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Diablesse

Diablesse

J’ai lissé ma main sur ton visage
N’oubliant jamais ta belle image
J’ai épousé nos plus jolis désirs
Et animé l’amitié sur l’autel du rire

Je rugis les doux maux d’un lionceau
Te câlinant tendrement à Saint Malo
Mes palabres te sont si rassurantes
Ta voix de diamant est si vibrante.

Ta vague de douceur qui m’assoiffe
Ce vent d’atlantique me décoiffe
Nous nous sommes parfois échappés
Un moment, dans ces fines dunes sablés

La passion se transforme peu à peu
Et l’habitude se relais comme un jeu
Tu scintille comme au premier jour
Nous ne changerons jamais l’amour.

Les Pertes

Les Pertes

Perdu dans le fin fond des grandes marées
Je survis des mots assassins des amitiés
Mon coeur fendu et empli de compassion
Fond au soleil comme un doux glaçon

J’ouï et chante mes plus grandes accointances
Je me noie dans les eaux fluviales de la rance
A mon errance s’attache les plus gros boulets
Ceux que par mon intelligence je sais éviter

Je suis digne, heureux des bonheurs de la vie
Ma conscience me dicte mes choix, mes envies
Je scie parfois cette banquise a moitié fissuré
Celle sur laquelle j’ai posé mes deux pieds

J’ai perçu tout ces signaux, ces drôles d’alarmes
J’ai reçu l’amour, la lumière, sans fait d’armes
Et suis l’artiste des mots qui parfois me brulent
Laissez moi rêver, laisser moi aimer, dans ma bulle

La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Attachement

Attachement

@ Nathalie que je n’oublierais jamais

Attachement le mot du temps et de la vie
Affection, gout de l’amitié, passion.
A ton égard je me sent débridé, hagard
Bonheur, amour et gentillesse en sont les faits

Toi qui n’aime pas l’austérité
Et encore moins la vanité
Tu m’accueille avec spontaneité
Et je t’accepte, aussi, comme tu est

Des milliers d’étoiles scintillent en ta présence
Tu est la lumière de l’ignorance
Et chaque pensée est pour toi en ton absence
Toi qui m’offre chaque jour ta bienveillance

Le prix de l’amour des gens vaut de l’or
Et aujourd’hui l’or est rare
Alors toi, pierre précieuse, reste à mes abords
Car tout cela pourrait finir, tôt ou tard.

Un jour

Un jour

Un Jour il est venu au monde
Ce jour c’était le notre
Mais aussi chère amie, le votre
Oh une tête tout blonde.

Fruit de la passion
Et de deux êtres en pleine union
Toi qui l’a transporté
moi qui l’a aimé

Malgré les rires et la honte
D’autrui, j’assume
Mon choix, mes actes, sans amertume
Car la vie est un conte

Non de fée mais de magie
Non, je refuse de revenir sur mes choix
Je le fais en tout conscience, de vive voix
La preuve, il me sourit

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

La tendresse et la passion

La tendresse et la passion

On ne t’a pas dit?
La vie ici n’est pas
Ce que tu crois

Un jour comme ça
Lorsque tu te crois au trépas
Quelque chose te réveille
T’émerveille

Comme si elle t’avait poussé
A devenir une fée
Tu aurais aimé avoir des louanges
Mais tu n’es pas aux anges

La difficulté te mène chaque jour
Sans retour
Mais elle est là
C’est celle du chaleureux pas

Elle te guidera à toute heure
Comme le bonheur
Ce sont des mots qui font rêver
Même si je ne suis pas Morphée

C’est le fruit de l’amour
qu’on porte envers autrui
Et il faut
Que cela reste au chaud.