Diablesse
J’ai lissé ma main sur ton visage
N’oubliant jamais ta belle image
J’ai épousé nos plus jolis désirs
Et animé l’amitié sur l’autel du rire
Je rugis les doux maux d’un lionceau
Te câlinant tendrement à Saint Malo
Mes palabres te sont si rassurantes
Ta voix de diamant est si vibrante.
Ta vague de douceur qui m’assoiffe
Ce vent d’atlantique me décoiffe
Nous nous sommes parfois échappés
Un moment, dans ces fines dunes sablés
La passion se transforme peu à peu
Et l’habitude se relais comme un jeu
Tu scintille comme au premier jour
Nous ne changerons jamais l’amour.