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Tag: travail

Epuisé

Epuisé

Épuisé, fatigué, contracté
Mon corps lâche et anémié
Souffre dans sa grasse chair
Je n’ai rien pour me plaire

Loisirs perdu, travail absolu
Je suis immensément perdu
L’océan est un boulevard
Que je croise de mon seul regard

L’hiver et le froid me gangrène
Bloque peu à peu tout mes gênes
Le soleil s’est tout les jours caché
Dans ce lointain champs de blé

L’amitié gravit ma montagne
Traverse les routes de champagnes
Perdure dans le temps belle fée
Je t’aime, pieds et poing lié.

Travailleurs endiablés

Travailleurs endiablés

 

Travailleurs endiablés et mal administrés
Qui ne réussissent jamais à se faire aider
Qui sont des moins que rien si fauchés
Traînant aux pieds de multiples boulets

Attachés comme des prisonniers victime
D’un système qui incroyablement nous abîme
Chaque jour, chaque nano-seconde de notre temps
Que nous n’avons plus tout à fait maintenant

Nous sommes les ravisseurs d’un système perdu
Qui nous à rendu un millier de fois ingénu
Ils nous ont fait bouillir de fausses joies
Et nous ont montrés que nous ne sommes plus rois

Je me sent faussement trahi par ces incompétents
Qui n’ont rien d’autres que leurs petits moments
De rire, d’éclat de joie en rayant cette case
Celle qui m’aurait donné un sourire de base

Voluptés du Travail

Voluptés du Travail

Les guépards sont parmi nous
Dans ce monde composé de loup
Les projecteurs braqués sur toi
Te mette dans tout tes émois

Tes rêves du futur c’est maintenant
Prend les choses en main, présentement
Je suis là et te susurre ma voix
Qui te fait rire, en plein emploi

Nous sommes tous imparfait
Nul ne se prévaut d’amitié
Qui est entièrement piégée
Simplement trafiquée

Les choses les plus douces
Ne sont dans l’âme des ours
mais plutôt dans les pinsons
Ceux qui ont, à force, raison

Conditions

Conditions

Dévoué, je pourrais me dire dévoué
Qui sous une pluie battante ne ferait pas feinte?
Qui sous cette tempête violente n’aurais pas crainte?
Et bien je peux le dire, c’est moi et je ne suis éméché

Toujours prêt à satisfaire les moindres désirs
Et voilà le remerciement salutaire qu’on me donne
Et voilà la cordialité, qui, à coup de grêles, assomme
Et là tout de suite je vous vois rire

Alors peut être qu’on m’assomme
Mais pourtant je crois en ma donne
Et eux , toujours me sonnent
Et moi toujours m’abonne

Emotions

Emotions

Bizarrement, je ne pense réussir
Alors qu’il faut se donner les moyens d’agir
Je préfère verser ce flot de larmes
Peut être pour tirer un signal d’alarme

Quand je conçois, tout bas
Ce que je suis , pourquoi je me bats
Je pense être dans l’ombre
Et ne voir que des choses sombres.

Voilà un cri du coeur,
J’ai peur
Oserais-je comprendre?
Oserais-je apprendre?

Je ne sais!
Je suis pris par l’émotion
Je n’arrive pas à tourner rond
Mais J’y arriverai!

Tant d’histoires sont préfabriquées,
La mienne ne restera pas demeurée
Il faut prendre l’habitude
Que certaines choses soit rudes!