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Ma mirabelle

Ma mirabelle

Ma mirabelle, tes yeux doux et ouvert
Ont fait de moi un garçon à plaire
Mes palabres douces et charmantes
Ferons de toi une fille aimante

Mon âme frissonna à votre rencontre
Bien que rien à ce jour ne le montre
Vous avez ouvert mon livre poussiéreux
Et y avez vu mon courage astucieux

J’ai osé et tenté de vous conquérir
Et je vous ai vu quelque peu rire
Peut être vous n’avez cru aucun mot
Pourtant je ne suis complétement sot

La patience est présente pour votre beauté
Et mon dernier mot n’a pas encore été ajouté
La persévérance me fera prendre votre âme
Vous, mademoiselle, très jolie dame.

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

Sourire d’ange

Sourire d’ange

Sourire d’ange, savant mélange
Et tu raidis toutes tes franges
Peu à peu ton corps se cache
Sans que personne ne le sache

Mon amour veut l’en empêcher
Mon avis est entièrement réservé
Et tu t’inquiète d’autrui
Qui petit à petit te détruit

Ma force et mon courage ne font qu’un
Dire que mon âme est là chaque matin
A tes côté depuis une demie décennie
Aujourd’hui, toujours là, je ne ris

Laisse moi toujours te taquiner
Te montrer mon entière amitié
Celle présente, sans faille
L’enjeu est de grande taille

Ne m’oblige pas à en pleurer
Je risquerais de m’étrangler
Personne ne peut te remplacer
Je suis sans voix, essoufflé

Une étoile s’illumine encore
M’écoutera-tu un jour,alors?!
Ouvre la paume de ta grande main
Compte sur moi, je t’en prie, revient

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Insouciance

Insouciance

Insouciance, ma plus grande liberté
Mes mérites entier j’ai vanté
Sans vergogne, sans louanges
Maintenant tu te venge

Je t’ai vu partir avec tristesse
Et dans tes mots n’existe délicatesse
Aucun état d’âme dans tes faux-propos
Moralement je n’était plus vraiment beau

Ton cœur est devenue entièrement opaque
Tu à tout tenté avec moi, même l’attaque
Et maintenant tu essaye de vivre en catimini
Sous les pavé chauds de la place d’Italie

Venant te chercher doucement avec mes pas perdus
Bientôt deux ans que j’ai oublié ton visage, ta vue
Que je suis sans ta présence, ton amour, ta naïveté
Comme à l’ordinaire tu exécute une certaine velléité

Passage

Passage

Mentalement roué de coup
Trainé dans la boue
Rage , amour, désespoir
Je ne puis plus vous voir

Insignifiant à mes yeux
Incrusté de vœux pieux
Adossés à la misère
Pour vous je suis une galère

Vous êtes maintenant austère
Je fait pour vous une prière
Celle de l’intelligence
Celle de l’insolence

Mon cœur saigne abondamment
Maintenant, bon vent
Chers gardiens, chers lionceaux
Vous n’êtes que pour moi sot

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Ignorance

Ignorance

Ignorance, tu es ma petite vengeance
Ignorance, Et c’est à toi que je pense
Ignorance, j’ai un tour d’avance
Ignorance, je n’ai aucune croyance

Me voilà stress de toi, sans nouvelles
Tu t’es encore fait la part belle
Et me voilà, encore une fois, rebelle
Pourquoi, à moi, ta petite hirondelle ?

Ma petite coccinelle, toi si proche
Tu ne m’es que de reproche
Et loin de là tu m’abandonnes
Tu peux encore changer la donne

Crève

Crève

Crève et tait-toi
Crève et soit le roi
Crève et aboie
Crève il n’y a de loi

Et tous les jours l’on meurt
Sans la population, sans rancœur
Me voilà plein de douleur
Me voilà plein de douceur

Un petit sourire, parfois un petit mot
Et tout sort du quotidien, du lot
J’en suis complètement sot
Il n’est jamais trop tôt

Rangez votre fierté, votre orgueil
Je vous ai maintenant à l’œil
Ne faites pas devant moi semblant
Donnez un peu de votre argent

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Affection

Affection

Ressenti d’affection, ressenti d’affliction
Tu est le soleil qui illumine ma vie
Quand l’orage assombri mon âme, ma diction
Témoignage de sympathie tu me procure, amie!

Mon corps est en miette
Mon coeur en lambeaux
Mon esprit sur le carreau
Mon équilibre à la diète

Le soleil se couche a présent
Et je suis encore absent
Secoue moi, Réveille moi.
Soit près de ma voix.

Tu est la. Tu me tient en éveil.
Je te doit ce mot : Merci.
Tu est une merveille.
Maintenant je souris.

Comprend ces mots à ton égards
Ce n’est pas de l’amour
Mais un doux velours
Ai-je l’air hagard?

Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Sucré salé

Sucré salé

Odeur de sueur
Je ne compte plus mes heures
Et ont disparus mes craintes, mes peurs
Salé sucré, gout de bonheur

Quand je te voit , ta galaxie s’offre à moi
Te quitter devient mélancolie
Toi pour qui l’amour est sans foi ni lois
Et je n’ai qu’un cœur d’apprenti

Et maintenant il faut y aller, foncer
Aimer la vie, aimer le temps d’aujourd’hui
Et je te câline, ma petite fée
Aime toi, reste toi, sans être salit

Simplicité

Simplicité

A mon cali,

Simplicité, volupté, amour, amitié,
Des étoiles brillent dans cet univers
A ton regard je ne me sent plus sur terre
Touts ces mots, cette folie , pour l’éternité

Ta présence, ton regard me font craquer
Ton sourire affable me plait
Pourtant le destin nous sépare de tout
Et même sous la couette je devient fou

Et tes gestes plein de charme
Ne sont pas frivole
Et je n’aimerais qu’on me les vole
Tu m’a mis en alarme

J’idolâtre ton visage
Qui devant moi est une beauté
Toi qui représente l’air pur, la sainteté
Non, tu n’est pas un mirage

A ton passage, l’univers est à toi
La lumière, de tout coté, jaillit
Un arc en ciel te sourit
Ta présence me laisse sans voix

Mon attachement pour toi est infaillible
Et seulement dans ton cœur elle est lisible
Main dans la main nous sommes
Âme dans l’Âme nous continuerons…

Amour & Perversion

Amour & Perversion

Amour et perversion, amour tourne rond
Toi qui parfois me crève les yeux
Pour mieux revenir me dire adieux
Tu devrai regarder en face, ça en dit long

Moi qui à ton égard fait le tout
Moi qui me rend malade de ton amour
Tu traine la perversion , c’est pas glamour!
Tu hante mes nuits, pour me faire des tours

Qui ne sont de magies, mais de haine!
Mais mon espoir n’est pas perdu
De te faire changer, sacré ingénu
Mais parfois la coupe est pleine

Belle vues

Belle vues

A quelqu’un d’extraordinaire(Merci!)

Belle vues intérieures
Mauvaise vues extérieures
Vient par ici rose
Vient faire une pause

Toi qui me connait,
tu sais mon point de sensibilité
Et pour moi tu ferais le monde
Tu ferais quelques fumées rondes

Et pourtant combien je t’aime
Quand tu vient me secourir
Mais aussi quand tu vient rire
Tu est mon étoile, mon emblème

Celle de l’univers qui à atterrit
Sur terre, par hasard
Qui ne pousse jamais un cri
Qui n’est a mes paroles hagard

Vient ma rose,mon réséda
que je te serre dans mes bras
que je te dise reste là
En quelques mots, tout bas

Nuit

Nuit

Il était une nuit où tout était clair
Un jour où tout était sombre
des jours de l’indécence
Moi qui te tends ma main

toi qui n’as pas su la prendre
Mais qui peut encore apprendre
Dans le coeur et dans l’esprit
Que tes pleurs ne sont pas la vie

Et tout ce ciel noir étoilé
S’envole dans l’au-delà
S’amuse moins ici que là-bas
Toi, ma petite rosée

Par dessus la raison
Je ne puis cesser d’aimer
Mon doux chagrin, ma saison
je suis brisé

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre

Hymne à l’amour

Hymne à l’amour

Oh mélancolie et tristesse,
Je me crois en pleine vieillesse
Et je regarde tes yeux plein de larmes
Moi qui croque ton charme

et tes yeux bleu sont océan
et ton visage doux est sable
et ton amour est sang
et ta douceur est nature

Toi qui aime la vie
Croques la pomme de l’amour
Aimes ton prochain comme tu t’aimes
Approches toi de sa main

Et dans notre âme si profonde
Demandons-nous qu’est-ce qu’aimer?
Toi qui ne m’aimes pas par vanité
Mais par bonheur de vivre

Continues et restes ainsi
L’amour est un bouquet de violettes
Il se ceuille au bord de l’herbe
avec raffinage et douceur

Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.

Retrouvée

Retrouvée

a ceux que j’aime, et pour ginette

Je t’ai retrouvé toi, tendre personne
Au fond de moi je me sens heureux
Je t’ai emmené en promenade
Et à deux, nous avons fait notre ballade

Avec toi que je revois, je suis dans les nuages
Comme un oiseau qui vole
Comme un ange qui me survole
Comme vous, sage image

Continuez comme ça orange amère
Bientôt vous deviendrez comestible
Et même on prendra goût à vous croquer
Tellement vous êtes aimé.

Et moi poète des temps moderne
J’ai écrit ces quelques mots
Pour ne pas que vous restiez en berne
Venez très chère , pour vous j’ai un lot.

Deux êtres

Deux êtres

Dédié à ma meilleure amie et son petit ami

Deux êtres s’envolent dans le ciel
Deux êtres si lointain
Qui pourtant d’eux prennent soin
Ah! Que la couleur vienne à eux, lune de miel

Aucun regret, aucun scrupule pour des gens que j’aime
Ils méritent ce qui leur arrive
Rien de plus beau que ceux qui s’aiment
Et moi, fier de leurs mérites, et qu’ils vivent!

Je peux le dire celà aura été sans faille
Bien que certaines choses soient encore retranchées
Dans leur esprit,  j’ai confiance,  qu’ils aillent!
Plus ils en seront heureux, meilleur mon sourire sera affiché

Qu’ils deviennent roses ou lilas,
Tulipes ou résédas
Que dieu les bénisse
Pour l’infini, l’éternité. Restez lisse!

Problèmes

Problèmes

Problèmes, il n’y que cela, un seule emblème
Et moi je baigne dans une marée noire
A tel point que je ne peux même plus me voir
Et pourtant dieu sais si je vous aime

Rien, non rien ne peut séparer deux êtres
Aux coeurs si solennellement soudés
Aux envies si soudainement rejetées
Et à côté de moi, une fenêtre

Bouc-émissaire, idiot que je suis
Je me suis rendu compte trop tard
Du mal qui s’est transformé d’un appui
On dirait comme une avancée de char

Où tombent les bombes et s’écrasent
en faisant le vide intersidéral
J’écris, preuve de mon incurable mal
C’est comme si je disais :  » Vive Alcatraz(1) »

Toi qui as, et qui est formidable , restes là.
J’ai besoin de ton soutien
De ta puissance, de tes mots, bas!
Et maintenant , je vis de rien

Je ne vis même pas d’argent
Tellement je trouve le sujet abject
Tout celà, c’est de la paille, du vent
Dire que la jalousie, vous infecte

Et je suis triste, et je ne peux assumer
Toutes ces invectives qui me sont adressées
Maintenant c’est fini, je me tais, à bientôt
Les étoiles continuent de briller au phare de mon cœur

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse, oh toi qui m’a porté bonheur
Amitié des temps certains, unions des êtres
Fou rire, bonheur, sourire, toujours à la bonne heure
Ca s’en va, ça revient, p’tetre

Et ces amitiés sont uniques en leurs temps
Elles virevoltent avec nous, dans la tornade, le vent
Tandis que certains, d’autres s’aiment
C’est notre monde que chacun à son envie mène

Et moi, j’ai vécu des choses extraordinaires,
Que je n’arrive même plus à en trouver mes vers
Et pourtant je m’efforce de croire que c’est vrai
Qu’il n’y aucune autre vérité

Que celle de l’amitié, de la véracité des individus  
Et je ne suis pourtant pas utopiste
Et encore moins je ne crois au christ
Et je pense à ces gens, sans réseau,dans la rue

Ceux-là au besoin de confort
D’un bon compagnon de route
Qui a besoin d’un voyage hors bord
Je voudrais lui offrir au moins une voute…

Souvenirs…

Souvenirs…

Il est resté dans nos cœurs, même quand il était vivant
Nous avons fait des erreurs, mais celle fut gravissime
Et nous ne pouvons pas revenir comme avant
Toi qui nous a appris des choses richissimes

Nous ne t’avons jamais oublié
Et moi aujourd’hui j’écris en ton souvenir
En ces 3 ans qui sont passés
Toi qui aimerais lire ce que je suis en train d’écrire

Tu as été et tu es encore notre étoile
Qui brille dans le ciel
Tu as fait de nous monts et merveilles
Continuons maintenant à hisser notre voile