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Diablesse

Diablesse

J’ai lissé ma main sur ton visage
N’oubliant jamais ta belle image
J’ai épousé nos plus jolis désirs
Et animé l’amitié sur l’autel du rire

Je rugis les doux maux d’un lionceau
Te câlinant tendrement à Saint Malo
Mes palabres te sont si rassurantes
Ta voix de diamant est si vibrante.

Ta vague de douceur qui m’assoiffe
Ce vent d’atlantique me décoiffe
Nous nous sommes parfois échappés
Un moment, dans ces fines dunes sablés

La passion se transforme peu à peu
Et l’habitude se relais comme un jeu
Tu scintille comme au premier jour
Nous ne changerons jamais l’amour.

Perdue de vue

Perdue de vue

Perdue de vue, éloigné par la vie
Je regrette l’absence de mon amie
Disparue, j’ai oublié ta douce voix
Tes paroles qui me mettent en émoi

Tes mots qui m’abreuvent et m’apaisent
Pour que jamais, je ne me taise
Ceux la, s’imprègnent dans mes tympans
Font frisonner mon âme de conquérant

Je suis troublé par cette affliction
Affecté par ton immense déception
Mon ire intérieur m’empêche de geindre
Je n’ai plus le droit de me plaindre

Je suis féru de toi, à chaque minute
Même les jours des grandes disputes
Je te demande amnistie de mes erreurs
Pour surfer à nouveau sur ton bonheur

Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Les insomnies

Les insomnies

Les insomnies qui reviennent
Qui nous réveillent, qui retiennent
Notre sommeil, au far de la nuit
Je souffle des mots, mes derniers cris

Je caresse ce sentiment d’horreur
Sans jamais ressentir une petite peur
Je cajole cette belle île en mer
Endormi dans les creux de l’enfer

J’ai perdu soudainement ma tête
Dans ce sable et ses alouettes
Les anges sont partis dans la Seine
Dans le brouillard de ce matin blême

Je perd soudainement de ma superbe
Au coin de ce paradis, ce carré d’herbe
Adieu les aurevoirs, adieu les joies
Mon corps tremble, tout en émoi.

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Larmes séchées

Larmes séchées

Mes larmes ont tant coulées
Tandis que tu était contre moi
Ton silence m’a mis en émoi
Je n’ai plus rien à donner

Il n’y a plus d’envie ce soir
Sauf à venir sauver ce soldat
Qui a perdu la bataille de la joie
Et pense toujours finir au mitard !

Puis il y’a ces tout petits sursauts
Le destin que personne n’a prévu
Qui m’enferme dans ce monde reclu
Pour que je soigne mes légers maux

Je court sans jamais apprendre
Mes yeux vont se fermer à jamais
Comme certains êtres décédés
Qui aux aussi ont tenté de comprendre

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

Imparfaitement Votre

Imparfaitement Votre

Poésie (pas réussie) …

La pine des arbres pique parfois
Étant des humains imparfait
Qui ont l’amour toutefois
Nous et nos petits méfaits

Je découpe ma grande branche
Sur laquelle je suis assis
Et plonge dans l’abîme blanche
Soudainement nous n’avons ris

Je garde mon esprit et ma maîtrise
Étant donné mon amour à la vie
Pour ne pas ressentir d’emprise
Sur les caractères habile d’amis

C’est le va et vient quotidien
Du déjeuner,goûté, soupé
Je suis reveur chaque matin
Et jamais vraiment d’inimitié

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

Le sourire de l’amour

Le sourire de l’amour

Le sourire de l’amour, qui vient toujours
Ta voix, ton visage que je regarde chaque jour
Je t’emporte dans ces eaux si claires et profondes
Tu me regarde dubitativement , avec mes idées vagabondes

J’ai vécu et vivrait encore des moments magiques
Qui se font et se défont, tel l’excentrique
Mes yeux pétillent dans l’attente de te revoir
Je pense à tout cet enchantement chaque soir

Comme si mes cauchemars s’était transformé en rêve
Et que soudainement , tout les problèmes tu relève
En les effaçant de ton amour si doux et câlin
Notre alchimie commune nous permet un avenir commun

J’était seul face à un monde cruel et brute
Par nos chemins différents nous atteignons un but
Celui d’être dans la communions de nos êtres
Et jamais ne s’arrête le chronomètre

Les étincelles

Les étincelles

Les étincelles qui scintillent
Qui brûlent et qui pétillent
Je geind* parfois en tes bras
De ton absence, ici et là bas

La mélancolie me traverse doucement
Et atteint mes pensées lentement
Mais mon amour pour toi grandit
Tu donne un sens à ma vie

Partager à deux ce bonheur aujourd’hui
Et nos malheurs demain, je n’ai ri
Je suis émoustillé de t’avoir trouvé
Pour ne plus jamais te quitter

Tu a compris ma détresse, mon alarme
Tout ce raffut, mon incroyable vacarme
Je boit ton bonheur et ton espoir
Dans l’espérance de toujours t’avoir

*geindre : pleurer en ancien français

Les impasses

Les impasses

Madame,

Dans les impasses j’ai entièrement foncé
A mon passage , je me suis détruit et blessé
Assisté au quotidien de votre force et courage
Vous avez trouvé un homme pas vraiment sage

Par le passé je ne fut vraiment raisonnable
Vous n’avez pas jugé cela et êtes affable
Vous ne pouviez voir combien j’étais perdu
Et l’espoir que vous m’avez maintenant rendu

Mon avenir n’est pour l’instant pas radieux
Mais le quotidien nous rend nécessiteux
Certains besoins et envies ne peuvent être comblés
Car la difficulté de gestion doit être mesuré

Ces mots sont pour ma grande reconnaissance
Envers votre bienveillance et votre endurance
Votre volonté de m’éviter les pires méfaits
De la part d’un certain nombre de créancier

Madame, je rend l’hommage aux heures passés
A élucider cette situation si compliqué
A m’écouter, m’entendre, me défendre
A m’admonester, me secouer, me prendre

Pour un être en qui vous avez relative confiance
Ce qui est ni confortable, ni preuve d’aisance
Je saurais madame, malgré les interdictions
Vous faire mes plus grandes ovations

Permettez de combler le supplice de la lecture
De ce texte, de ces courts mots que je triture
Pour vous encourager à ne jamais baisser les bras
Ne pas me laisser tomber, être encore là.

Sentiments de la vie

Sentiments de la vie

Sentiments d’autrefois, sentiments de joie
Je suis de peu de foi, mais toujours là
Je suis l’ami qui rêve, et qui ne désespère
Absent parfois, mais toujours délétère

Mes mots ne sont que ma force et mon avenir
Je n’ai pas toujours su prendre les plaisirs
Et suis parfois triste, dans un monde fou
Qui me met parterre, parfois à genou

Doucement, je remonte cette pente si difficile
Aidé par l’amour, parfois l’amitié, si fragile
Pas toujours très facile, ni docile ni très tendre,
Je suis là a vos côtés, avec vous, pour apprendre

Je suis faible et vous me rendez pourtant si fort
Vous êtes mon hôte, et moi votre invité, j’adore
De cette union il y aura peut être génération
Nul ne peut nous sous estimer, faites votre ovation

Applaudissez à notre regard si étincelant
Soyez présent quand nous serons brillant
Et absent quand vous aurez conjuré notre sort
Mais surtout, faites de nous de beau trésor

Nous ne sommes pas timides, encore moins acide
Nous sommes ouverts au monde, jamais placide
A l’abri de vos méchanceté, nous vous aimons
Il n’est jamais très bon de tourner en rond

La vie a été faite ainsi, et nous sommes deux
Serons nous trois, quatre ou plus, je le veux
Nous ne savons jamais de quoi la vie sera faite
Mais nous irons encore créer ces jours de fête.

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Tendre enfance

Tendre enfance

Tendre enfance, tendre adolescence, difficile survie
Je t’ai aimé, traversé des difficultés, tu m’a surpris
Tu m’a maudit, m’a honnis, m’a totalement détesté et ignoré
Je t’ai écouté comme un fils aimant, mais tu a violé ma pensée

Cela m’a mis dans une totale alarme, moi qui croyait mentir
Ayant vécu dans l’ignorance avec toi qui si facilement te tire
J’ai osé une certaine insolence mais à mes attentes tu fut sourde
J’ai redoublé de vigilance, tu n’a rien entendu et fait une bourde

J’ai cru que ton absence était légitime et que tu avais de l’amour
Mais vingt-quatre années m’ont permis de voir ce non-retour
Mon tracas maximum fut atteint et tu n’en eu aucunement conscience
Je suis et reste blessé par une attitude délétère auquel tu ne pense

J’ai décidé de prendre en toute quiétude ma vie et mon destin
Et me suis promis de ne jamais prendre un tel et étroit chemin
Ton esprit est si étroit que tu ne peut plus rien faire à présent
Je suis resté ouvert au dialogue , tu m’as bluffé trop longtemps.

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé

Deux Êtres

Deux Êtres

Nous sommes deux êtres différents
Je vous ai remarqué, sans aucun semblant
Vos gestes , votre amitié est entière
Mais j’ai dit un seul mot, faites une prière

Je ne suis pas l’ami de vos rêves
Et je vous connais vous serez brève
J’ai un coeur avec ses idioties,ses failles
J’eusse trop peur que vous vous en alliez

Mon expression retient d’autre sentiment
Je ne puis pas les livrer maintenant
Vous avez fait bondir mon âme
Vous êtes si gentille madame

Oubliez mes piètres mots , je ne suis rien
Je vous écrit aujourd’hui sans espoir aucun
Peur d’entailler notre unique relation
Que cela perde toutes petite émotions

Mais je ne juge pas votre refus ,jamais !
Je le prend comme une force sacrée
Vos formes ne m’intéresse nullement
Plutôt vos envies, votre tempérament

Sans fondement

Sans fondement

Un jour si loin, ce jour certain
Où je rencontre une personne intelligente
Qui est présente, mais jamais ne se vante
Et parfois quelques-uns se sont cru malin

D’affabuler certaines pensées, certains mots
Chaque fois sa présence, j’ouï des insanités
Par des personnes, ami sans envie ni volonté
Que de semer panique en relatant ces propos

Ces palabres pour dire à quel point la vulgarité
De bon nombre d’âme me semble sans fondement
Que je demande de me respecter fermement
Et dire à quel point ne confondre amour et amitié

Qu’aucune fille ou garçon ne devrait subir
Des insinuations libidinal à son encontre
Qu’un garçon ou une fille peuvent faire rencontre
Sans nécessairement l’un ou l’autre n’être éperdu

Respect

Respect

Respect d’une femme, d’une dame
J’hais les mec sans aucune âme
Sans respect des valeurs humaine
Qui ont la parole hautaine

La femme souffre en silence
Sans jamais aucune redevance
De la vie elles veulent apprendre
Sans jamais vraiment nous attendre

Et leurs réponses sont blafardes
Elles ne souhaitent être bavardes
Et il faut avoir la petite astuce
Elles ferment leurs capuces *

Malgré leurs beauté interne
On ne voit que l’externe
La visage, les yeux, la silhouette
la vie n’est plus vraiment chouette

* capuce : capuche des bures de moines

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Amen!

Amen!

J’ai tiré ma dernière révérence
J’ai changé la régulière fréquence
Je suis un minuscule grain de sable
Qui ne viendra plus jamais à table

Mon gosier a cracher sa dernière douleur
J’entends d’ici, à petit pas, mon exécuteur
A son approche je prend par la fuite
Ma géhenne n’est plus vraiment traduite

J’ai perdu tout sens de la réalité
Me suis pourtant maintes fois accroché
Je n’ai vu approcher ma sentence
C’est a présent une grande pénitence

Je ne suis rien sauf à vos yeux un idiot
Rien à faire je n’ai à votre égard que mot
Je suis seul, triste et à la fois tendus
Mon isolement radical est parfois aigus

Amen!

Les feux

Les feux

à Fatima

Amour en feu
Amitié en jeu
Bonheur en vue
Qui l’eut crut ?

Étincelle de la vie
Mon histoire tu écrit
Tu embrasses la braise
Tu soulèves des falaises

à tes côtés je suis serein
Nos cœurs ne valent qu’un
Soudés pour l’éternité
Reliés à tout jamais

L’au-delà ne nous sépare
Ne nous rend plus avare
Sans aucune affliction
Nous nous en irons

 

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Crève

Crève

Crève et tait-toi
Crève et soit le roi
Crève et aboie
Crève il n’y a de loi

Et tous les jours l’on meurt
Sans la population, sans rancœur
Me voilà plein de douleur
Me voilà plein de douceur

Un petit sourire, parfois un petit mot
Et tout sort du quotidien, du lot
J’en suis complètement sot
Il n’est jamais trop tôt

Rangez votre fierté, votre orgueil
Je vous ai maintenant à l’œil
Ne faites pas devant moi semblant
Donnez un peu de votre argent