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Bécassine

Bécassine

Je suis ce rêveur, ce bel idéaliste
Au point de rosée, j’ouvre une fleur
Aux mille et unes magnifiques couleurs
La joie s’empare de mon air triste

J’effleure, si haut,dans la montagne
Ce chalet bleu ciel que je regagne
Cherchant un restant d’oxygène
Dans cet air pollué et obscène

Imaginant ces prairies joyeuses
Traversées par des bécassines heureuses
Tenant alors le diamant de la vie
Dans leurs becs à présent si affaiblis

J’ouvre le monde des possibles
Et referme les vérités impossibles
J’ai arrêté les calomnies qui font souffrir
Je ne pouvais plus vraiment en rire

Le départ

Le départ

Le départ, précipité et si soudain
L’inattendu s’est produit aujourd’hui
J’ai pris mon unique bagage, je suis parti
J’ouvre un boulevard sur ce grand chemin

Seul maintenant, je suis guidé par mon instinct
J’ai quitté ce cocon, ce nid de petites abeilles
Pour éviter d’étouffer, d’expier dans mon sommeil
J’allume ces bougies vers ce joli ciel cristallin

Tes quolibets à mon égard ont ému toute l’assistance
Ton ombre et ton esprit sont tes dernières protections
Je dois te quitter, pour ces milliers de petites raisons
Je ne suis plus cette personne, que tu crois en errance

Je ne te reconnais plus, toi et tes milles élucubrations
Je n’aime plus vos ordres et centaines de petits désirs
Je m’envole vers d’autres destins, celui des plaisirs et des rires
Tu a perdu, je ne m’écroulerais plus comme un avion

L’escorte

L’escorte

Je t’écoute et chaque jour t’escorte
J’ai volé sur le dragon de la malédiction
Soufflant cet air brûlant sur ma main morte
Ma dignité perdue au pas de ta porte

J’ai épousé la liberté d’entreprendre,de voyager
Ces milliers de roses envahissent ton espace
J’ai épousé l’amitié, nous avons eu l’amour
Ces mésanges surplombent nos terrasses

L’amour, ce vaste champs des possibles
Qui vous chamboule, vous entraîne
Devant cet arc en ciel si paisible
Soutenant ces grives qui se drainent

J’aperçois au loin l’avion du désir
Qui décolle et prend son envol
Je suis resté sur terre, sans sourire
Perdu dans ce train du Cévenol

Le Couvent

Le Couvent

Les sœurs et moines vivent au couvent
Exclus et reclus, serrant les rangs
Enfermés dans le monastère de la vie
Soudain des doutes ils ont émis

Les chanoines suivirent l’éternel mouvement
Dans les cris, la colère, la rage, le sang
Tentant de libérer toute amertume et tristesse
De cette vie ecclésiastique sans largesse

Ils oublièrent leur plus grande inculture
Pour faire baver les plumes et ratures
Pour écrire le livre de leur médiocre vie
Pour oublier à quel point ce ciel est si gris

Les nuages se sont désormais découvert peu à peu
Pour laisser place à une atmosphère gris-bleu
Pour emprunter le chemin d’une certaine renaissance
Et voir à nouveau cet arc en ciel qui danse

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Petit Malicieu

Petit Malicieu

Petit malicieux, prend le creux de ma main
Toi qui un jour m’a réveille au petit matin
Je n’ai rien demandé , tu à volé mon cœur
De rien, tu est devenu tout, sans aucune erreur

J’ai crû rêvé et je ne t’ai pas vu arrivé
Je suis soudainement sous ton charme tombé
En quelques heures tu a réveille mon instinct
Je croit si soudainement à notre destin

La nuit est venue si souvent dans mes relations
Et le jour s’est éclairé, tu m’a fait une ovation
Le soleil s’est levé, et nous sommes main dans la main
Je te vois toi et tes yeux comme au petit matin

Tu pourras dormir comme une étoile qui vient de naitre
Tu pourras courir comme un arc en ciel qui vient d’apparaitre
Grâce à tes mots et ta gentillesse j’ai de l’oxygène, je revis
Moi qui si soudainement était triste et n’avais plus ris.

Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Liberté d’amour

Liberté d’amour

Liberté , tu m’as aimé
Liberté , je t’ai retrouvé
Toi qui a pris les ronces
Et qui m’a dit renonce

Mon ciel gris se découvre
Mon étoile atterrit
Et avec toi je revis
Ça y est, je te trouve

Mon coeur t’a dit oui
A présent je te suis
Aimons nous avec différences
Dans la plus totale inexpérience

A quelqu’un d’unique

A quelqu’un d’unique

Ecrit par Nathalie De Oliveira

Oh toi amour,
Depuis ton grand retour,
Je me sens toute légère,
Comme une paupière

Avec toi tout n’est pu de même
Je sais que je t’aime
Quand je te vois je me sens pousser des ailes
Tel un oiseau dans le ciel

Tu ressemble à un soleil
Qui m’émerveille

Quand je pense à toi tout bas
Lorsque tu n’es pas la
J’imagine qu’on est deux
Et que nous sommes heureux

L’étoile

L’étoile

à Miwi.

Quand ton cœur est vide
Je le remplit d’amour acide,
Quand ton cœur est plein,
je le croque à pleine main

Quand ton âme est déserte
J’ose la rendre toute verte
Quand ton âme est remplie
Je prend, je mange la vie

Si ton visage n’est plus étoile
C’est que tu as mis ton voile
Mais tes yeux pétillant de bonheur
Ne comptent plus mes heures

Ma lumière brille toujours
Dans ton noir sans amour
Dans tes tentatives sans retours
Toi à qui je fait la cours

Un jour le soleil se lèvera
Et la beauté du ciel tu apercevra
Les nuages s’échapperont à ton passage
Et s’éclairera ton visage

Suis ton instinct , tes envies
Joue, amuse toi avec la vie
Vient , vient mon petit chagrin
Que tes larmes soit séché sur mes mains

Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Simplicité

Simplicité

A mon cali,

Simplicité, volupté, amour, amitié,
Des étoiles brillent dans cet univers
A ton regard je ne me sent plus sur terre
Touts ces mots, cette folie , pour l’éternité

Ta présence, ton regard me font craquer
Ton sourire affable me plait
Pourtant le destin nous sépare de tout
Et même sous la couette je devient fou

Et tes gestes plein de charme
Ne sont pas frivole
Et je n’aimerais qu’on me les vole
Tu m’a mis en alarme

J’idolâtre ton visage
Qui devant moi est une beauté
Toi qui représente l’air pur, la sainteté
Non, tu n’est pas un mirage

A ton passage, l’univers est à toi
La lumière, de tout coté, jaillit
Un arc en ciel te sourit
Ta présence me laisse sans voix

Mon attachement pour toi est infaillible
Et seulement dans ton cœur elle est lisible
Main dans la main nous sommes
Âme dans l’Âme nous continuerons…

Pensées

Pensées

à Cali, qui se reconnaitra

Pensée, amitié, pensée , volupté
Quatre mots pour dire aimer
Aimer de manière extraordinaire
Comme une vipère

Le rose et le bleu se marient
Tel l’étoile qui défile
Tel une couverture qui s’enfile
Et tu me réchauffe , amie!

Aujourd’hui, à ta vue, le ciel s’éclaircit
Et le soleil s’ouvre comme ton sourire
Et tes yeux pétillent d’espérance, de vie
Et tes larmes coulent comme la cire

Tout ces jolis et recherchés mots pour toi,
Pour te dire a quel point l’amour fait loi
Que ton regard est plus important que les autres
Que ton bonheur est ma foi.

Nuit

Nuit

Il était une nuit où tout était clair
Un jour où tout était sombre
des jours de l’indécence
Moi qui te tends ma main

toi qui n’as pas su la prendre
Mais qui peut encore apprendre
Dans le coeur et dans l’esprit
Que tes pleurs ne sont pas la vie

Et tout ce ciel noir étoilé
S’envole dans l’au-delà
S’amuse moins ici que là-bas
Toi, ma petite rosée

Par dessus la raison
Je ne puis cesser d’aimer
Mon doux chagrin, ma saison
je suis brisé

Tombée du ciel

Tombée du ciel

Une étoile accrochée dans mon univers
Qui file à tout vitesse, dans l’air
Frais de mon océan, de ma tendresse
Pourvu que ces mots soient vieillesse

Je te tends mes deux mains
Ce n’est qu’un petit rien
Qui fait un petit tout
Qui fait que ce soit nous

Et si un brouillard apparaissait
Je ferais pour qu’il s’éclaircisse
Et tes larmes, tes cris, je viderais
Et ton cœur, ton alarme, reste lisse

Et ces termes pour dire que l’amour n’a pas de mots
Pour crier qu’il est là, qu’il reste
Même si parfois il se comporte en idiot
Il ne peut comme cela, retourner sa veste

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Deux êtres

Deux êtres

Dédié à ma meilleure amie et son petit ami

Deux êtres s’envolent dans le ciel
Deux êtres si lointain
Qui pourtant d’eux prennent soin
Ah! Que la couleur vienne à eux, lune de miel

Aucun regret, aucun scrupule pour des gens que j’aime
Ils méritent ce qui leur arrive
Rien de plus beau que ceux qui s’aiment
Et moi, fier de leurs mérites, et qu’ils vivent!

Je peux le dire celà aura été sans faille
Bien que certaines choses soient encore retranchées
Dans leur esprit,  j’ai confiance,  qu’ils aillent!
Plus ils en seront heureux, meilleur mon sourire sera affiché

Qu’ils deviennent roses ou lilas,
Tulipes ou résédas
Que dieu les bénisse
Pour l’infini, l’éternité. Restez lisse!

Souvenirs…

Souvenirs…

Il est resté dans nos cœurs, même quand il était vivant
Nous avons fait des erreurs, mais celle fut gravissime
Et nous ne pouvons pas revenir comme avant
Toi qui nous a appris des choses richissimes

Nous ne t’avons jamais oublié
Et moi aujourd’hui j’écris en ton souvenir
En ces 3 ans qui sont passés
Toi qui aimerais lire ce que je suis en train d’écrire

Tu as été et tu es encore notre étoile
Qui brille dans le ciel
Tu as fait de nous monts et merveilles
Continuons maintenant à hisser notre voile

Loin de là

Loin de là

Loin de là, loin de moi
Viens par ici mon extraordinaire
Toi qui fait partie de ma sphère
Je suis loin de ton émoi

Et toutes ces choses roses
Et le lilas sur ta douce figure
Et cet oxygène morose
Contient ton air pur

Ta tendresse regardée
Dans ce ciel d’été
Est comme ma vue
Sur le boulevard ingénu

Je cours, tu me fuies
Je te fuies, tu cours
Et je t’attrape au retour
Allez continue, je rie