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Handicap

Handicap

Handicap, ce mot si étrange et barbare
Qui frappe parfois quelqu’un au hasard
Qui pourris parfois votre vaine existence
Qui ne vous facilite rien avec aisance

Parfois oppressés par l’incompréhension
De ceux qui n’ont parfois aucune vision
Nous sommes si différents et complémentaires
Notre angle de vue n’est pas mortifère

Nous ouvrons facilement notre grand cœur
Et comprenons aisément toutes vos peurs
Notre sensibilité s’est grandement décuplé
Puisque la vie nous a régulièrement écorché

Ne soyez pas effrayé en nous regardant
Avec votre sourire perfide, nous analysant
Venez chercher l’étoile qui est en nous
Devenez curieux, nous ne sommes des loups

Réalisez ainsi que vous vous êtes trompés
Sur notre cas, vous n’étiez pas initiés
A notre diversité et à notre différence
Vous savez et n’êtes plus dans l’ignorance

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

Souffrance et Mépris

Souffrance et Mépris

Souffrance et mépris sont mon quotidien
Je suis seul et pourrais ne manquer de rien
j’ai eu un espoir, un sursaut, une joie
En étant employé au service des lois

J’ai eu une naïve idée de mes fonctions
Je n’ai exprimé aucune déception
Aucune colère, ni amertume
Je m’exprime à travers ma plume

Tandis que l’on m’ignore superbement
Je ne suis que malléable apparemment
Usé, fatigué, dégouté par la vie
Sans futur, sans aucune envie

Je subit les brimades des tyrans
Qui jettent leurs mots à coeur et à sang
Qui m’humilie, me critique avec force et rage
Qu’ai je fait? N’étais-je pas sage?

Suis je inutile, bon à rester le larbin?
Est ce la vérité qui a racheté le bien?
Tout m’est indifférent, saleté d’ignorance
Un jour, vous aurez ma vengeance.

Tendre enfance

Tendre enfance

Tendre enfance, tendre adolescence, difficile survie
Je t’ai aimé, traversé des difficultés, tu m’a surpris
Tu m’a maudit, m’a honnis, m’a totalement détesté et ignoré
Je t’ai écouté comme un fils aimant, mais tu a violé ma pensée

Cela m’a mis dans une totale alarme, moi qui croyait mentir
Ayant vécu dans l’ignorance avec toi qui si facilement te tire
J’ai osé une certaine insolence mais à mes attentes tu fut sourde
J’ai redoublé de vigilance, tu n’a rien entendu et fait une bourde

J’ai cru que ton absence était légitime et que tu avais de l’amour
Mais vingt-quatre années m’ont permis de voir ce non-retour
Mon tracas maximum fut atteint et tu n’en eu aucunement conscience
Je suis et reste blessé par une attitude délétère auquel tu ne pense

J’ai décidé de prendre en toute quiétude ma vie et mon destin
Et me suis promis de ne jamais prendre un tel et étroit chemin
Ton esprit est si étroit que tu ne peut plus rien faire à présent
Je suis resté ouvert au dialogue , tu m’as bluffé trop longtemps.

L’arbre et le buisson

L’arbre et le buisson

Des années accrochés à des buissons
Cela ne tournait pas vraiment rond
Et je cherchais souvent l’idéal
Rien de plus simple et banal

Les buissons sont devenus des amitiés
Je n’avais pas encore tout tenté
Un arbre un jour j’ai découvert
De milles pensées je l’ai recouvert

Et l’horloge continua d’avancer
Et dans mon ignorance je m’enfonçais
Je voulais comprendre ces changements
Le vent a tourné partout, tout le temps

Alors j’ai testé mon doux et merveilleux
Et  je su être comblé sans aucun voeux
J’ai relégué les buissons à l’amitié
Et l’arbre pris ainsi désormais son relais.

Ignorance

Ignorance

Ignorance, tu es ma petite vengeance
Ignorance, Et c’est à toi que je pense
Ignorance, j’ai un tour d’avance
Ignorance, je n’ai aucune croyance

Me voilà stress de toi, sans nouvelles
Tu t’es encore fait la part belle
Et me voilà, encore une fois, rebelle
Pourquoi, à moi, ta petite hirondelle ?

Ma petite coccinelle, toi si proche
Tu ne m’es que de reproche
Et loin de là tu m’abandonnes
Tu peux encore changer la donne

Accointances nouvelle

Accointances nouvelle

Amitié, Amour, de beaux gages
Et vous n’êtes plus très sage
Vous ne faites votre âge
Et vous tournez une page

En moi tulipes vous ouvrez!
Et vous roses vous aurez!
Et je vous offrirais des hortensias
Et aucun réséda

Semblerait-je recevoir des sentiments?
Semblerait-je avoir de l’accointance?
Mon coeur m’indique l’ignorance
Mon corps tremble dans vos rangs

Seul vous pouvez m’éblouir
Seul vous pouvez me faire rire
Croire en la bonne étoile
Celle qui n’a jamais mis de voile

Tout les jours j’ai votre fraîcheur
Cela m’évite quelques malheurs
M’apporte quelques bonheurs
Et m’en voila rieur

Sensations …

Sensations …

Poésie dédié à D

Aveugle parfois tu est
On ne peut te le reprocher
Tu pique sur du réséda
Et aucun mal ne te transperça

Écoute ton cœur, garde ta raison
Cela fera sensation
Aime ton prochain comme tu t’aime
Car on récolte ce que l’on s’aime

Persévérance ne doit pas rimer avec ignorance
Ne pique pas sur des fleurs rances
Car c’est à toi que revient cette ignominie
Que tu à déjà abolie

Attachement

Attachement

@ Nathalie que je n’oublierais jamais

Attachement le mot du temps et de la vie
Affection, gout de l’amitié, passion.
A ton égard je me sent débridé, hagard
Bonheur, amour et gentillesse en sont les faits

Toi qui n’aime pas l’austérité
Et encore moins la vanité
Tu m’accueille avec spontaneité
Et je t’accepte, aussi, comme tu est

Des milliers d’étoiles scintillent en ta présence
Tu est la lumière de l’ignorance
Et chaque pensée est pour toi en ton absence
Toi qui m’offre chaque jour ta bienveillance

Le prix de l’amour des gens vaut de l’or
Et aujourd’hui l’or est rare
Alors toi, pierre précieuse, reste à mes abords
Car tout cela pourrait finir, tôt ou tard.

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Insolence

Insolence

Quand insolence rime avec ignorance
Quand ses mots me pèse avec violence
Quand je crie sur les bords de la dignité
Et j’imagine cette sombre vérité

Triste indécence que de voir ces mots
Et je hurle et crie à la liberté
celle qui est simplement limité
au regard d’une personne , sotte!

Quand il en marre, il jette son opprobre
Et présentement sa situation devient tenace
Si ce n’est pas dire, salace
Et elle n’est en réflexion plus pauvre

A quand cessera ce manège?
Ce jeu infantile, comme la neige
A quand rimera amour et dignité?
Quand le contraire sont inimitié?

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

Blanchie

Blanchie

Sale, blanchie et parfois jaunâtre
Ras le bol de voir cette couleur âcre
Qui empeste ma vie,
Ce n’est même pas l’odeur du rhododendron, l’ami!

Tu as pourri ma jeunesse
Mais tu ne saliras pas ma vieillesse
Plutôt mourir que donner
Un seul minuscule petit billet

Même pas une liasse de monnaie
Et encore moins un seul petit blé
Toi qui as guidé mon enfance
Qui m’a emmené dans l’errance

Plus encore, dans l’innocence
Mais on te manie telle une ignorance
Et je te vois d’un regard abject
Avec ça, finie la fête

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Amour dévolu

Amour dévolu

Amour dévolu
Amour absolu
Amour qui évolue
Amour qui l’eût cru

Je t’ai trouvé
Je t’ai rencontré
Nous nous sommes initiés
Et nous avons disposé

Disposé de cette flamme commune
Notre dessein est maintenant tracé
Nos idées sont à présent à la une
A la une de nos cœurs rassemblés

Je pense enfin trouver la beauté
Qui est en moi, qui est en toi,
C’est notre choix
Mais il n’est pas respecté

Je m’éreinterai pour toi
Je transpercerai le monde
Tu est mon cerveau, ma voix
Non! Je n’ai pas d’idées vagabondes

Tolérance, ignorance, absence, croyance
Sont les mots de ma réflexion
Sont les gravats de ma différence
Sont les termes de ma finale ovation