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Rires et solitudes

Rires et solitudes

Je m’envole, prends de l’altitude
Pour combler le besoin de solitude
Réfléchir aux douceurs de l’avenir
Pour respirer et éclater de rire

Je grave la pierre du temps futur
Dans ce flan de montagne si pur
Je lève mon drapeau au sommet
Qui traverse nos âmes échouées

Les nouvelles me minent parfois
Je ne pense plus, j’oublie mon émoi
Quand cette lumière blanche m’eblouit
Mon corps et mon esprit s’évanouissent

Un nouveau monde s’ouvre à présent
Celui du bel espoir et du temps
Je déclenche l’avalanche du bonheur
De la société sans erreur

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.

Ombre

Ombre

Ombre de la lumière , oh toi qui assombrit mes jours
Et parfois alors que la gaieté est en moi,
Tu fais en sorte de ne pas me rasséréner, être en bois
De marbre, tu restes impassible et insensible à la douleur que je subis

Et pourtant , habituellement, tu dénonces la misère
Celle qui provient de cette haute atmosphère
Et moi à corps et à cris, je hurle ma douleur
Celle qui à tous mes confidents fait peur

Mais il reste, dans les ténèbres de la dignité
Quelques personnes bienveillante à mon égard
Qui, se reconnaissent, dans la plus grande intimité
Ai-je l’air d’un faiblard?

Cela dépend répondrais les moineau
Oui répondrais les corbeaux
Non crieraient les couleuvre
Celles qui en cas de besoin, se mettent à l’œuvre

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Problèmes

Problèmes

Problèmes, il n’y que cela, un seule emblème
Et moi je baigne dans une marée noire
A tel point que je ne peux même plus me voir
Et pourtant dieu sais si je vous aime

Rien, non rien ne peut séparer deux êtres
Aux coeurs si solennellement soudés
Aux envies si soudainement rejetées
Et à côté de moi, une fenêtre

Bouc-émissaire, idiot que je suis
Je me suis rendu compte trop tard
Du mal qui s’est transformé d’un appui
On dirait comme une avancée de char

Où tombent les bombes et s’écrasent
en faisant le vide intersidéral
J’écris, preuve de mon incurable mal
C’est comme si je disais :  » Vive Alcatraz(1) »

Toi qui as, et qui est formidable , restes là.
J’ai besoin de ton soutien
De ta puissance, de tes mots, bas!
Et maintenant , je vis de rien

Je ne vis même pas d’argent
Tellement je trouve le sujet abject
Tout celà, c’est de la paille, du vent
Dire que la jalousie, vous infecte

Et je suis triste, et je ne peux assumer
Toutes ces invectives qui me sont adressées
Maintenant c’est fini, je me tais, à bientôt
Les étoiles continuent de briller au phare de mon cœur

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse

Amitié de jeunesse, oh toi qui m’a porté bonheur
Amitié des temps certains, unions des êtres
Fou rire, bonheur, sourire, toujours à la bonne heure
Ca s’en va, ça revient, p’tetre

Et ces amitiés sont uniques en leurs temps
Elles virevoltent avec nous, dans la tornade, le vent
Tandis que certains, d’autres s’aiment
C’est notre monde que chacun à son envie mène

Et moi, j’ai vécu des choses extraordinaires,
Que je n’arrive même plus à en trouver mes vers
Et pourtant je m’efforce de croire que c’est vrai
Qu’il n’y aucune autre vérité

Que celle de l’amitié, de la véracité des individus  
Et je ne suis pourtant pas utopiste
Et encore moins je ne crois au christ
Et je pense à ces gens, sans réseau,dans la rue

Ceux-là au besoin de confort
D’un bon compagnon de route
Qui a besoin d’un voyage hors bord
Je voudrais lui offrir au moins une voute…

Sensible

Sensible

Sensible bien est là mon défaut
Sensible chère amie à vos mots
A votre regard
Maintenant il est trop tard

Jamais, non jamais je ne changerai
Car pour vous j’ai tout fait
Et ce coté attentif
Qui me joue des tours, me permet d’etre actif

Merci de devenir actif
Car j’en ai besoin , c’est maladif
Oh Jeunesse éternelle qui dure
Et ces mots à n’en finir! Quel cure!