Archives de
Tag: solitude

Rires et solitudes

Rires et solitudes

Je m’envole, prends de l’altitude
Pour combler le besoin de solitude
Réfléchir aux douceurs de l’avenir
Pour respirer et éclater de rire

Je grave la pierre du temps futur
Dans ce flan de montagne si pur
Je lève mon drapeau au sommet
Qui traverse nos âmes échouées

Les nouvelles me minent parfois
Je ne pense plus, j’oublie mon émoi
Quand cette lumière blanche m’eblouit
Mon corps et mon esprit s’évanouissent

Un nouveau monde s’ouvre à présent
Celui du bel espoir et du temps
Je déclenche l’avalanche du bonheur
De la société sans erreur

Les douceurs

Les douceurs

Toi, qui croit toujours en moi
Ma si belle amie, que j’ai croisée
Ce jour tant enneigé de février
Cette amitié de malheurs et de joie.

Je traverse les épreuves de douleurs
En écoutant ton corps et ton cœur
Quand je suis ce roi qui ne va plus
Vous êtes une reine cachée dans ce talus

Nos solitudes transformés en forces
Nos faiblesses gravés dans l’écorce
Nos maux parfois incompris
Il ne reste que l’amour d’un ami.

Ces insaisissables mots qui font du bien
Ces attentions, les paroles du quotidien
Cette main tendue par la vie
Qui vous font croire que tout n’est pas fini.

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Solitudes

Solitudes

La solitude, le mal être des forts
Celle qui nous guette au dehors
Que nous ne montrons à l’intérieur
Nous cachons nos plus grandes peurs

Je suis une poupée, si faible et si belle
J’entend tellement souvent les crécelles
Qui règlent mes mots tellement indicibles
Qui exprime cette tristesse indescriptible

J’imagine ces moments d’incroyables souffrances
A angoisser, seul, dans une certaine errance
Une main tendue m’a maintenant repêché
De ces eaux troubles, de ce trottoir usé

J’ai rêvé d’un monde, bien trop à mon goût
Sans me soucier d’autrui, ce nouveau loup
Croyant que mes douces larmes et mon sang
Suffiraient à faire revenir mes petits garnements

Les solitaires

Les solitaires

Il était cinq heures du soir
Et revoilà quelques idées noires
Qui vagabondent dans mon esprit
Triste, sans espoir, sans amis

J’ai vu une si jolie fleur déprimée
Qui peinait parfois à être arrosée
Être mise de côté, sans amour
Mais s’ouvrait un peu plus chaque jour

Et finissait par ne plus rien redouter
Ne se sentais finalement pas si détesté
Ce fut une explosion de ses petites colères
Qu’elle noya comme un poisson dans la mer

Je ne l’eu cru capable de se faire du souci
Par ce que pensait d’elle chaque jour autrui
La voyant forte face aux constantes menaces
Que représente certains jugements salaces

Solitude

Solitude

 

A mes amis et connaissances actuelles
A qui je suis toujours aussi fidèle
A qui je ne donne pas assez de présence
A qui j’ai parfois déclaré mon absence

 

J’entends les complaintes de votre solitude
De ceux qui aiment par grandes habitudes
Et qui, aussi, voudraient être parfois câlinés
Mais se contentent seulement de rêvasser

 

Je donne mon attention et ma sollicitude
A quiconque ayant bienveillante attitude
Le désespoir ne doit jamais vous hanter
Ni occulter vos désirs et envahir vos pensées

 

Mon cœur ne vous a jamais réellement délaissé
Votre esprit en moi que vous avez crus asphyxié
Parfois par d’autres occupation et personnes
N’est que calomnie même si cela parfois étonne

 

Je ne suis pas inquiet quant à votre véritable avenir
Je sais à quel point parfois je peux vous voir souffrir
Bien que je veuille consoler par amitié tout un chacun
Je n’arrive parfois pas à combler vos petits chagrins

 

Vertus solitaires

Vertus solitaires

La solitude qui pèse chaque jour
Mes erreurs sont sans retour
Mais tout les espoirs sont permis
Je pleure je ris, je pleure je vis

Comment oublier ces moment passés?
Je suis née à présent pour aimer
Vos délices ne sont plus mien
Je ne suis à vos yeux, rien.

Du fond de mon chagrin du lundi
Mes mots sont effacés, en oubli
Je tire les révérences d’antan
Chacun désormais prend son temps

Vos yeux se sont fermé cette nuit
Je suis tombé au fond de ce puit
Personne n’achète amour ou amitié
Mais le construit avec volupté

Solitude

Solitude

Solitude d’antan , solitude d’avant
Un requin sur mon ilot blanc
Mon visage est maintenant fermé
Je ne fait plus vraiment l’unanimité

Comme un poisson pris dans un filet
Je ne voit plus de grande sincérité
Je parle au vent qui me souffle
Qu’il a pris un sacré coup de moufle

J’oublie les vertus du de la vie, du rire
Et vous continuez peu à peu de me salir
Égoïstes, pleins de préjugés idiots
Je relève la tête et ne dit mot

Je ressent une vrai et grande amertume
Pas une fausse et petite solitude
La vie est faite avec un accordéon
Le début du renouveau n’est plus très long

Forces et Faiblesses

Forces et Faiblesses

Il n’y a pas de petites solitudes
Il n’y a pas de petites peines
Il n’y a pas de petites veines
Il n’y a pas de mauvaises attitudes

Il y a l’amitié, ses forces et faiblesses
C’est là que souvent le bat blesse
Et c’est ainsi que je jacasse
Toutes ces pensées qui me tracassent

Et être dans la peau de l’ignare
Sans vergogne, être hagard
Etre fou, sans assurances
Et assurer les doléances

C’est ainsi que se résume la continuité
Une vie étoilée d’éternité
Un carburant sauvage
Qui vous donne grand ménage

Solitude

Solitude

La solitude, c’est là où il n’y a désormais personne
C’est cette attitude que les humains parfois jalonnent
C’est ce vide intérieur, avec le seul cri du désespoir
C’est ce plein extérieur, qui nous emmène vers la gloire

C’est un manque qui tarit les mortels
C’est ce pincement qui fait peur
Car dans cette société elle veut être belle
Et être reconnu des siens, mais elle se leurre

Cela peut être aussi un choix
Et pour tout avouer c’est le mien, le sien,
Et pourtant nous ne sommes pas des moins-que-rien
C’est un art de vivre, enfin je crois.

Seul

Seul

Seul je suis
Seul je vis
Seul je ris
Seul je lis

De fausses excuses bidon je les connais
De fausses raisons mais je les ai dominé
Pas de ma faute si à chaque fois on me déçoit
Pas de ma faute si chaque « Ami » fait sa loi

Être seul avec soi-même ne peut plus faire mal
C’est comme s’il fallait faire son deuil
Et se dire que maintenant c’est normal
Et se dire peut-être qu’ils m’en veulent

Les mots  » Ami » et  » Amitié » sont bannis
Langage à proscrire , c’est bon merci
Mais ne vous inquiétez pas je reviendrai
De ce long champ d’été

Edit : Certaines personnes doivent se sentir visées mais pas toutes. Pas toi marion, pas toi. Ni melissa, mais certaines personnes. Je parle ici de l’utilité que j’ai pour certaines personnes qui me prennent  pour quelqu’un d’utile mais pas pour leur ami.
Amicalement.