Archives de
Category: Non classé

Évanouis

Évanouis

Évanouis, dans mes pensées, tout l’été
Je suis cet homme au regard perdu
Dans ces chemins, ce sentier battu
J’ai cherché la sortie, je me suis égaré

J’ai pris une boussole, direction nord
Je me suis retrouvé, sidéré, à l’ouest
Sur ce chemin de ronce, sans ma veste
Blessé, je suis resté hagard, dehors

Pétris d’angoisse, attendant mon sauveur
Si faible physiquement, le moral en berne
Les yeux ouverts, épuisés, plein de cernes
J’ai pleuré, souvent, pendant des heures

L’intensité de ce vide qui s’empare de moi
Remplissant l’esprit de farfelues questions
Dans ce cerveau si absent, si brouillon
Qui appelle à l’aide, il me semble, je crois

Ma bulle

Ma bulle

J’eclate ces mille et une bulles
Dans lesquelles je suis enfermé
Du réveil matinal au tardif couché
Tout explose dans mon esprit ridicule

Je tremble comme une feuille morte
Il n’y a rien derrière mes envies si forte
Ma colère est durable, je suis à bout
J’ai perdu ma douceur, mon marabout

Mon esprit est ailleurs, cotonneux
Je suis sur le nuage du désespoir
Qui s’échappe le soir, chaque fois si tard
Je ne suis ni heureux ni malheureux.

Je m’echarpe avec mes vieux démons
Je suis pétrifié par l’avenir sans raison
J’ai peur, tout va si vite, à présent
Je suis mort, si loin maintenant

La bascule

La bascule

Mes souvenirs, mon histoire, mes folies
L’horloge avance, sans faillir, sans compter
Je brûle, comme une bougie, sans me consumer
J’atteins la dernière marche de ma vie

Au sommet de la gloire, soudain, je bascule
Ce présent, absent, sans espace, sans virgule
Où plus rien ne fait jouir le moindre sens
Où je perds tout, ma passion, mon essence

En escaladant les échelons de ma réussite
J’ai discerné la peur, l’hypocrisie, mon ennui
Je dégringole et me retourne si fort, si vite
Je poursuis cette ombre de la nuit.

Je me retourne, fuyant maintenant le passé
Courant vers un avenir peu clair et incertain
Qui change, chaque jour, à chaque rosée du matin
Animant mon espoir, mes lueurs de l’été

Rêveries

Rêveries

J’escalade chaque seconde la tour de Pise
Je me suis enfui sur ce bateau de Venise
Naviguant jusqu’aux confins de la Seine
Je prends le temps, je conjure mes peines

J’absous maintenant tous nos péchés
Je réagis aux passions du passé
La lumière aux mille couleurs apparait
Le volcan Colorado s’est déchainé

J’aborde ce sentier si périlleux
Trébuchant sur cet arbre mystérieux
Mes palabres deviennent sibyllines
Mes maux cachés dans la bruine

Cette nostalgie, le fruit de ma rêverie
Me dévore, chaque seconde, la vie
Assiège mes pensées du moment
En plein sentiment d’égarement

Petite fée

Petite fée

Petite main petite fée
Celle de ma lueur d’été
Tu arroses notre jardin secret
Celle de notre belle amitié

Ce fut un beau jour de printemps
D’une année où s’échappe le temps
Où tout à démarré par l’élégance
De quelques mots, une simple urgence

La bienveillance dès le premier jour
Où l’insolence de ton verbe, ton humour
Nous a rendu si soudainement le rire
Le plaisir d’aimer, celui de vieillir

Si pétillante, sur cette île au trésor
Où ton cœur nous accompagne dehors
Tu as ma vie, une étincelle, une merveille
Chaque jour à tes côtés, à ton réveil

L’oiseau de la liberté

L’oiseau de la liberté

Tu es partie si loin, si longtemps
Emmené par la tempête, le vent
Sans crier gare, tu m’a laissé
Les années se sont écoulées

L’hirondelle d’été est revenue
Comme au jour ou tu as disparu
Le même rire qui anime le matin
Les memes mots, les mêmes chagrins

Tu es l’oiseau de ma liberté
Un harfang des neiges l’été
Je rêve, je vole c’est incensé
Mon cœur est tant animé

Le silence

Le silence

Ce soleil, si loin, m’éblouis.
Je joins mes deux mains, au paradis.
La solitude m’envahis, dans le noir
Je cherche la lumière du dortoir

Le silence de la nuit qui m’oppresse
Avec cette douleur qui m’agresse
Le sommeil s’absente chaque soir
Le jour se lève, sur une note d’espoir.

Ces agressions parfois m’oppriment
J’oublie mes libertés dans l’âbime
Ecrasé par la force des contraintes
Je m’arrache de toute cette étreinte

Celle qui m’accable et m’afflige
Celle que j’oublie, que je néglige
Qui me fait souffrir, chaque heure
Au point où, à chaque instant, je meurs

Le temps des défis

Le temps des défis

Dix annnées se sont si vite consumées
Dans un incroyable désordre, le chaos
Essuyant des revers, derrière les barreaux
La guerre de l’argent était alors déclaré

Comme un oiseau pris au piège du chasseur
Je me débattais chaque nuit pour décoller
Dans mon carcan, perdu, englué comme jamais
Regardant l’horloge du futur à toute heure

Les images de ma vie défilent si vite
Toutes ces nuits où le suicide m’a traversé
Les mises au point de mon esprit ensanglanté
Tout était perdu, même Aphrodite.

Rencontrant la fée, mon fardeau s’est allégé
J’écoute ce si tendre et pasionnant pinson
Qui siffle comme dix merles, en chanson
Mon esprit étourdit se met à somnnoler

Je me retrouve apaisé, prêt aux sacrifices
J’écoute la raison, me laisse cornaquer
Par le guide de l’espoir, mon être aimé
Animé pour toujours, par mes complices

Les passions

Les passions

Vivre sa passion, sans penser à sa raison
Ne rien dire, s’écouter, s’épanouir
Aimer l’autre, comme une obsession
Se laisser aller, et essayer de jouir.

Faire étinceler les bonheurs de l’instant
Rire à gorge déployé, s’émoustiller
Du moindre rien qui anime le moment
De l’amour, de l’amitié, qui est si vrai.

Empêcher les leçons de courtoisie
Interdire les mauvaises espèces
L’oiseau de mauvais augure, votre ennemi
Le corbeau qui vole votre délicatesse

Aimer, pour un jour, aimer, tous les jours
Pour ne jamais avoir de mauvais sentiments
Tel que haïr, détester, jalouser pour toujours
Aimer l’autre, et prendre tout son temps.

Vertige et amour

Vertige et amour

J’ai le vertige de notre amour
Ma main caresse tes belles douceurs
Qui amènent cette vague de bonheur
Du haut de cette falaise du jour

J’effleure ton visage si poli et si lisse
Dans ce tourbillon de sensations
Je fais face aux tempêtes des émotions
Si aiguës qu’elles s’évanouissent

Cette brise fraîche des dunes t’emeus
Tu virevoltes dans ce sable si fin
Admirant la belle rosée du matin
Nos yeux s’enlacent peu à peu.

Ayant quitté chacun nos ports
Nous ne sommes alors qu’à mille lieux
De nous retrouver maintenant à deux
De découvrir ensemble notre trésor.

Rires et solitudes

Rires et solitudes

Je m’envole, prends de l’altitude
Pour combler le besoin de solitude
Réfléchir aux douceurs de l’avenir
Pour respirer et éclater de rire

Je grave la pierre du temps futur
Dans ce flan de montagne si pur
Je lève mon drapeau au sommet
Qui traverse nos âmes échouées

Les nouvelles me minent parfois
Je ne pense plus, j’oublie mon émoi
Quand cette lumière blanche m’eblouit
Mon corps et mon esprit s’évanouissent

Un nouveau monde s’ouvre à présent
Celui du bel espoir et du temps
Je déclenche l’avalanche du bonheur
De la société sans erreur

Le cyclone

Le cyclone

Les merles sifflent sur les lointaines contrées
Distribuant les perles de l’humanité
Admirant tout ces jolis bleuets
Qui se marient si bien dans les prés

La nature s’envole soudainement
L’aura apparaît, si beau et si blanc
Attaché à ce bel arbre tant fleuri
Rien ne me résiste, ni l’orage ni l’ennui

Ce cyclone de mots qui me dévaste
Parlant avec l’esprit enthousiaste
Perdu dans ces nobles pensées
Que j’observe dans ce petit jardinet

Emprisonné dans ce corps défaillant
En feu chaque jour tel un volcan
Cette lave brûlante et invisible
En éruption soudaine et imprévisible

Avenir 

Avenir 

Ton avenir s’est envolé aujourd’hui 
Tu doutes de tout, déçu de la vie 
Tu luttes pour ton futur destin 
Pour retrouver ce grand chemin 

Tu es perdu au travers des cieux 
Ton repos, ce bonheur malheureux 
Tu te réveilles et aussi te rebelles 
Tu fuis ces humains, ce monde cruel 

Ce tonnerre violent qui gronde 
La pluie, le brouillard, ces ombres 
Qui cachent tes belles espérances 
Qui révèlent tes grandes errances 

Soutenu par tes proches tu t’envoles
Tu te frayes une route, tu décolles
Tu es le pilote au milieu du tarmac 
Le mieux placé pour être d’attaque

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Le cœur et l’esprit

Le cœur et l’esprit

Chère Alais,

Toi, la fille au grand cœur apaisé
Toi, parfois en grande difficulté
Je veux te dire que tu est l’amie rêvée
Qui m’a compris, m’a aussi aimée

Nous avons la fusion des esprits
Une relation totalement aboutit
Tu a l’esprit critique et établit
Tu est un bonheur, tu fait la vie

La rosée du matin est ma pensée
Pour toi, ton sourire, ton amitié
Je voit ce bateau qui est arrimée
Qui est solide, cadenassé

Tu éclairci parfois mon brouillard
Et souffle sur les blizzards
Qui nous surprend parfois par hasard
Alors qu’il fait nuit, qu’il se fait tard.

 

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

Imparfaitement Votre

Imparfaitement Votre

Poésie (pas réussie) …

La pine des arbres pique parfois
Étant des humains imparfait
Qui ont l’amour toutefois
Nous et nos petits méfaits

Je découpe ma grande branche
Sur laquelle je suis assis
Et plonge dans l’abîme blanche
Soudainement nous n’avons ris

Je garde mon esprit et ma maîtrise
Étant donné mon amour à la vie
Pour ne pas ressentir d’emprise
Sur les caractères habile d’amis

C’est le va et vient quotidien
Du déjeuner,goûté, soupé
Je suis reveur chaque matin
Et jamais vraiment d’inimitié

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Quatorzes Roses

Quatorzes Roses

Quatorze rouges roses éclatantes
Je suis parfois en dilettante
Parfois avec mon coeur en fer
Forgé, qui es la et qui espère

Devenir une âme en diamant
Je ne suis plus ce pantin errant
Des étincelles qui jaillissent
Et qui m’emporte avec les hélices

Tombé dans l’arbre de l’amour
Celui qui naît, qui meurt, un jour
Je suis accroché en haut des branches
Pour éviter ces mares intenses

Notre vie parfois ingrate et injuste
Nous amène ce soleil vétuste
Dans ce monde composé d’imparfait
D’où les êtres sont aussi née

Je fléchi toute mes grandes positions
Cela ne sera plus très long
Mon physique s’essouffle un peu
Moi qui suis a présent à mille lieu

Voluptés du Travail

Voluptés du Travail

Les guépards sont parmi nous
Dans ce monde composé de loup
Les projecteurs braqués sur toi
Te mette dans tout tes émois

Tes rêves du futur c’est maintenant
Prend les choses en main, présentement
Je suis là et te susurre ma voix
Qui te fait rire, en plein emploi

Nous sommes tous imparfait
Nul ne se prévaut d’amitié
Qui est entièrement piégée
Simplement trafiquée

Les choses les plus douces
Ne sont dans l’âme des ours
mais plutôt dans les pinsons
Ceux qui ont, à force, raison

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Les vertus de la vérité

Les vertus de la vérité

Quelques vertus et agaçantes vérités
Sont toujours autant de bienfaits
Pour toi le peuple et l’ami soumis
A ton pouvoir et à tes idéologies

Nous sommes les esclaves de la trahison
Suis moi je te fuit, fuit moi et saute du pont
Je vous ai suivi, aimé, détesté, confié, trahi
Je suis l’être avec qui vous avez tant ri

Celui des bonnes blagues qui sont gentilles
Enfermé sur ses propres pensées de la vie
J’ai soudainement enfermé le grand soleil
Comme si j’avais mis mon avenir en veille

Quoi que je fasse, où que je soit à présent
Je sais mener ma vie avec brio , présentement
J’ai le sentiment d’un partage équitable
Mais personnes n’a encore compris ma fable

Petit Pinson

Petit Pinson

Petit pinson attend moi
Petit pinson ouvre tes bras
Petit pinson regarde la bas
Petit pinson tu t’en va…

Tu est l’eau qui s’amoncelle
Dans une rivière tout aussi belle
Les vagues de notre amour
Détruisent tout les gros vautours

En admiration devant ton élégance
Mais aussi devant tant d’éloquence
J’ouï dire que mes absences
Te met dans une grande errance

Tu brille par ton sens du verbe
toi qui n’est pas malherbe
Mais qui ressent le mal-être
De mon âme, mon paraître