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Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Sans fondement

Sans fondement

Un jour si loin, ce jour certain
Où je rencontre une personne intelligente
Qui est présente, mais jamais ne se vante
Et parfois quelques-uns se sont cru malin

D’affabuler certaines pensées, certains mots
Chaque fois sa présence, j’ouï des insanités
Par des personnes, ami sans envie ni volonté
Que de semer panique en relatant ces propos

Ces palabres pour dire à quel point la vulgarité
De bon nombre d’âme me semble sans fondement
Que je demande de me respecter fermement
Et dire à quel point ne confondre amour et amitié

Qu’aucune fille ou garçon ne devrait subir
Des insinuations libidinal à son encontre
Qu’un garçon ou une fille peuvent faire rencontre
Sans nécessairement l’un ou l’autre n’être éperdu

Les bulles

Les bulles

Les bulles de la vie mon amie
Je te tend la main, petit matin
Sans ton avis je ne suis rien
Dans mon livre ouvert tu lis

A mes côtés tu es et restera
Sans pensées autre que d’amitié
Et m’ont accueilli tes bras
Qui ont réussi à trouvé la clé

Une étoile filante est découverte
La beauté de ton cœur m’émoustille
Grâce à ton verbe j’a grandis
Je suis à présent moins alerte

Tu recouvre mon cœur entaillé
Par tant de blessure, de manque
Qui n’avais plus d’avidité
Je devient peu à peu saltimbanque

Creux de la vie

Creux de la vie

Oh amour , oh ma tulipe, vient!
Quand mes yeux approchent les tiens
C’est le tourbillon de la nuit
C’est le creux de la vie

Ton rayon illumine mon ombre
Ta lumière assomme ce coin sombre
Ton univers est ma galaxie
Ce big-bang c’est ma vie

Que ce lointain esprit l’entende
Tu est ma raison d’être
Qui reste avec ces dons et ces failles
Mais rien de bien important qui ne se vaille

Ton esprit ouvert m’est rare et chère
Et mon cœur vois tout vert
Comme si rien d’autre n’existait au monde
Et je n’ai plus d’idées vagabondes!

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse, oh toi qui m’a porté bonheur
Amitié des temps certains, unions des êtres
Fou rire, bonheur, sourire, toujours à la bonne heure
Ca s’en va, ça revient, p’tetre

Et ces amitiés sont uniques en leurs temps
Elles virevoltent avec nous, dans la tornade, le vent
Tandis que certains, d’autres s’aiment
C’est notre monde que chacun à son envie mène

Et moi, j’ai vécu des choses extraordinaires,
Que je n’arrive même plus à en trouver mes vers
Et pourtant je m’efforce de croire que c’est vrai
Qu’il n’y aucune autre vérité

Que celle de l’amitié, de la véracité des individus  
Et je ne suis pourtant pas utopiste
Et encore moins je ne crois au christ
Et je pense à ces gens, sans réseau,dans la rue

Ceux-là au besoin de confort
D’un bon compagnon de route
Qui a besoin d’un voyage hors bord
Je voudrais lui offrir au moins une voute…

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Ce qui nous grandit

Ce qui nous grandit

Je t’ai capturé tes yeux
Je t’ai touché les cheveux
Et dès que je t’ai vu
J’y ai tout de suite cru

Nous avons parlé orientation
Nous en avons dit tellement long
Mais nous tirons notre épée
Celle qui nous emmène dans l’épopée

Vous avez rigolé
Vous ne l’admettez pas
Vous essayez de mettre des bâtons
Pour voir si ça va tourner rond

Tu ma dit laisses-les!
Tu m’a dit restes gai!
Tu as vu ce désarroi
Tu m’as mis en émoi

Ils se battront
Ils resteront
Ils diront à la terre entière qu’il s’aiment!
Ils le feront valoir avec la plus grande peine!