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Tag: terre

L’escorte

L’escorte

Je t’écoute et chaque jour t’escorte
J’ai volé sur le dragon de la malédiction
Soufflant cet air brûlant sur ma main morte
Ma dignité perdue au pas de ta porte

J’ai épousé la liberté d’entreprendre,de voyager
Ces milliers de roses envahissent ton espace
J’ai épousé l’amitié, nous avons eu l’amour
Ces mésanges surplombent nos terrasses

L’amour, ce vaste champs des possibles
Qui vous chamboule, vous entraîne
Devant cet arc en ciel si paisible
Soutenant ces grives qui se drainent

J’aperçois au loin l’avion du désir
Qui décolle et prend son envol
Je suis resté sur terre, sans sourire
Perdu dans ce train du Cévenol

Le manège

Le manège

Je n’oublie rien, je n’oublie plus
Je retourne dans mon monde reclu
Je suis couché à terre, sanguinolent
A cause des coups de massues violents

Toutes ces palabres, parfois, me désarme
Mes sourires fondent en grosses larmes
Mon corps se dilue dans l’acide
Ma silhouette et mon être restent placides

J’ai rêvé d’un monde bien trop rose
Où la vie peut être souvent mise en pause
Je n’ai ni le monopole du coeur ni de la raison
Et ne retourne que rarement mon blason

L’expérience évite les grands pièges
Des tourbillons, des petits manèges
Mon courage s’évanouit peu à peu
Je ne supporte plus ces milieux

Abris

Abris

L’abri,le toit, le gîte, le couvert
Je ne l’ai plus, je suis amer
Un triste personnage reculé
Sur cette terre d’arriérée

Je me sent pris au dépourvu
Quand mes rêves dirent salut
Et qu’ils s’entachent d’ennui
Moi, l’enfoiré de cette vie

Fort aimable soit le courage
Et l’envie d’avancer, la rage
Fort aimable soit l’amitié
Je meurt pieds et poings liés

Je suis aussi le maître du destin
Qui s’acharne, Mine de rien
Il n’y a dans la vie de désespoir
sans tenté un instant d’y croire

Il y a juste des chiens qui hurlant
au loup, ont fait de moi l’absent
Je suis votre crainte du jour
vous êtes à ma peur de toujours

Choix

Choix

Les choix de la vie, difficiles à assumer
Qui me font pleurer, ne m’ont pas amusé
Ne me laisse guerre de répis, ni d’amis
Qui comprennent mes difficultés, la vie

Je ne peux être divisé par deux chaque fois
J’essaye de juger les choses et les lois
La distance à des conséquences compliqués
Je ne veux cependant que l’on me fasse chanter

Je ne sais quoi faire, quoi vraiment dire
Et je sais dans votre tristesse, lire
je n’ai rien pour assurer ma petite défense
Encore moins justifier mes absences

Je ne règne pas sur la terre entière
Et à tout le monde, je ne peux plaire
Comme un magicien aux doigts enchantés
Comme la poudre de mes petites fées

je ressent l’amertume et l’angoisse
je voudrais que rien ne vous froisse
La detresse est en moi, salace
J’avoue, je manque quelque peu d’audace

Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

23 ans déjà

23 ans déjà

La grue s’en va
Absente tu es déjà
Ton coeur est pierre
Es-tu encore sur Terre ?

Laisse moi encore t’aimer
Te voir, t’entendre, crier
Mais je crois que je voyage
Je n’ai jamais vu d’autres rivages

Pourquoi tu ne m’aides plus ?
Je suis maintenant reclus.
Ne suis-je vraiment rien ?
Même pas une caresse de chien ?

Le crime n’était pas parfait
Tu fus totalement divorcé
La vie n’est pas un cadeau
Accepte tous mes maux

Ennui, problèmes, fatalité
Sont si souvent en toi criés
Et déchirent ta mauvaise humeur
Je n’ai plus vraiment peur

J’assiste à ta jalousie, ta rancune
De connaître des meilleures fortunes
Accepte les autres grandes détresses
Cela devrait t’interdire de stress

Simplicité

Simplicité

A mon cali,

Simplicité, volupté, amour, amitié,
Des étoiles brillent dans cet univers
A ton regard je ne me sent plus sur terre
Touts ces mots, cette folie , pour l’éternité

Ta présence, ton regard me font craquer
Ton sourire affable me plait
Pourtant le destin nous sépare de tout
Et même sous la couette je devient fou

Et tes gestes plein de charme
Ne sont pas frivole
Et je n’aimerais qu’on me les vole
Tu m’a mis en alarme

J’idolâtre ton visage
Qui devant moi est une beauté
Toi qui représente l’air pur, la sainteté
Non, tu n’est pas un mirage

A ton passage, l’univers est à toi
La lumière, de tout coté, jaillit
Un arc en ciel te sourit
Ta présence me laisse sans voix

Mon attachement pour toi est infaillible
Et seulement dans ton cœur elle est lisible
Main dans la main nous sommes
Âme dans l’Âme nous continuerons…

Océan bleu

Océan bleu

A Jacques & Nathalie qui sauront pourquoi ce message leurs est adressés

Océan bleu, océan du martyr
Océan de la vie, du désir
Alouettes des mers réveillez vous
Pinsons sur terre aimez vous

Et tandis qu’une larme coule
Cela me met en boule
De ces amitiés je me vante
Les oiseaux chantent

Dur est le départ sur ce lointain horizon
Mes étoiles sont comme en prison
Cachés derrière des barreaux innateignable
Dans des murs impénétrable

Océan, revient vite à la surface
Océan je ne suis pas lasse
Océan mon coeur est à toi
Océan tu me laisse sans voix.

Fusion

Fusion

Fusion tel est le terme non austère
Que je profère
Quand je n’ai de gout a la vie , amère
Mais le sourire des uns ramène la vie sur terre

Quand deux esprits s’entrechoquent
Quand deux coeurs s’enmellent
Quand l’amitié se demelle
Et l’ame est sans équivoque

Et il est difficile de pouvoir aimer
Et de pouvoir le dire
Tout en étant compris et apprécié
Mais l’incise est faite et ce n’est à present, pire

Belle vues

Belle vues

A quelqu’un d’extraordinaire(Merci!)

Belle vues intérieures
Mauvaise vues extérieures
Vient par ici rose
Vient faire une pause

Toi qui me connait,
tu sais mon point de sensibilité
Et pour moi tu ferais le monde
Tu ferais quelques fumées rondes

Et pourtant combien je t’aime
Quand tu vient me secourir
Mais aussi quand tu vient rire
Tu est mon étoile, mon emblème

Celle de l’univers qui à atterrit
Sur terre, par hasard
Qui ne pousse jamais un cri
Qui n’est a mes paroles hagard

Vient ma rose,mon réséda
que je te serre dans mes bras
que je te dise reste là
En quelques mots, tout bas

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

Noir

Noir

Noir, tel est la couleur que je vois
Noir, Mais je me pourvois
A la casse, aux ordures humaines
Quand toutes ces choses que je fais sont vaines

A quoi bon, si ce n’est être rejeton
De mon avenir, ma destinée
A rien, au revoir je m’en vais
Ca y est j’ai appuyé, la balle est dans l’action

Tout le monde me regrette, quoique
Et voilà vous pleurez
Et vos rires s’effacent
Mais vos larmes vont vite sécher

Je reviendrai, une fois ma vie achevée
Sur ce globe qui m’a souvent maltraité
Et non vous ne m’aurez
Parce que l’amour m’aura rattrapé

Bonheur

Bonheur

Bonheur d’amour, celui de toujours
Bonheur d’amitié, celle de l’été
Et dire que ces deux choses nous font vivre
Et dire que nous sommes libres

Libre d’aimer, de détester,
Libre d’apprécier et de s’envoler
Dans les airs d’un ciel coloré
Dans une vie au goût démesuré

Nous avons créé ces deux protagonistes
Pour plus que nous soyons tristes
Cela est désormais universel
Que les relations arrivent à être belles

Et je suis dans ma coquille, tel un crustacé
Qui n’a pas envie de s’ouvrir sur le monde
Mais qui pourtant est présent sur ce sable doré
Et qui fait des voyages sur notre terre ronde