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Perdue de vue

Perdue de vue

Perdue de vue, éloigné par la vie
Je regrette l’absence de mon amie
Disparue, j’ai oublié ta douce voix
Tes paroles qui me mettent en émoi

Tes mots qui m’abreuvent et m’apaisent
Pour que jamais, je ne me taise
Ceux la, s’imprègnent dans mes tympans
Font frisonner mon âme de conquérant

Je suis troublé par cette affliction
Affecté par ton immense déception
Mon ire intérieur m’empêche de geindre
Je n’ai plus le droit de me plaindre

Je suis féru de toi, à chaque minute
Même les jours des grandes disputes
Je te demande amnistie de mes erreurs
Pour surfer à nouveau sur ton bonheur

Le départ

Le départ

Le départ, précipité et si soudain
L’inattendu s’est produit aujourd’hui
J’ai pris mon unique bagage, je suis parti
J’ouvre un boulevard sur ce grand chemin

Seul maintenant, je suis guidé par mon instinct
J’ai quitté ce cocon, ce nid de petites abeilles
Pour éviter d’étouffer, d’expier dans mon sommeil
J’allume ces bougies vers ce joli ciel cristallin

Tes quolibets à mon égard ont ému toute l’assistance
Ton ombre et ton esprit sont tes dernières protections
Je dois te quitter, pour ces milliers de petites raisons
Je ne suis plus cette personne, que tu crois en errance

Je ne te reconnais plus, toi et tes milles élucubrations
Je n’aime plus vos ordres et centaines de petits désirs
Je m’envole vers d’autres destins, celui des plaisirs et des rires
Tu a perdu, je ne m’écroulerais plus comme un avion

Les douceurs

Les douceurs

Toi ma petite douceur
Qui réalise mes bonheurs
Moi, si loin, si triste
M’en allant faire un tour de piste

Je caresserait tes joues
Tu restera près de moi, debout
Je t’enlacerais le corps
Te conserverait tel un trésor

Les gouttes de pluie coulent
Sur toute cette foule
Sur ton esprit en mouvement
Sur tes cheveux dans le vent

Mes mots sont si faibles
En t’offrant cette hièble
Une belle étoile est née
Je ne veux plus la quitter

L’amitié du moment

L’amitié du moment

Je suis l’amitié du moment
Je caresse une vague de la vie
Les cheveux dans le vent
Je te regarde avec joie

Tu fais briller le soleil, au réveil
Et décroches les astres perchés
Ton étoile qui file m’émerveille
Je suis parfois amer et attristé

Tu es si loin et si proche à la fois
Moi, capitaine d’un bateau en dérive
Je n’avais aucun espoir sans toi
Étant à bout, dans un certain qui-vive

Il est des jours où l’orage gronde si fort
Qu’il fait trembler les carcasses désossées
Je suis l’une des leurs, quelle métaphore !
Tu me ressuscites d’une toute petite mort

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Le cœur et l’esprit

Le cœur et l’esprit

Chère Alais,

Toi, la fille au grand cœur apaisé
Toi, parfois en grande difficulté
Je veux te dire que tu est l’amie rêvée
Qui m’a compris, m’a aussi aimée

Nous avons la fusion des esprits
Une relation totalement aboutit
Tu a l’esprit critique et établit
Tu est un bonheur, tu fait la vie

La rosée du matin est ma pensée
Pour toi, ton sourire, ton amitié
Je voit ce bateau qui est arrimée
Qui est solide, cadenassé

Tu éclairci parfois mon brouillard
Et souffle sur les blizzards
Qui nous surprend parfois par hasard
Alors qu’il fait nuit, qu’il se fait tard.

 

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

Voluptés du Travail

Voluptés du Travail

Les guépards sont parmi nous
Dans ce monde composé de loup
Les projecteurs braqués sur toi
Te mette dans tout tes émois

Tes rêves du futur c’est maintenant
Prend les choses en main, présentement
Je suis là et te susurre ma voix
Qui te fait rire, en plein emploi

Nous sommes tous imparfait
Nul ne se prévaut d’amitié
Qui est entièrement piégée
Simplement trafiquée

Les choses les plus douces
Ne sont dans l’âme des ours
mais plutôt dans les pinsons
Ceux qui ont, à force, raison

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Les vertus de la vérité

Les vertus de la vérité

Quelques vertus et agaçantes vérités
Sont toujours autant de bienfaits
Pour toi le peuple et l’ami soumis
A ton pouvoir et à tes idéologies

Nous sommes les esclaves de la trahison
Suis moi je te fuit, fuit moi et saute du pont
Je vous ai suivi, aimé, détesté, confié, trahi
Je suis l’être avec qui vous avez tant ri

Celui des bonnes blagues qui sont gentilles
Enfermé sur ses propres pensées de la vie
J’ai soudainement enfermé le grand soleil
Comme si j’avais mis mon avenir en veille

Quoi que je fasse, où que je soit à présent
Je sais mener ma vie avec brio , présentement
J’ai le sentiment d’un partage équitable
Mais personnes n’a encore compris ma fable

Petit Pinson

Petit Pinson

Petit pinson attend moi
Petit pinson ouvre tes bras
Petit pinson regarde la bas
Petit pinson tu t’en va…

Tu est l’eau qui s’amoncelle
Dans une rivière tout aussi belle
Les vagues de notre amour
Détruisent tout les gros vautours

En admiration devant ton élégance
Mais aussi devant tant d’éloquence
J’ouï dire que mes absences
Te met dans une grande errance

Tu brille par ton sens du verbe
toi qui n’est pas malherbe
Mais qui ressent le mal-être
De mon âme, mon paraître

Les étincelles

Les étincelles

Les étincelles qui scintillent
Qui brûlent et qui pétillent
Je geind* parfois en tes bras
De ton absence, ici et là bas

La mélancolie me traverse doucement
Et atteint mes pensées lentement
Mais mon amour pour toi grandit
Tu donne un sens à ma vie

Partager à deux ce bonheur aujourd’hui
Et nos malheurs demain, je n’ai ri
Je suis émoustillé de t’avoir trouvé
Pour ne plus jamais te quitter

Tu a compris ma détresse, mon alarme
Tout ce raffut, mon incroyable vacarme
Je boit ton bonheur et ton espoir
Dans l’espérance de toujours t’avoir

*geindre : pleurer en ancien français

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

315 réflexions

315 réflexions

Contexte : Lettre à ma meilleure amie que je connais depuis 315 jours à la date du 23/12/2013.

Trois cent quinze, le nombre de jours
Qui sépare notre rencontre, notre humour
Nos réflexions sur la vie, son évolution
Toi , animée , pleine de grandes passions

J’ai grandis quand tu m’ as violemment taclé
Pour me dire mes quatre et vrais vérités
Seul toi pouvais me faire comprendre la vie
Son sens, sa direction … et tu m’as souris

Je t’ai écouté d’un air entièrement béa
Et je crois toujours à nos brouhahas
Même si tu parle de t’éloigner par la suite
Sache que je saurais ne pas rester triste

J’irais jusqu’au bout de tout tes chemins
Je prendrais mon cœur et mes trains
Pour te voir, te comprendre, t’apprécier
Ce ne sont que simples mots d’amitiés

La fusion

La fusion

L’amour porté par deux personnes
Sont autant de mots qu’ils fredonnent
A nous qui les avons portés dans leurs projets
Nous les suivront en entier

A toi papa, qui m’a conduit vers l’indépendance
à toi Corinne, à ton sourire et ton élégance
à votre vie amoureuse, vos envies, votre futur
Qui pourra être facile comme dur

Soyez assuré de ma reconnaissance
Qui me permette d’oublier l’indifférence
Et de comprendre le sens de la vie
Les jours ou je n’avais plus ris

À Corinne, à son dévouement aux autres
à mon père, loin d’être parfois un apôtre
Mais que j’aime depuis qu’il m’a créé
à vous deux, continuez de nous faire rigoler

La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

L’union

L’union

Toi l’oiseau perché qui vole si bas
Ton absence, ton éloignement m’abat
J’ai transporté nos désirs sur une galaxie
Si lointaine mais finalement à l’abri

Tu est le pinson qui siffle la colline
Tu pourrais danser l’arlequine
Tes yeux nourris d’amour et d’espoir
M’ont montré à quel point tu es mon loir

Le paysage que tu offre à mes yeux
N’est fait que pour être regardé à deux
La plage  nous appartient désormais
Plus jamais nos corps seront séparés

La vie n’est qu’une petite marionnette
A l’intérieur de ces petites maisonnettes
Maintenant faisons l’union des mots
Vous m’avez soudainement rendu beau

 

 

 

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Petit Malicieu

Petit Malicieu

Petit malicieux, prend le creux de ma main
Toi qui un jour m’a réveille au petit matin
Je n’ai rien demandé , tu à volé mon cœur
De rien, tu est devenu tout, sans aucune erreur

J’ai crû rêvé et je ne t’ai pas vu arrivé
Je suis soudainement sous ton charme tombé
En quelques heures tu a réveille mon instinct
Je croit si soudainement à notre destin

La nuit est venue si souvent dans mes relations
Et le jour s’est éclairé, tu m’a fait une ovation
Le soleil s’est levé, et nous sommes main dans la main
Je te vois toi et tes yeux comme au petit matin

Tu pourras dormir comme une étoile qui vient de naitre
Tu pourras courir comme un arc en ciel qui vient d’apparaitre
Grâce à tes mots et ta gentillesse j’ai de l’oxygène, je revis
Moi qui si soudainement était triste et n’avais plus ris.

Tendre enfance

Tendre enfance

Tendre enfance, tendre adolescence, difficile survie
Je t’ai aimé, traversé des difficultés, tu m’a surpris
Tu m’a maudit, m’a honnis, m’a totalement détesté et ignoré
Je t’ai écouté comme un fils aimant, mais tu a violé ma pensée

Cela m’a mis dans une totale alarme, moi qui croyait mentir
Ayant vécu dans l’ignorance avec toi qui si facilement te tire
J’ai osé une certaine insolence mais à mes attentes tu fut sourde
J’ai redoublé de vigilance, tu n’a rien entendu et fait une bourde

J’ai cru que ton absence était légitime et que tu avais de l’amour
Mais vingt-quatre années m’ont permis de voir ce non-retour
Mon tracas maximum fut atteint et tu n’en eu aucunement conscience
Je suis et reste blessé par une attitude délétère auquel tu ne pense

J’ai décidé de prendre en toute quiétude ma vie et mon destin
Et me suis promis de ne jamais prendre un tel et étroit chemin
Ton esprit est si étroit que tu ne peut plus rien faire à présent
Je suis resté ouvert au dialogue , tu m’as bluffé trop longtemps.

Ma mirabelle

Ma mirabelle

Ma mirabelle, tes yeux doux et ouvert
Ont fait de moi un garçon à plaire
Mes palabres douces et charmantes
Ferons de toi une fille aimante

Mon âme frissonna à votre rencontre
Bien que rien à ce jour ne le montre
Vous avez ouvert mon livre poussiéreux
Et y avez vu mon courage astucieux

J’ai osé et tenté de vous conquérir
Et je vous ai vu quelque peu rire
Peut être vous n’avez cru aucun mot
Pourtant je ne suis complétement sot

La patience est présente pour votre beauté
Et mon dernier mot n’a pas encore été ajouté
La persévérance me fera prendre votre âme
Vous, mademoiselle, très jolie dame.

Le chiffre cinq

Le chiffre cinq

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« on précisera aux lectrices et aux lecteurs que ce poème est un poème amical « 

Le chiffre cinq, qui se retient
Comme un bisous, un câlin
Tu est ma voix intérieure
Ma rose, ma lumière, ma fleur

Mon être assouvi à ton regard
Ne rend pas mon visage blafard
Je me suis enseveli dans tes mains
Qui ont effacés mes grand chagrins

Le nuage flotte par dessus mon esprit
Alors que toutes circonstances établies
Rien ne nous a prédestiné à une entrevue
A tout les deux cela nous à plu

Et toi mon petit écureuil des bois
Tu a arpenté mon chemin mille fois
L’herbe traversée est devenue divinité
Tu à gravé dans le marbre ma dignité

 

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Abandon

Abandon

Peur de tes bras ma douce ingénue
De tes mots, ton charme, ton odeur
Tes sentiments ont mille valeurs
Je crains de toi n’être plus vu

Mon âme s’abandonne à ton esprit
Mon coeur chevauche ta rivière
La fraternité à présent nous relie
De tes sentiments ma chancelière

Mais peut-être autrui te charmera
Je me noie de chagrin , en vain
Je crois que tu m’abandonnera
Et n’aurais pour pleurer mes mains

A présent j’ai un pied sur l’étrier
Je penche, tombe, me detruit
La vie bascule du mauvais côté
Je ne suis plus! Adieux, tout est permis!

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!