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Douleurs

Douleurs

Une seconde s’épuise chaque jour
Dans l’antre de la flamme qui me traverse
Cette douleur continue qui me parcoure 
Je passe sous les gouttes de l’averse

En silence, cette si belle souffrance
Qui m’anime du crépuscule au coucher
Je pince ma chair par vengeance
Pour ne plus chaque jour pleurer

J’attendrais encore demain ton retour
Toi l’impercetible mal qui me ronge
Je veux t’oublier tout les jours
Je tente de passer l’éponge

Je m’abreuve de larme de fatigue
Je perds l’espoir dans ma lutte acharné
Le dieu douleur contre moi, se ligue
Les traits malades et tires

Les douceurs

Les douceurs

Toi, qui croit toujours en moi
Ma si belle amie, que j’ai croisée
Ce jour tant enneigé de février
Cette amitié de malheurs et de joie.

Je traverse les épreuves de douleurs
En écoutant ton corps et ton cœur
Quand je suis ce roi qui ne va plus
Vous êtes une reine cachée dans ce talus

Nos solitudes transformés en forces
Nos faiblesses gravés dans l’écorce
Nos maux parfois incompris
Il ne reste que l’amour d’un ami.

Ces insaisissables mots qui font du bien
Ces attentions, les paroles du quotidien
Cette main tendue par la vie
Qui vous font croire que tout n’est pas fini.

Mes rêves

Mes rêves

Je rêve du monde de demain
Inaccessible et si lointain
Ce monde ambitieux et impossible
Ces fantasmes sont si terribles

Mes espoirs sont des roses fanées
Qui périssent si souvent pendant l’été
Je suis un enfant toujours aussi perdu
Au milieu d’un champs de mine en vue

Je me suis jeté dans la marre
Pour effacer mes cauchemars
Et revenir en dignité, arme au poing
Combatif comme au premier matin

J’ai parfois perdu tout espoir
Face aux douleurs subies chaque soir
Chaque jour je souffre à mon tour
L’arc en ciel de l’amitié vole à mon secours

Larmes séchées

Larmes séchées

Mes larmes ont tant coulées
Tandis que tu était contre moi
Ton silence m’a mis en émoi
Je n’ai plus rien à donner

Il n’y a plus d’envie ce soir
Sauf à venir sauver ce soldat
Qui a perdu la bataille de la joie
Et pense toujours finir au mitard !

Puis il y’a ces tout petits sursauts
Le destin que personne n’a prévu
Qui m’enferme dans ce monde reclu
Pour que je soigne mes légers maux

Je court sans jamais apprendre
Mes yeux vont se fermer à jamais
Comme certains êtres décédés
Qui aux aussi ont tenté de comprendre

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Amen!

Amen!

J’ai tiré ma dernière révérence
J’ai changé la régulière fréquence
Je suis un minuscule grain de sable
Qui ne viendra plus jamais à table

Mon gosier a cracher sa dernière douleur
J’entends d’ici, à petit pas, mon exécuteur
A son approche je prend par la fuite
Ma géhenne n’est plus vraiment traduite

J’ai perdu tout sens de la réalité
Me suis pourtant maintes fois accroché
Je n’ai vu approcher ma sentence
C’est a présent une grande pénitence

Je ne suis rien sauf à vos yeux un idiot
Rien à faire je n’ai à votre égard que mot
Je suis seul, triste et à la fois tendus
Mon isolement radical est parfois aigus

Amen!

Crève

Crève

Crève et tait-toi
Crève et soit le roi
Crève et aboie
Crève il n’y a de loi

Et tous les jours l’on meurt
Sans la population, sans rancœur
Me voilà plein de douleur
Me voilà plein de douceur

Un petit sourire, parfois un petit mot
Et tout sort du quotidien, du lot
J’en suis complètement sot
Il n’est jamais trop tôt

Rangez votre fierté, votre orgueil
Je vous ai maintenant à l’œil
Ne faites pas devant moi semblant
Donnez un peu de votre argent

Vie,Amitié & Amour

Vie,Amitié & Amour

Vie, amitié et amour! Au secours!
Je vole de mes propres ailes
Et je les trouves très belles
Oh vie! Oh Amour!

Mes soleils rayonnent sur ma plaine
Mon étoile illumine mon avenir
Et ma galaxie m’ouvre le sourire
Qu’est ce qu’ils ont de la veine!

Elles ne se doutent de rien
Mais les surprises sont des lois
Comme un ami vous veut du bien
Comme un amour d’autrefois

Merci en cinq lettres ne suffisent pas
Le mot n’est point à la hauteur
C’est plutôt un souffre-douleur
Et tu t’en va..

Lumière!

Lumière!

Colère, lumière, colère, tempère!
A l’instant où toujours j’espère
Ce bouillon de violet
Peut devenir corde, c’est laid

Capable de peu je suis
Je ne peut attraper du millepertuis
Je récolte les orties
Et il y’a un coeur de moins dans la vie

La douleur auquel je succombe
n’est rien comparé à une tombe
C’est ainsi quand on est cloporte
On ne peut plus rien faire de sorte!

Perdu

Perdu

Perdu dans cette brume
Enfoncé dans ce bitume
Ma vie n’est pas une fleur
J’ai plutôt peur

Dans ce brouillard intense
Je vois une porte , un passage
Dommage, c’est un mirage
Et je pense, et je panse

Pour refermer cette douleur
cette amertume, ce chagrin
Qui vient, qui s’achève le matin
Et je crie avec mon cœur

Oh! ombres machiavéliques
Oh ombres anarchiques
oh ombres magiques
Vous êtes artistiques

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre