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Tag: regard

Epuisé

Epuisé

Épuisé, fatigué, contracté
Mon corps lâche et anémié
Souffre dans sa grasse chair
Je n’ai rien pour me plaire

Loisirs perdu, travail absolu
Je suis immensément perdu
L’océan est un boulevard
Que je croise de mon seul regard

L’hiver et le froid me gangrène
Bloque peu à peu tout mes gênes
Le soleil s’est tout les jours caché
Dans ce lointain champs de blé

L’amitié gravit ma montagne
Traverse les routes de champagnes
Perdure dans le temps belle fée
Je t’aime, pieds et poing lié.

Le bateau

Le bateau

Un bateau en mer, s’est échoué
Sur cette jolie plage, ce beau rivage
Après la bataille de ces neufs armées
Ces hommes qui rentrent d’un voyage

Décimés par la vie, sans repères établis
Perdus, leurs yeux hagards, dans le noir
Qui cherchent seulement les regards d’autrui
Fuyants l’ennui et un certain désespoir

Le son de leurs voix est si mutique
Que tout les crickets se sont tus
Ils recouvrent cette liberté erratique
Et se vengent de tout les abus

Le soleil brûle les peaux si claires
De ces survivants de l’abîme
Ayant brisés ce plafond de verre
Et cette tristesse qui les opprime

Le temps

Le temps

Je cours, je cours après le temps
Celui qui passe maintenant si vite
Je tombe, je tombe dès à présent
Une colère intérieure m’habite

Je voudrais parfois recommencer
Et m’endormir dans l’asphalte
Je veux tellement vous câliner
Ne plus devenir un automate

Je gâche parfois ce bel avenir
Et fout souvent en l’air ma vie
Personne n’a de droits sur mes désirs
Sur ces destins que j’avais ravi

Je vous assassine d’un regard sombre
Quelquefois j’amuse et surprend
Je laisse mes fidèles dans l’ombre
Je rejoins ce paradis qui m’attend

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Amour enchevêtrée

Amour enchevêtrée

A la demande de Pauline M

Notre amour quotidien enchevêtrée
Nos silences drôles et parfois animées
Nos absences si lointaines toutefois
Jette présentement un grand froid

Moi, débordante d’énergie positive
Toi, qui me fait tourner la tête , m’enivre
Nous sommes un tout, mais je ne suis rien
Je regarde les étoiles qui sont au loin

Et j’aime l’odeur de ta tendre chaire
Quand je voit une étincelle en l’air
Qui éclate pendant un certain temps
Telle une grande bohème d’antan

Formant une galaxie légèrement étoilée
Que nous attrapons au vol , sans rivalités
Notre amour depuis maintenant cinq univers
Où tout nos moments sont gravés dans la terre

Handicap

Handicap

Handicap, ce mot si étrange et barbare
Qui frappe parfois quelqu’un au hasard
Qui pourris parfois votre vaine existence
Qui ne vous facilite rien avec aisance

Parfois oppressés par l’incompréhension
De ceux qui n’ont parfois aucune vision
Nous sommes si différents et complémentaires
Notre angle de vue n’est pas mortifère

Nous ouvrons facilement notre grand cœur
Et comprenons aisément toutes vos peurs
Notre sensibilité s’est grandement décuplé
Puisque la vie nous a régulièrement écorché

Ne soyez pas effrayé en nous regardant
Avec votre sourire perfide, nous analysant
Venez chercher l’étoile qui est en nous
Devenez curieux, nous ne sommes des loups

Réalisez ainsi que vous vous êtes trompés
Sur notre cas, vous n’étiez pas initiés
A notre diversité et à notre différence
Vous savez et n’êtes plus dans l’ignorance

Société

Société

Toi l’individu seul et égoiste
Qui ne cherche que ton petit bonheur
Sans jamais réflechir aux grands malheurs
Des autres qui sont tout aussi défaitistes

Regarde ton prochain avec plein d’amour
Qui parfois aurait besoin des tes mains
Un peu plus, chaque jour, chaque matin
Sans jamais attendre un tout petit retour

Ouvre ton coeur sans rester pétri et reclu
Ne soit pas si amer en regardant autrui
Hiver comme été ne soit pas triste, sourit
Et tu ne sera cette personne qu’on exclu

Réagit à l’enfer des grandes moqueries
Soit actif et donne aux misérables
Un petit peu de ton sirop d’érable
Que tu aime et qui te bonifie

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Sentiments de la vie

Sentiments de la vie

Sentiments d’autrefois, sentiments de joie
Je suis de peu de foi, mais toujours là
Je suis l’ami qui rêve, et qui ne désespère
Absent parfois, mais toujours délétère

Mes mots ne sont que ma force et mon avenir
Je n’ai pas toujours su prendre les plaisirs
Et suis parfois triste, dans un monde fou
Qui me met parterre, parfois à genou

Doucement, je remonte cette pente si difficile
Aidé par l’amour, parfois l’amitié, si fragile
Pas toujours très facile, ni docile ni très tendre,
Je suis là a vos côtés, avec vous, pour apprendre

Je suis faible et vous me rendez pourtant si fort
Vous êtes mon hôte, et moi votre invité, j’adore
De cette union il y aura peut être génération
Nul ne peut nous sous estimer, faites votre ovation

Applaudissez à notre regard si étincelant
Soyez présent quand nous serons brillant
Et absent quand vous aurez conjuré notre sort
Mais surtout, faites de nous de beau trésor

Nous ne sommes pas timides, encore moins acide
Nous sommes ouverts au monde, jamais placide
A l’abri de vos méchanceté, nous vous aimons
Il n’est jamais très bon de tourner en rond

La vie a été faite ainsi, et nous sommes deux
Serons nous trois, quatre ou plus, je le veux
Nous ne savons jamais de quoi la vie sera faite
Mais nous irons encore créer ces jours de fête.

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Le chiffre cinq

Le chiffre cinq

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« on précisera aux lectrices et aux lecteurs que ce poème est un poème amical « 

Le chiffre cinq, qui se retient
Comme un bisous, un câlin
Tu est ma voix intérieure
Ma rose, ma lumière, ma fleur

Mon être assouvi à ton regard
Ne rend pas mon visage blafard
Je me suis enseveli dans tes mains
Qui ont effacés mes grand chagrins

Le nuage flotte par dessus mon esprit
Alors que toutes circonstances établies
Rien ne nous a prédestiné à une entrevue
A tout les deux cela nous à plu

Et toi mon petit écureuil des bois
Tu a arpenté mon chemin mille fois
L’herbe traversée est devenue divinité
Tu à gravé dans le marbre ma dignité

 

Les mots

Les mots

Les mots frappés à mon égard
Sont dévastés par ton regard
Je suis pion sur l’échiquier
Tu m’a permis peu à peu d’avancer

Et parfois je suis faible d’esprit
Tu réfléchis et soudain en ris
Mais ton caractère sensible et aimant
Me permet de m’asseoir sur ton banc

Tes larmes, joies, peines, hurlement
Tes caresses de verbes d’antan
Se juxtapose sur nos deux cœurs
J’assume mes plus complètes erreurs

Tandis que tu te bat pour ta dignité
Que tu te refuse à vraiment m’incriminer
Je suis tout chose de tes yeux
Ils me rendent vraiment heureux

Tu ensoleille mes nuits courte et belle
Tu est différente de toutes ces donzelles
L’humanité est ton fort, mon incroyable
Le pardon ton réconfort, formidable!

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Chance

Chance

A deux femmes Alais et Fatima

La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables

Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard

Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude

Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Insensible

Insensible

Message sur le regard des personnes qui n’ont pas d’handicap vers des personnes en difficultés

Insensible, mot si pénible
Indifférent à notre égard
Il est maintenant trop tard
Nous ne sommes plus vos cibles

Nous ne l’avons jamais été
Et vous nous regardez
Comme des animaux de basses-cours
Nous crions à présent au secours!

Curieuse façon d’égo-centrisme
Vous ne voyez notre dolorisme
Notre ressenti, nos peurs, nos craintes
nos frustrations,nos émotions,vos feintes

Pensez à autrui et non a vous
Pensez aux personnes en difficultés, nous!
Venez les aider, les rendre heureuses
Et non pleureuse!

Soirée

Soirée

Soirée en plein cœur d’été
Soirée arrosée
Toi le grand cœur de lumière
Tu ne ressemble à une chimère

Ni à une pierre
Vient par ici ma rose
Ton regard éblouissant se pose
Dans mon semblant d’âme, père!

Ce matin ton sourire m’a donné chaleur
Ta voix ma donné de l’oxygène
Et je te fait des câlins , sans gène!
Vient par là ma fleur.

Toi à qui je manque et que je manquerais toujours
Sache que mon cactus se transforme en lilas
Que mon orage se transforme en vent , sourd!
Prête l’oreille à ton ami mon réséda.

Simplicité

Simplicité

A mon cali,

Simplicité, volupté, amour, amitié,
Des étoiles brillent dans cet univers
A ton regard je ne me sent plus sur terre
Touts ces mots, cette folie , pour l’éternité

Ta présence, ton regard me font craquer
Ton sourire affable me plait
Pourtant le destin nous sépare de tout
Et même sous la couette je devient fou

Et tes gestes plein de charme
Ne sont pas frivole
Et je n’aimerais qu’on me les vole
Tu m’a mis en alarme

J’idolâtre ton visage
Qui devant moi est une beauté
Toi qui représente l’air pur, la sainteté
Non, tu n’est pas un mirage

A ton passage, l’univers est à toi
La lumière, de tout coté, jaillit
Un arc en ciel te sourit
Ta présence me laisse sans voix

Mon attachement pour toi est infaillible
Et seulement dans ton cœur elle est lisible
Main dans la main nous sommes
Âme dans l’Âme nous continuerons…

Pensées

Pensées

à Cali, qui se reconnaitra

Pensée, amitié, pensée , volupté
Quatre mots pour dire aimer
Aimer de manière extraordinaire
Comme une vipère

Le rose et le bleu se marient
Tel l’étoile qui défile
Tel une couverture qui s’enfile
Et tu me réchauffe , amie!

Aujourd’hui, à ta vue, le ciel s’éclaircit
Et le soleil s’ouvre comme ton sourire
Et tes yeux pétillent d’espérance, de vie
Et tes larmes coulent comme la cire

Tout ces jolis et recherchés mots pour toi,
Pour te dire a quel point l’amour fait loi
Que ton regard est plus important que les autres
Que ton bonheur est ma foi.

Insolence

Insolence

Quand insolence rime avec ignorance
Quand ses mots me pèse avec violence
Quand je crie sur les bords de la dignité
Et j’imagine cette sombre vérité

Triste indécence que de voir ces mots
Et je hurle et crie à la liberté
celle qui est simplement limité
au regard d’une personne , sotte!

Quand il en marre, il jette son opprobre
Et présentement sa situation devient tenace
Si ce n’est pas dire, salace
Et elle n’est en réflexion plus pauvre

A quand cessera ce manège?
Ce jeu infantile, comme la neige
A quand rimera amour et dignité?
Quand le contraire sont inimitié?

De temps en temps

De temps en temps

De temps en temps, je viens à toi
Je reste en complet émoi
Devant ton regard tendre, ta complicité
Forgée depuis tant d’années

Je reste sobre, parfois dur
C’est normal car les temps ne sont plus surs
Pendant que nous nous aimons
D’autres se disputeront

Ceux-là sont puritains
Ils n’ont pas le soleil en eux, chaque matin
Et ils ne voient que chagrin
Emmène-moi sur ton chemin

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

Loin de là

Loin de là

Loin de là, loin de moi
Viens par ici mon extraordinaire
Toi qui fait partie de ma sphère
Je suis loin de ton émoi

Et toutes ces choses roses
Et le lilas sur ta douce figure
Et cet oxygène morose
Contient ton air pur

Ta tendresse regardée
Dans ce ciel d’été
Est comme ma vue
Sur le boulevard ingénu

Je cours, tu me fuies
Je te fuies, tu cours
Et je t’attrape au retour
Allez continue, je rie