femmes
Je ne le veut, je ne le peut
Je ne le vaut, j’y peut rien
Enfermé dans un mensonge sans fin je suis.

Et pourtant je doit vivre, vivre toujours
En pensant à plusieurs être à la fois
En remuant ses pensées tristes et noires
En alliant amour et amitié

Océan bleu

Océan bleu

A Jacques & Nathalie qui sauront pourquoi ce message leurs est adressés

Océan bleu, océan du martyr
Océan de la vie, du désir
Alouettes des mers réveillez vous
Pinsons sur terre aimez vous

Et tandis qu’une larme coule
Cela me met en boule
De ces amitiés je me vante
Les oiseaux chantent

Dur est le départ sur ce lointain horizon
Mes étoiles sont comme en prison
Cachés derrière des barreaux innateignable
Dans des murs impénétrable

Océan, revient vite à la surface
Océan je ne suis pas lasse
Océan mon coeur est à toi
Océan tu me laisse sans voix.

Fleur de printemps

Fleur de printemps

Fleurs de printemps
Vous qui fleurissez avec le temps
Vous qui êtes si charmantes
Vous m’aimez en volant

Et toutes ces douces choses
A présents, s’envolent, disparaissent
Comme une diffamation dans la presse
Cela ne m’empêche de faire quelques proses

Et la morosité rime avec l’anxiété.
Et cette fleur fait des choses lapidaires
Mais elle ne se laisse faire
Par ses gourous, plein d’inimitié

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Injustice

Injustice

Injustice etatique,
là ou la loi est réuni entre trois mains
là où la vie vous prive d’un examen
Pire que privation de droit civique

La cause d’une personne
Repose sur la décisions de plusieurs
d’un comité qui ne compte ses heures
Je suis palot, tremblant de peur.

Retrouvée

Retrouvée

a ceux que j’aime, et pour ginette

Je t’ai retrouvé toi, tendre personne
Au fond de moi je me sens heureux
Je t’ai emmené en promenade
Et à deux, nous avons fait notre ballade

Avec toi que je revois, je suis dans les nuages
Comme un oiseau qui vole
Comme un ange qui me survole
Comme vous, sage image

Continuez comme ça orange amère
Bientôt vous deviendrez comestible
Et même on prendra goût à vous croquer
Tellement vous êtes aimé.

Et moi poète des temps moderne
J’ai écrit ces quelques mots
Pour ne pas que vous restiez en berne
Venez très chère , pour vous j’ai un lot.

Problèmes

Problèmes

Problèmes, il n’y que cela, un seule emblème
Et moi je baigne dans une marée noire
A tel point que je ne peux même plus me voir
Et pourtant dieu sais si je vous aime

Rien, non rien ne peut séparer deux êtres
Aux coeurs si solennellement soudés
Aux envies si soudainement rejetées
Et à côté de moi, une fenêtre

Bouc-émissaire, idiot que je suis
Je me suis rendu compte trop tard
Du mal qui s’est transformé d’un appui
On dirait comme une avancée de char

Où tombent les bombes et s’écrasent
en faisant le vide intersidéral
J’écris, preuve de mon incurable mal
C’est comme si je disais :  » Vive Alcatraz(1) »

Toi qui as, et qui est formidable , restes là.
J’ai besoin de ton soutien
De ta puissance, de tes mots, bas!
Et maintenant , je vis de rien

Je ne vis même pas d’argent
Tellement je trouve le sujet abject
Tout celà, c’est de la paille, du vent
Dire que la jalousie, vous infecte

Et je suis triste, et je ne peux assumer
Toutes ces invectives qui me sont adressées
Maintenant c’est fini, je me tais, à bientôt
Les étoiles continuent de briller au phare de mon cœur

Virtuosité

Virtuosité

A melissa.

Amitié, deci , delà ,
Amitié, par-ci , par là
Virtuosité, générosité, bonté
Tout simplement ils souriaient

Et la chaleur humaine nous rapproche
Et la fraicheur nous tourmente
Pour vous, je me suis fait les fond de poches
Même quand celà n’a été nécessaire, arrogante!

Parfois même avec des idées compromettantes
Celà ne m’empêche pas de t’apprécier
A juste valeur, et de rester comme tu es
Oh, douce et injuste vie lente!

Sensible

Sensible

Sensible bien est là mon défaut
Sensible chère amie à vos mots
A votre regard
Maintenant il est trop tard

Jamais, non jamais je ne changerai
Car pour vous j’ai tout fait
Et ce coté attentif
Qui me joue des tours, me permet d’etre actif

Merci de devenir actif
Car j’en ai besoin , c’est maladif
Oh Jeunesse éternelle qui dure
Et ces mots à n’en finir! Quel cure!

Rêve

Rêve

Rêves intrépides, rêves irréalisables
Vous ne venez plus à moi comme d’antan
Et j’aimerais vous suivre, passivement
Mais j’ai la haine, c’est incroyable

De ne faire que de petites choses minables
Et de laisser faire le temps, doucement
Alors que dans la vie, il faut avancer tranquillement
Regardes moi, non, arrêtes, tu es le diable

Si l’on n’est convaincu de rien
On ne fait que des choses sans aucun lien
Et moi je ne suis que chien
Dans cet univers, qui tourne, va et vient

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonsoir à tous,
Merci pour vos nombreux commentaires, emails, courriers. J’en suis submergé. Tellement, que quelques uns s’inquiètent.
Je suis un peu absent en ce moment. Et pour cause, les autres projets ainsi que mes dernières choses à faire m’ont quelques pris du temps personnel.
Cependant, je lis bien vos commentaires, et les valide, tant bien que mal, pendant mes temps disponible, c’est à dire 30 minute/jours, et encore, je n’ai pas le temps de tout faire.
Que certain(e)s lecteur(rice)s se rassurent, je ne fais la tête à personne, et je n’ai aucune raison de le faire , je pense en particulier à quelqu’un, dont je ne citerais expressément pas le prénom, pour respecter sa confidentialité.
Donc, de ce fait, et par mesure pour ma santé, je m’auto-ordonne (sans rire!hein!) de :
– Me reposer, sans activité supplémentaire en coupant internet du 21 au 24 décembre
– Vous souhaiter de bonnes vacances pour les lycéens, profs, et autres personnes qui ont le droit à leurs congés payés ainsi que  bonnes fêtes de fin d’année à tout le monde.

Je reviens très très vite, avec quelques changements en profondeur, d’ici le début de l’année.
J’oubliais, avant de vous quitter que :
– Vous pouvez laissez des commentaires, car de temps en temps éventuellement, je dit bien eventuellement, si j’ai envie j’irais faire un tour
– Que mon livre est toujours en cours, mais suite à quelques ennuis de santé, je ne peux pas pour le moment vous communiquer officiellement de date concernant sa sortie.

Joyeuse fêtes à tous!

Fabien Sorez

Quand quelqu’un pose les yeux sur vous

Quand quelqu’un pose les yeux sur vous

Un jour tu m’as dit : Vis!
Je me souviens , et je t’ai regardé, réjoui
Mais je n’avais jamais pensé transformer
Quatre ans en une journée, c’est l’été.

Quand, dans la vie il vous faut quelques larmes
Alors c’est toute la dimension de l’âme
Qui est là!
Nous menons la même bataille, le même combat.

Quant à ce qui est dit, j’en rie
Si un jour quelqu’un se surpasse pour vous
Prenez l’occasion, saisissez la , comme l’on prend l’habit
Soyez complètement fou!

Trop peu de gens vous accordent leur regard
C’est pt’et quelque chose de bizarre
Mais vous le savez maintenant
Il faut faire avec le temps!