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Author: fabien

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

Amour enchevêtrée

Amour enchevêtrée

A la demande de Pauline M

Notre amour quotidien enchevêtrée
Nos silences drôles et parfois animées
Nos absences si lointaines toutefois
Jette présentement un grand froid

Moi, débordante d’énergie positive
Toi, qui me fait tourner la tête , m’enivre
Nous sommes un tout, mais je ne suis rien
Je regarde les étoiles qui sont au loin

Et j’aime l’odeur de ta tendre chaire
Quand je voit une étincelle en l’air
Qui éclate pendant un certain temps
Telle une grande bohème d’antan

Formant une galaxie légèrement étoilée
Que nous attrapons au vol , sans rivalités
Notre amour depuis maintenant cinq univers
Où tout nos moments sont gravés dans la terre

Détresse

Détresse

Détresses ordinaires et peurs continuelles
Je ne fait plus partie de ce rituel
Je tente de sauver parfois du déclin
Sans aucune retenue, ni aucun frein

Je suis pourtant gentillement tourmenté
Par des mots inconsciemment dictés
Qui reflètent la tristesse et le désespoir
La où, au coucher du soleil, je souris, le soir

Sans pouvoir tendre ma main
Qui te dit au revoir jusqu’à demain
Ni te donner mes dernières palabres
Sous ce peuplier, cet arbre

Mon rêve de te réconforter
De te rendre heureuse, toi l’être aimé
Je ne suis qu’un petit écureuil
Qui parfois sait faire son deuil

Enfants meurtris

Enfants meurtris

L’émotions qui se lit sur vos visages
De voir tant d’obus et de petit saccages
Se trouver sous le feu d’un tir de roquette
Car l’un et l’autre n’entendent les requêtes

Celle d’un peuple désemparé qui n’a rien demandé
Qui ne fait qu’attendre l’espoir en ayant pleuré
Se trouvant enfermé parfois dans de petits goulags
Pour avoir parlé, manifesté, protesté, suivie la vague

Atterré par tant de sang sur les mains d’assassins
Qui détruisent la vie et n’ont aucun destins
Écorché par une guerre a affronter sans merci
Ces enfants joviaux n’ont plus jamais souris

Les larmes des mères ayant tout perdu maintenant
Qui ne savent plus où aller ni dormir présentement
Le combat des pères pour sauver leurs familles
Des bombes, des tirs, des morts, des fusils

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Handicap

Handicap

Handicap, ce mot si étrange et barbare
Qui frappe parfois quelqu’un au hasard
Qui pourris parfois votre vaine existence
Qui ne vous facilite rien avec aisance

Parfois oppressés par l’incompréhension
De ceux qui n’ont parfois aucune vision
Nous sommes si différents et complémentaires
Notre angle de vue n’est pas mortifère

Nous ouvrons facilement notre grand cœur
Et comprenons aisément toutes vos peurs
Notre sensibilité s’est grandement décuplé
Puisque la vie nous a régulièrement écorché

Ne soyez pas effrayé en nous regardant
Avec votre sourire perfide, nous analysant
Venez chercher l’étoile qui est en nous
Devenez curieux, nous ne sommes des loups

Réalisez ainsi que vous vous êtes trompés
Sur notre cas, vous n’étiez pas initiés
A notre diversité et à notre différence
Vous savez et n’êtes plus dans l’ignorance

Vie automnale

Vie automnale

Des êtes douées et consciencieux
Dénués de sens et irrévérencieux
Qui se mentent à leur égard
Qui louchent d’un air hagard

Qui n’ont ni vie ni réels amis
Seuls au monde, avec du mépris
Où la tristesse parfois se lit
Sur leurs visages parfois endurci

Je comprend le profond désarroi
Qui peut les mettre en émoi
Ils doivent s’ouvrir au monde
Qui les entoures d’idées vagabondes

Et ne plus rester dans leurs carcans
Qui était bien il y a fort longtemps
Personne ne doit être vraiment reclus
Sauf chercher à rester des exclus

Société

Société

Toi l’individu seul et égoiste
Qui ne cherche que ton petit bonheur
Sans jamais réflechir aux grands malheurs
Des autres qui sont tout aussi défaitistes

Regarde ton prochain avec plein d’amour
Qui parfois aurait besoin des tes mains
Un peu plus, chaque jour, chaque matin
Sans jamais attendre un tout petit retour

Ouvre ton coeur sans rester pétri et reclu
Ne soit pas si amer en regardant autrui
Hiver comme été ne soit pas triste, sourit
Et tu ne sera cette personne qu’on exclu

Réagit à l’enfer des grandes moqueries
Soit actif et donne aux misérables
Un petit peu de ton sirop d’érable
Que tu aime et qui te bonifie

Solitude

Solitude

 

A mes amis et connaissances actuelles
A qui je suis toujours aussi fidèle
A qui je ne donne pas assez de présence
A qui j’ai parfois déclaré mon absence

 

J’entends les complaintes de votre solitude
De ceux qui aiment par grandes habitudes
Et qui, aussi, voudraient être parfois câlinés
Mais se contentent seulement de rêvasser

 

Je donne mon attention et ma sollicitude
A quiconque ayant bienveillante attitude
Le désespoir ne doit jamais vous hanter
Ni occulter vos désirs et envahir vos pensées

 

Mon cœur ne vous a jamais réellement délaissé
Votre esprit en moi que vous avez crus asphyxié
Parfois par d’autres occupation et personnes
N’est que calomnie même si cela parfois étonne

 

Je ne suis pas inquiet quant à votre véritable avenir
Je sais à quel point parfois je peux vous voir souffrir
Bien que je veuille consoler par amitié tout un chacun
Je n’arrive parfois pas à combler vos petits chagrins

 

Beautée fatale

Beautée fatale

Beautée fatale, tu es si enjouée
Naturelle et totalement animée
Je suis un petit phénix ressuscité
Quand nous sommes chacun liés

Le monde s’ouvre sous ton regard
Je te cajole et te console, l’air hagard
Tu est l’être que j’ai toujours voulu
Je me suis pourtant toujours abstenu

Personne ne sait faire briller la lumière
Qui éclaire chacune de mes paupières
Sauf toi, qui me croque du grand amour
Celui à qui j’ai envie de dire oui, chaque jour.

Nous ferons de grands projet, deux par deux
Nous nous marierons, finirons assez vieux
Et tu serrera le creux de mes petites mains
Je te dirait je t’aime, chaque matin.

 

 

Amitié étoilée

Amitié étoilée

Amitié étoilée et éternelle
Tu m’est tellement fraternelle
Je suis l’ombre et le vent
Quand tu est mon soleil levant

Mes mots sont une vision parcellaire
De ce que ressent ma grande sphère
Un grain de sable venu de l’océan
Sans qui je ne pourrais faire sans

Les mots de ton grand et amical esprit
Sont ceux qui fait que je souris
L’univers ne comprendrais pas mon état
Toi, mon amie, présent ici et la bas

Les nuages s’efface à ton passage
Quand mon esprit triste est a la page
de ce jour si vague et mélancolique
Doit-je être alors si catégorique?

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

Les grandes étourderies

Les grandes étourderies

 

Les grandes étourderies de l’âme
Je ne danse plus sur grande paname
J’ai jouis d’une vie embrigadé
Par des principes fort bien initié

J’ai vécu chaque instant magique
Comme des moments entièrement féerique
Et aujourd’hui je suis rayonnant
Fière de mes actions, souriant

Le soleil a surpris de grands nuages
Qui étaient cachés sous ce grand barrage
Je veux avoir la lumière et la fête
Pour ne plus avoir toute ma tête
J’ai fait plusieurs petite prières
Le monde s’est soudainement ouvert
Pour oublier ce qui m’a mis en émoi
Je ne le voit plus se fermer à moi

 

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Le cœur et l’esprit

Le cœur et l’esprit

Chère Alais,

Toi, la fille au grand cœur apaisé
Toi, parfois en grande difficulté
Je veux te dire que tu est l’amie rêvée
Qui m’a compris, m’a aussi aimée

Nous avons la fusion des esprits
Une relation totalement aboutit
Tu a l’esprit critique et établit
Tu est un bonheur, tu fait la vie

La rosée du matin est ma pensée
Pour toi, ton sourire, ton amitié
Je voit ce bateau qui est arrimée
Qui est solide, cadenassé

Tu éclairci parfois mon brouillard
Et souffle sur les blizzards
Qui nous surprend parfois par hasard
Alors qu’il fait nuit, qu’il se fait tard.

 

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

Imparfaitement Votre

Imparfaitement Votre

Poésie (pas réussie) …

La pine des arbres pique parfois
Étant des humains imparfait
Qui ont l’amour toutefois
Nous et nos petits méfaits

Je découpe ma grande branche
Sur laquelle je suis assis
Et plonge dans l’abîme blanche
Soudainement nous n’avons ris

Je garde mon esprit et ma maîtrise
Étant donné mon amour à la vie
Pour ne pas ressentir d’emprise
Sur les caractères habile d’amis

C’est le va et vient quotidien
Du déjeuner,goûté, soupé
Je suis reveur chaque matin
Et jamais vraiment d’inimitié

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Quatorzes Roses

Quatorzes Roses

Quatorze rouges roses éclatantes
Je suis parfois en dilettante
Parfois avec mon coeur en fer
Forgé, qui es la et qui espère

Devenir une âme en diamant
Je ne suis plus ce pantin errant
Des étincelles qui jaillissent
Et qui m’emporte avec les hélices

Tombé dans l’arbre de l’amour
Celui qui naît, qui meurt, un jour
Je suis accroché en haut des branches
Pour éviter ces mares intenses

Notre vie parfois ingrate et injuste
Nous amène ce soleil vétuste
Dans ce monde composé d’imparfait
D’où les êtres sont aussi née

Je fléchi toute mes grandes positions
Cela ne sera plus très long
Mon physique s’essouffle un peu
Moi qui suis a présent à mille lieu

Voluptés du Travail

Voluptés du Travail

Les guépards sont parmi nous
Dans ce monde composé de loup
Les projecteurs braqués sur toi
Te mette dans tout tes émois

Tes rêves du futur c’est maintenant
Prend les choses en main, présentement
Je suis là et te susurre ma voix
Qui te fait rire, en plein emploi

Nous sommes tous imparfait
Nul ne se prévaut d’amitié
Qui est entièrement piégée
Simplement trafiquée

Les choses les plus douces
Ne sont dans l’âme des ours
mais plutôt dans les pinsons
Ceux qui ont, à force, raison

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Les vertus de la vérité

Les vertus de la vérité

Quelques vertus et agaçantes vérités
Sont toujours autant de bienfaits
Pour toi le peuple et l’ami soumis
A ton pouvoir et à tes idéologies

Nous sommes les esclaves de la trahison
Suis moi je te fuit, fuit moi et saute du pont
Je vous ai suivi, aimé, détesté, confié, trahi
Je suis l’être avec qui vous avez tant ri

Celui des bonnes blagues qui sont gentilles
Enfermé sur ses propres pensées de la vie
J’ai soudainement enfermé le grand soleil
Comme si j’avais mis mon avenir en veille

Quoi que je fasse, où que je soit à présent
Je sais mener ma vie avec brio , présentement
J’ai le sentiment d’un partage équitable
Mais personnes n’a encore compris ma fable

Petit Pinson

Petit Pinson

Petit pinson attend moi
Petit pinson ouvre tes bras
Petit pinson regarde la bas
Petit pinson tu t’en va…

Tu est l’eau qui s’amoncelle
Dans une rivière tout aussi belle
Les vagues de notre amour
Détruisent tout les gros vautours

En admiration devant ton élégance
Mais aussi devant tant d’éloquence
J’ouï dire que mes absences
Te met dans une grande errance

Tu brille par ton sens du verbe
toi qui n’est pas malherbe
Mais qui ressent le mal-être
De mon âme, mon paraître