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Tag: bonheur

Indigné

Indigné

Indigné mon amie, de te voir souffrir
Indigné, alors qu’habituellement je te vois rire
Indigné par ces mots, ces cris épouvantés
Tous les mots de ma sphère restent désespérés

Et ils te crient  A l’aide
Reviens vite je ne suis pas loin
Toi qui te souviens
De ce passé, pas si lointain

Tandis qu’ils fuient elle assume
Avec beaucoup de regret, d’amertume
Et je dis viens par là
Te réconforter dans nos bras.

Nous qui t’aimons
Et qui à ton secours viendrons
Comme viennent les pompiers au feu
Toi, qui dans ton désespoir nous alarme

Et nous dit oui, et nous dit non
Ces deux mots en même temps
Deviennent des maux sans signification
Nous sommes là , pourtant

Et le restons, comme depuis des années
Toi qui à brûle-pourpoint pleures
Nous ne comprenons pas que tu aies peur
Nous sommes des gens de coeur

Ces mots pour te dire à quel point nous t’idolâtrons
Et à quel point nous combattrons
Pour ton bonheur de vivre , ta liberté
Avec ceux qui établissent ta vérité

Manque

Manque

Manquer n’est le contraire du verbe aimer
Adorer, c’est tout aussi fort qu’idolâtrer
Un ange de toutes les couleurs
Mais tourne tourne l’heure

De venir à ton secours
Comme viendrait pneu lors de crevaison
Comme viendrait oreille à celui qui est sourd
Oh toi, éternelle charmeuse tu en dis long!

Et moi grand rêveur, je vois ton bonheur
Non n’ai pas peur de manquer
De quoi que ce soit, tu es sans erreur
Et toutes ces choses sont vénérées

Bouleversement

Bouleversement

Bouleversement, attendrissement et ces mots tendres
Que je te tend, que tu renverses, que tu bouleverses
Pour réveiller en moi ce que j’ai, cette habile adresse
Qui s’était endormie dans mon âme, que j’ai voulu vendre

Mais tu n’as pas besoin de te réveiller en porte-jaretelles
Pour continuer à mon égard d’être belle
Restes simplement toi, la plus naturelle
Car forcer le destin, c’est percer les nuages, le ciel

Toi qui es si douce, tu as bousculé mon existence
Toujours avec des heures d’avance
Et avec une si grande insolence
Et si tu ne l’avais fait, je ne me serai fait violence

Mais il n’y a pas besoin de se gâcher la vie
Pour être connu, reconnu
Le bonheur tient à quelques envies
Parfois insoluble,vu, revu et maintenant vendu

Et si vous pleurez chaque soir, sachez qu’il y’a plus triste
Et qu’il y a des gens, qui ne visitent que leur intérieur
Et qui oublient que le monde, les amis, c’est l’extérieur
Alors maintenant vivez! Refaites tourner le tourne-disque!

Bonheur

Bonheur

Bonheur d’amour, celui de toujours
Bonheur d’amitié, celle de l’été
Et dire que ces deux choses nous font vivre
Et dire que nous sommes libres

Libre d’aimer, de détester,
Libre d’apprécier et de s’envoler
Dans les airs d’un ciel coloré
Dans une vie au goût démesuré

Nous avons créé ces deux protagonistes
Pour plus que nous soyons tristes
Cela est désormais universel
Que les relations arrivent à être belles

Et je suis dans ma coquille, tel un crustacé
Qui n’a pas envie de s’ouvrir sur le monde
Mais qui pourtant est présent sur ce sable doré
Et qui fait des voyages sur notre terre ronde

Quand j’étais gamin

Quand j’étais gamin

Je me souviens, j’étais gamin et je rêvais
Je me souviens de ce caractère désuet
Et moi je m’imaginais le futur
Tel on respire l’air pur

Les oiseaux dans le ciel m’époustouflaient
Et j’entendais leurs cris, telle une mélodie
Je sentais que je vivais toujours l’été
De tout cela aujourd’hui je ris

Ce vent embrassé,
Fait couler mes larmes
Saccade mon charme
Et ce bonheur, j’hurlais

Tant de ces moments ont disparu
Sous ma mémoire qui joue l’inconnu
Et on vivait, et on se sentait libre
Et je m’emprisonne, pour ne plus vivre

Aujourd’hui, rien sur cette terre
Ne me fait rappeler ces moments de joie
Sauf l’amour, sauf l’amitié, celle qui toujours espère
Celle qui dit , vient avec moi je te crois

Un baiser mérité

Un baiser mérité

Ô toi qui m’illumine,
Ô toi qui t’exprimes,
O toi l’élue du cœur
Ô toi qui fais mon bonheur

Je sais que tu es là
Je sais que tu viendra
Je sais que les jours de flamme
Ne riment pas avec larmes

Battus  nous sommes,
Congrue tu es pour moi
Imperceptible bonheur je reçois
Infaillible amour je te dois

Toutes ces années, passées à s’enfermer
Sont maintenant réunies à jamais
C’est la plus grande part de chaleur
Jamais perçue dans cette profondeur.